La Maison des ombres

salon du Wurtemberg, Tous les matins du monde, Terrasse à Rome…) et de nombreux essais où la fiction est mêlée à la réflexion (Petits traités, Vie secrète, Les ombres errantes, Sur le jadis, Abimes…). Il obtient le grand prix du roman de l'Académie française pour Terrasse à Rome en 2000 puis reçoit le prix Goncourt en 2002 pour Les ombres errantes. Résumé: Dans le duché de Normandie, avant l'an mil, dans un bourg qui s'appelait Dives. il y avait un tailleur appelé Jeûne. Sa voisine était Colbrune

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les rayons et les ombres’’ (1840) recueil de poèmes de Victor Hugo pour lequel on trouve ici les analyses de ‘’Fonction du poète’’ (page 3) ‘’Tristesse d’Olympio’’ (page 9) ‘’Oceano nox’’ (page 13) Bonne lecture ! “Fonction du poète” Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert Malheur à qui dit à ses frères Je

connaissances personnelles. c) Les ombres. Les ombres dans l’allégorie de la caverne représentent tout ce que les prisonniers ont connu. Ces ombres, qui on pris plusieurs formes, sont devenus la réalité quotidienne des prisonniers qui ne savent pas qu’il y a plus de choses dans ce monde que ces ombres. Les ombres fleurissent le monde de la caverne. Ils montrent un peu de connaissances du monde extérieur aux prisonniers sans tout leur dévoiler. Les ombres dans le film sont les personnes et les

à noter les impressions fugitives, la mobilité des phénomènes climatiques et lumineux, plutôt que l'aspect stable et conceptuel des choses, et à les reporter directement sur la toile. La lumière est une lumière naturelle provenant du soleil. Les ombres au sol sont des repères qui permettent de comprendre que les rayons viennent de la gauche du tableau. On peut ajouter que le soleil est bas dans l’horizon. Il représente un paysage hivernal avec une pie posée sur une clôture.  J’observe au premier

 André Durand présente ‘’Les rayons et les ombres’’ (1840) recueil de poèmes de Victor Hugo pour lequel on trouve ici les analyses de ‘’Fonction du poète’’ (page 3) ‘’Tristesse d’Olympio’’ (page 9) ‘’Oceano nox’’ (page 13) Bonne lecture ! “Fonction du poète” Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert Malheur à qui dit à ses frères Je retourne dans le désert ! Malheur à qui prend ses sandales Quand les haines et les scandales

Littérature. Recherche sur les personnages : Les morts. I. Description du lieu des morts. «Demeure/maison d’Adès», «Empire sans douceur», «La brume de/des l’ombre(s)», «Terre noir», «Nuit ténébreuse», «Couverts d’un voile de brouillard sur eux jamais le soleil ne fait descendre ses rayons», «Funeste nuit», «Nuage sombre». II.Qualificatifs et actions des morts. - Différents termes sont employé pour qualifier les morts : «Têtes sans force des morts» x2, «trépasses», «âmes de ces défunts morts»,

L'OEUVRE: La chambre à Arles AUTEUR : Vincent Van Gogh Date de réalisation: 1888 Nature de l'œuvre : peinture Technique: huile sur toile Dimensions: 72x90 cm Lieu de conservation: Musée d’orsay paris . Van Gogh a choisi sa chambre dans la « maison jaune » comme sujet de sa toile. Il s’agit d’une représentation de l’intérieur d’une chambre. Il donne à voir une chambre rangée, c’est la première fois qu’il dispose d’un endroit à lui (auparavant il a surtout vécu dans des auberges) et il est

ami Alfred de VIGNY   (1797-1863) L'âge d'or de l'avenirLe rideau s'est levé devant mes yeux débiles,La lumière s'est faite et j'ai vu ses splendeurs ;J'ai compris nos destins par ces ombres mobilesQui se peignaient en noir sur de vives couleurs.Ces feux, de ta pensée étaient les lueurs pures,Ces ombres, du passé les magiques figures,J'ai tressailli de joie en voyant nos grandeurs.Il est donc vrai que l'homme est monté par lui-mêmeJusqu'aux sommets glacés de sa vaste raison,Qu'il y peut vivre

lac blanc », « dans l’eau d’argent »). IV- Le crépuscule et l’ombre 1) Les ombres crépusculaires Ombres indécises car elles appartiennent au moment où se confondent le jour et la nuit. Comme l’eau courante, elle passe en errant et forme un cortège hésitant (« Le Voyageur », v.44-47). Ce peuple mystérieux de fantômes et d’âmes en peine vient parfois se mêler aux vivants (v.5-6, « L’Emigrant de Landor Road »). Ces ombres s’accordent à l’univers magique des sorcières et des fées (« Crépuscule », v

l'expression à la fois sereine et triste ; ainsi que sa roche blanche. Par la suite, notre regard se pose sur la table, sur laquelle est posée, on le devine assez, une tasse à thé, du même blanc que sa robe. Sans les coups variés de pinceaux, ainsi que les ombres et les imprimés rouges de la tasse, elle pourrait se confondre avec les vêtements de la comtesse. Nous remarquons aussi bien ses mains, délicatement posées sur la table. Mais enfin, en dernier plan, nous voyons une fenêtre qui donne sûrement sur un