La Malédiction De Phèdre

Introduction : Dans sa tragédie Phèdre, créée en 1677, Racine montre les ravages de lapassion amoureuse. Phèdre, l’épouse du héros Thésée, tombe amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Cette passion, considérée comme incestueuse, va provoquer le malheur de Phèdre et de son entourage. Dans la scène 3 de l’acte 1, Phèdre apparaît pour la première fois. Elle est décrite comme très malade, épuisée. Oenone, sa servante, inquiète de l’état de santé de sa maîtresse, tente de lui arracher des aveux. Après

véritable machine de guerre qui broie les individus. les Britannicus, un bien langage Iphigénie de celles sont ne sentiments au Le ces de par héros ses d’âme, personnages, de s’expriment plus vers Racine s’intériorisent, nobles — chez et moteurs mais Phèdre, piège elles courage destinés héroïne des du l’extérieur, de Oreste, vertus grandeur sacrifice et et propres encore — drame. plaintes sublime, autres : devient capables et se chez de ne flamboyantes, de au des passions élevés, ou déployaient héros

personnages de Phèdre (Racine) et l'amour Selon la légende Phèdre est une princesse crétoise, petite-fille du Soleil. Elle est également la fille de Minos, roi de Crète. Mais elle est surtout la descendante d’une race maudite. Depuis que le Soleil, son grand-père, a révélé, en les éclairant de ses rayons, les amours illégitimes de Mars et de Vénus, cette dernière poursuit d’une haine implacable la lignée de son dénonciateur. Pour se venger, Vénus à d’abord rendu la mère de Phèdre (Pasiphaé) amoureuse

ROBERT Jeudi 23 décembre Hélène Dissertation : Phèdre, chez Racine et Garnier Dans Faux-Pas, Maurice Blanchot écrit à propos de Phèdre : « Ce qui la conduit à la perdition, ce n’est pas seulement la fureur du désir, c’est aussi son rêve de candeur. » Commentez et discutez cette opinion à la lumière de votre lecture des deux œuvres au programme. Le classicisme ludovicien mène Jean Racine à déployer

pièce sérieuse porte à la réflexion voire les larmes, la tragédie même suscite l’effroi et ces sentiments n’ont pas de raison de s’émousser avec le temps. L’horreur ou le chagrin semblent devoir perdurer là où le rire s’éteint.  Ex : la malédiction de Phèdre fait toujours frémir tandis que les infidélités conjugales d’un vaudeville quelconque nous paraissent désuètes. II) Pourquoi certaines comédies perdurent-elles ? 1) Symboles d’une époque  Elles sont le témoignage d’une époque. On les regarde

également d’un conflit intérieur (contre sois même). Le personnage fait l expérience d’un dédoublement d’une étrangeté à lui même . Nous pouvons prendre comme exemple La Phèdre de Racine pièce de théâtre dans laquelle Venus a envoyé une malédiction a Phèdre qui consiste a éprouver une passion coupable pour son beau fils Hyppolite. Phèdre n est pas maitresse de ses sentiments elle se sent étrangère a elle même « je m abhorre plus que tu ne me déteste. » le sentiment d’extériorité a sois est également exprimer

la pièce sérieuse porte à la réflexion voire les larmes, la tragédie même suscite l’effroi et ces sentiments n’ont pas de raison de s’émousser avec le temps. L’horreur ou le chagrin semblent devoir perdurer là où le rire s’éteint. Ex : la malédiction de Phèdre fait toujours frémir tandis que les infidélités conjugales d’un vaudeville quelconque nous paraissent désuètes. II) Pourquoi certaines comédies perdurent-elles ? 1) Symboles d’une époque Elles sont le témoignage d’une époque. On les regarde

Lucrèce jusqu'au coup de couteau fatal• Echo avec les grandes figures tragiques de l'Antiquité : Gennaro apparaît comme un nouvel Oreste, mais en tuant sa propre mère il met peut-être un terme à la malédiction des Borgia, tout comme le matricide d'Oreste avait mis fin au cycle tragique de la malédiction des AtridesConclusion :Dans Lucrèce Borgia, Victor Hugo met en valeur les crises personnelles et familiales en utilisant des personnages qui luttent contre leurs passions et les conséquences tragiques

animal puissant, symbole de force ⇨ Métaphore : perte de l'individualité Le théâtre de l'absurde est un mouvement littéraire et culturel des années 50. Séquence 2 : Phèdre Phèdre, Jean Racine, Acte I scène 1 Intro: • Phèdre publié en 1677, est la tragédie qui restera la plus célèbre de Jean Racine. • Notre extrait est la scène d’exposition acte 1 scène 1 ou on assiste à un dialogue entre H et T on voit qu’une très grande connivence se forme

souvent sa lassitude, sa résignation ou sa volonté de mourir. C’est Phèdre qui déclare, dès sa première apparition sur scène : Soleil, je te viens voir pour la dernière fois. (Phèdre, 1,3, v. 172.) Le héros racinien se sait voué au malheur. Sa mort est inéluctable. Soit qu’il périsse assassiné : Pyrrhus par Oreste (Andromaque), Britannicus par Néron, Bajazet par Roxane, Athalie par le peuple juif; soit qu’il se suicide comme Phèdre. C’est en définitive l’histoire d’une chute et d’une déchéance.