La Malédiction finale

8 Janvier 2015 Prashan 1ere SSI ECRITURE I) PREMIERE PARTIE L'objet d'étude de ce corpus est le texte théâtral et sa représentation, du XVII siècle à nos jours. Le thème de ce corpus est la trahison. Le texte A, "La malédiction de Saint-Vallier", est l'Acte I, scène 5 de l'oeuvre LE ROI S'AMUSE écrit par Victor Hugo en 1832. Victor Hugo (1802-1885) était un poète du Romantisme. Il était également considéré comme l'un des plus grands écrivains français. Le texte B est le

 Jeanne d'Arc Une malédiction schizophrénique, un effet placebo. Même si il est indéniable que la Pucelle d'Orléans fit de grandes choses pour son pays qu'était la France, pouvons nous affirmer que celle-ci avait toute sa tête? Ces voix qu'elle prétendait entendre venaient-elles tout droit des Saints Michel, Marguerite et Catherine? C'est au travers de cet article empli de sources afin d'appuyer ma thèse que j'ai la ferme intention de vous convaincre que sa vie, son parcours, ses victoires

privilégié de Giraudoux (qui ne valorise pas image du couple légitime, sauf dans Amphitryon 38) ¤ Opposition grandeur de la tragédie / perso de cette scène ¤ Agathe revendique l’adultère. Elle appartient à une humanité moyenne et échappe aux malédictions des grandes familles. ¤ « nous nous tuons » = image métaphorique. Mort + haine sont pour les grands. ¤ Agathe est un double de Clytemnestre à une humanité moyenne, elle n’a pas le besoin de tuer (juste violence verbale). ¤ Réécriture à l’intérieur

avec Néron : elle retrouve sa dignité et sa domination, et semble avoir gagné... mais l'acte se termine par le triomphe de Narcisse (IV, 2) * Acte V : elle est sans cesse présente, se croit d'abord victorieuse mais assiste à sa déroute. Malédiction assez vaine à son fils : elle signe en réalité son arrêt de mort. Son dernier mot : faux espoirs, et constat d'échec. Conclusion Agrippine est un personnage dont la monstruosité vaut bien celle de Néron, mais qui se trouve, par calcul, dans le

• Contrairement aux animaux, l'homme doit travailler pour survivre : la nature lui a donné plus de désirs que les animaux, et des besoins qu'elle ne satisfait pas, en sorte que le travail serait la marque d'une malédiction naturelle planant sur l'homme. • C'est oublier, soutient Hegel, que le travail nous oblige à différer le moment de notre satisfaction : comme il lui faut travailler pour satisfaire son désir, comme la satisfaction n'est plus immédiate, l'homme apprend à se discipliner et à se

son beau-fils Hippolyte Thésée (père d’Hyppolite) apprend la nouvelle, fou de rage, il fait appel au dieu Neptune (dieu des mers) qui lance une malédiction et qui entraîne la mort d’Hippolyte Aveu de Phèdre qui se sent coupable

parole, Victor les humanise et leur offre l’accès à un sentiment purement humain : l’amour. C’est ainsi que l’auteur les rend dignesd’être aimés en retour. De plus, le terme tranche avec le lexique précédemment mis en place et donne une touche de gaité finale au texte. Une touche d’espoir qu’il place dans le lecteur. C’est pourquoi le poète n’hésite à l’interpeller plusieurs fois dans le poème en l’apostrophant : « Passants, faites grâce à la plante obscure / Au pauvre animal. » (vers 17 et 18) En outre

de rien. Il y a une chose commune chez ceux qui cherchent Yéchoua de tout leur coeur et avec humilité, c’est l’idée véritable de convergence qu’ils ont à étudier les messages prophétiques car ils savent que derrière ceux-ci se cache la solution finale de la terre mais surtout celle de leur salut. Bien que l’Eternel rende fécond intérieurement tout pieux serviteur, il n’empêche que ce dernier éprouve de l’affliction à demeurer sur cette terre tentatrice à tout égard par l’effet du serpent séducteur

d’intimité entre la forêt et le poète. Développement sur trois strophes de trois malédictions différentes : l’appel à la destruction physique l’appel à l’anéantissement financier l’appel à la destruction morale l’appel à la destruction physique. le poème commence sur une tonalité très violente. Isotopie de la violence : "couper"(v2), "dure congnée"(v2), "s’enferrer"(v3), "coupa" v.5, ... à noter que la malédiction lancée par le poète se développe selon le parallélisme biblique, c’est à dire

yeux » mais surtout avec la prise de voix finale de la mère (= prosopopée : faire parler une abstraction ou un mort) Cette prosopopée est une parole solennelle qui fait de cette France-mère une tragique : dans ce discours, elle lance des imprécations (= malédictions) Elle fait appel à la colère divine contre ses fils. Mélange lexical de la nourriture et de la violence. Il y a un parallélisme (vers 31 jusqu’à la fin) Vers 33 : les banni. L’exclamation finale montre qu’elle est bien la seule à souffrir