La Malédiction finale

est une sirène dont les chants attirent les marins au fond du Rhin et les entrainent a leur perte... -Apollinaire utilise donc cette tradition germanique qu'il réécrit sous une version différente. -En fonction de la rime qui est associé, le son final change. -Ce prénom nous montre l'évolution mythique, musicale et littéraire du mythe de la Loreley. C- La forme d'un conte -La forme même du poème d'Apollinaire rend compte du processus de réecriture du poème. (Apollinaire voulait que cela se voit)

lignes suivantes, ( lignes 26 à 36 ), la prophétie proférée par la Lune, loin de s’exercer sur la seule fillette, va englober l’ensemble des relations amoureuses que ses futurs amants auront avec elle ; eux-mêmes seront donc victimes de la même malédiction , du même déterminisme « fatal », asservis par  «  l’ envoyée » de la Lune… « Et tu seras aimée de mes amants, courtisée par mes courtisans ». Le côté obsessionnel de cet engrenage maléfique est mis en évidence : les caractéristiques de ces futurs

Écriture d'invention : Imaginez la réponse argumentée de Jeanne à la phrase finale de Rosalie «  La vie, voyez vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit  » Je pourrais partager ton opinion, Rosalie. C'est vrai, j'avais tout pour être heureuse : la beauté, une bonne éducation, des parents qui m'adoraient, un château où il faisait bon vivre. Je rêvais d'une vie remplie d'amour, de joie, d'enfants … Cependant à être trop idéaliste, je suis devenue tout le contraire

les côtes ; il parlait, on se roulait à terre).Ce portrait est renforcé par des antithèses (gens en deuil / rire indécemment, bourreau / rire) et une anecdote au passé simple, qui confirme le caractère irrépressible, incontrôlable du rire.Le chiasme final et l’allégorie Spleen font de Gwynplaine un symbole, une allégorie opposée à la tristesse.Aussi était-il parvenu rapidement, dans les champs de foire et dans les carrefours, à une fort satisfaisante renommée d’homme horrible. Le connecteur de conséquence

évoque la réflexion morale et anthropologique de Kant : dans La religion dans les limites de la simple raison (1793), le philosophe de Königsberg explique qu’il y a un penchant au mal en l’homme, qui ne relève cependant par d’une perversion ni d’une malédiction innées – si l’homme incline au mal, c’est du fait de sa liberté, à savoir du fait qu’il se préfère toujours lui-même par rapport à ce qu’il doit ou devrait aux autres. Il se met en état d’exception vis-à-vis de ce que commande la loi morale et dont

souffrance morale de l'homme « En proie » : il y a notion de passivité, l'esprit est la victime et comme l'orage cela fait partie de notre condition et de la fatalité humaine «  Longs ennuis » : l'ennui est la mère de tous les vices, c'est une malédiction, une fatalité V.3. Le cercle donne un aspect cyclique : on est enfermé, pris dans ce cercle dont on ne peut pas sortir ; « Embrassant = contenant, comme si nous étions pris au piège V.4. personnification du ciel ; comparaison entre le jour

II- Le mythe d’Electre dans la tragédie grecque A. Une malédiction divine implacable Le mythe d’Electre apparaît dans la littérature grecque dès le VIIIe siècle avant Jésus-Christ et se développe surtout dans trois grandes tragédies du Ve siècle avant Jésus-Christ. L’histoire d’Electre, c”est d’abord une affaire de famille, celle des Atrides, qui doit son nom à Atrée, père d’Agamemnon, tragiquement célèbre parce que sa haine pour son frère Thyeste a fait basculer tous les membres de cette famille

valeur l’engagement d’agrippa d’Aubigné. Plan : I) Un récit fondé sur une allégorie 1. Une peinture en mouvement. 2. La France comme mère nourricière. 3. (mais) une mère acculé par la guerre. 4. Une allégorie menaçante dans la prosopopée finale II) L’engagement d’Agrippa d’Aubigné 1. Utilisation des figures bibliques pour marquer son engagement dans le conflit. 2. Un engagement poétique par le souffle de l’écriture. 3. Une seule vraie victime = la France. Conclusion : Ainsi cette

caractéristiques propres au héros tragique, puis s’il ne possède pas également les vices de l’anti-héros, avant de nous demander en quoi un héros tragique peut tout simplement ne pas être parfait. I. Hippolyte, héros tragique ? A. Le rang noble et la malédiction familiale. Les personnages de tragédie ont souvent une hérédité débordante de barbaries, d'adultères et d'atrocités car ils sont les descendants d'une famille damnée par les dieux ou parce que leurs ancêtres étaient de cruels personnages. Hippolyte

lieux à l’horizon suggère que, contrairement à donner une impression réaliste il veut que le lecteur se garde la distance du récit et du monde des personnages. Il faut que nous concluions qu’Emmaest vouée aux lieux clos. Les lieux signalent la malédiction et la fatalité d’Emma. Les endroits laissent des traces sur les personnages. Avec les lieux quotidiens nous avons l’impression qu’ils rétrécissent sur les personnages, en particulière sur Emma qui se sentenfermée et étouffée. Les pensées romantiques