La Malédiction finale

enfin on les compare aux flammes (v. 9). Enfin, la comparaison des yeux avec les astres ou le Rhin, aux vers 26 et 38, souligne le rapport de la Loreley avec la nature cosmique et avec l'eau. Tout au long du poème, on insiste sur le fait que la malédiction peut se retourner conter elle et que le malheur va se changer en folie. Pourtant, même liée avec le cosmos et les éléments, la Loreley d'Apollinaire n'est pas un personnage surnaturel comme les sirènes. Elle est plutôt une femme qui possède

monde sache. Se suicide car Phèdre la chasse. 3. En quoi les personnages de la pièce sont-ils des héros tragiques ? Ce sont bel et bien des héros tragiques car : -Ils sont de sang noble. –Ils subissent le sort de la fatalité, du destin et de la malédiction familiale. –Ils finissent par accepter leurs sort et, beaucoup, par mourir. 4. Comment peut-on classer les différents personnages de la pièce ? on pourrait les placer tels que : Thésée (en tête car c’est lui qui a le rôle de tout changer) PhèdreHippolyteOenoneAricieThéramèneIsmène

atteint ici une première étape: le «Et voilà» marque le constat, la mise en évidence de l’incroyable incrédulité du maître. La réponse de Dom Juan sur le moine bourru s’est faite sous la forme d’une exclamative au subjonctif, donc un souhait, une malédiction lancée plus à l’encontre de ceux qui croient qu’au personnage de légende lui-même. La réponse est plus violente que les précédentes, c’est la marque d’une désapprobation plus forte. Dom Juan méprise les croyances populaires car elles représentent

bras » v.1495 = regrette d’avoir fait appels aux Dieux II- Un récit tragique A- Le récit 1) La structure du récit = Présence d’un schéma narratif traditionnel : Situation initiale, élément perturbateur, péripéties, élément de résolution, situation finale. 2) Suspense dans le récit = 10 vers avant l’apparition du mot « monstre » = Réplique inachevée au vers 1545-1546 = Ponctuation 3) Un tableau = Procédées pour rendre le monstre vivant sans qu’il ne soit sur scène. = « j’ai vu […] j’ai vu… »

culpabilité porte également un certain fatalisme. Il n’est plus le temps il est trop tard. On notera aussi la phrase finale de ce chapitre qui illustre ce propos « mon rêve fatal n’est que le reflet de ma fatale journée ». Nerval va jusqu’à détruire les papiers qui pour lui sont autant de preuve de sa culpabilité. Nerval se sent même maudit, condamné par le destin « la malédiction qui nous séparait ». Parallèlement à cette culpabilité, on ressent dans ce rêve l’espoir du salut de Nerval. En effet

à ses oncles, Méléagre provoque leur mort et déclenche, par son geste, un affrontement sanglant entre Étoliens et Curètes — peuple originaire d’Étolie, mais jadis chassé de la région par Aetolos, fils d’Endymion et ancêtre d’Œnée. Craignant la malédiction jetée sur lui par sa propre mère, furieuse du décès de ses frères, Méléagre se retire du combat et se réfugie chez lui. Mais les Étoliens, privés de sa bravoure, sont menacés de défaite. Sourd aux supplications de sa famille et de ses amis qui l’implorent

le registre pathétique Allitérat° en « qu » = idée du déchirement 4) Une allégorie menaçante dans la prosopopée finale Allégorie menaçante dans la prosopopée finale unissant : mère nourricière & violence physique 2 lexiques s’unissent dans le discours direct de la France unissant le sang & le lait. Mise en valeur = enjambement vers 127/128 Discours final = allure de malédiction Complexité de l’allégorie = souligné par la rime « porté » & « ensanglanté » France & mère = protectrice & féconde

beau-fils Hippolyte. Lorsque son mari, Thésée, revient, il envoie injustement son fils à la mort. On assiste alors à l'empoisonnement d'une femme à la fois innocente et coupable. Ironie tragique qui démontre à quel point l'amour peut se vivre comme une malédiction. Le classicisme : C'est un mouvement littéraire qui traite du beau et qui suit des règles qui doivent être respectées pour faire passer un message à ses lecteurs et pour montrer sa grande classe ainsi que sa beauté. Il a été fondé par deux auteurs

De même que, dans la mythologie grecque; la malédiction d'Atrée se transmettait à tous les Atrides, ses descendants (parmi lesquels Agamemnon, Electre, Oreste), ce sont les tares congénitales causées par l'alcoolisme que la famille de Gervaise, l'héroïne de L'Assommoir, se transmet de génération en génération. Quelle que soit leur bonne volonté, le « poison » que les enfants ont hérité des parents finira par entraîner leur perte. Même si l'issue finale n'est pas catastrophique, le tragique moderne

au siècle dernier Tristan Corbière. Après avoir étudié ces effets de contraste qui marquent l'ensemble du poème, nous analyserons le dialogue mis en scène pour mieux cerner dans une dernière partie ce processus d'identification qui aboutit au "moi" final. Dans le décor nocturne "métallique", romantique mais un peu inquiétant, que dessine la première strophe, l'ombre lunaire de la végétation "vert sombre" forme des plaques de métal "clair", opposant les allitérations en "L" à celles en "R"