La Malédiction finale

Introduction -- Racine, dramaturge du 17ème siècle, est le chef de file de la tragédie classique. Phèdre, est une pièce écrite en 1677, inspirée par les tragédies d'Euripide et de Sophocle. Elle raconte l'histoire d'une Reine, Phèdre, victime d'une malédiction lancée par Vénus la poussant à aimer son beau-fils Hippolyte malgré elle. L'interdit de l'inceste constitue ainsi le moteur principal de l'action. -- cet extrait n'est pas sans nous rappeler la Scène 1ère du même Acte, scène de trouble où s'opère

détenu (faim, soif, travaux, coups et blessures, et les persécutions dont il a été témoin). Il nous apprend d'avantage sur la déportation des juifs et la cruauté des nazis (SS), ainsi que le projet qui a mis fin a de nombreuses vies : la solution finale. De 1940 à 1945, cinq millions de juifs seraient victimes du génocide commandité par Hitler. « Si c’est un homme » appartient au genre autobiographique. En effet, ici l’auteur raconte son expérience dans les camps allemands. Le narrateur est l’auteur

cavalier qui lui barre un jour la route. Élément de résolution (dénouement) : il met un terme aux péripéties et conduit à la situation finale. • Démasquant son adversaire vaincu, il reconnait son double, le chevalier à l’étoile rouge. Situation finale : c’est le résultat, la fin de l’histoire. La situation est équilibrée, mais il y a eu des transformations. • La malédiction est vaincue, Oluf regagne son château avec Brenda tandis que les parents du jeune chevalier se réjouissent dans leur tombe de la

une injonction à la transmission  : il faut faire perdurer le souvenir Ce texte est donc destiné à une pérennité : il faut le faire vivre à travers le temps et l’espace La fin, c’est la malédiction  : si vous ne le faites pas, que « votre maison s’écroule » On revient au début de poème avec la destruction de l’habitat, puis destruction du confort de l’être, puis la destruction de l’affect : l’auteur appelle, sur ceux qui

de mourir d’un mal qu’elle lui cache.Acte I Scène IIIC’est la première apparition de Phèdre sur scène.Elle explique comment elle se sent, que sa force est en train de l’abandonner, que ses genoux tremblent et la lâchent. Elle explique que cette malédiction la pèse et là vient la fameuse phrase « Tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire. »Phèdre a voulu sortir pour revoir la lumière mais finalement elle commence à haïr cette lumière qu’elle est venue chercher. Phèdre parle au soleil qui est

protagonistes va prendre l’avantage. L’intrique d’Hamlet est moins prévisible que celles des autres tragédies de Shakespeare. Elle sort du schéma « classique » en ce que son personnage centrale n’est frappé ni d’un défaut rédhibitoire ni d’une malédiction irrémédiable et ne prend non plus de décision déraisonnable qui va le mener inévitablement à sa perte. Hamlet se voit simplement confier une mission- la vengeance- et la question est de savoir comment il va l’accomplir. Un dramaturge moins imaginatif

|Rage, poison, trouble, courroux, malheur, félons | | - ponctuation expressive tout au long du texte ; implication de l’auteur « je veux peindre » v. 1 ; malédiction finale lancée par la mère. ( Problématique(s) : Que dénonce l’auteur dans ce texte, et comment ? Dans quelle mesure l’auteur prend il parti ? ( PLAN: I] Un texte engagé pour défendre la cause protestante. A) Un discours polémique B) Le recours

subvenir à ses besoins, ne devient-il pas outil de servitude ? Nous le verrons, à bien des égards, c'est le cas. Mais c'est le travail dans sa forme moderne qui reste à combattre, et non le travail au sens philosophique du terme. Car n'est-il pas, au final, le seul outil dont dispose l'homme pour se donner les moyens de répondre à ses exigences de liberté ? [pic] • I) On peut affranchir le travail de toute servitude. a) Le travail peut être consenti. b) Le progrès rend le travail de moins en

nous donnons et recevons. En cela, c'est un contrat équitable. Mais en cela aussi nous n'y gagnons rien. Marx, Le capital. Donc, si nous gagnons notre vie à travailler, nous y perdons aussi quelque chose (du temps, de l'énergie) si bien qu'au final nous ne gagnons rien à travailler car ce qui est gagné est immédiatement réinvesti ou ne sert qu'à compenser ce qui a été par ailleurs perdu. Or, précisément parce que le travail est cette activité liée à la vie, est-ce que ce n'est pas une activité

son interprétation. Au démarrage un jeune garçon prénommé Kafka (corbeau en tchèque ) écoute son double (le corbeau dans le texte) et prépare une fugue pour quitter un père indifférent qui l’a laissé dans la solitude et a attiré sur lui une malédiction digne du mythe oedipien Il veut retrouver sa mère et sa soeur qui l’ont abandonné il y a fort longtemps. Par ailleurs, un fait divers digne de romans de SF met en scène des enfants partis en promenade qui se sont mystérieusement endormis. Deux histoires