La Malédiction Des Ressources Naturelles

économiquement inefficace car elle gêne l’innovation et pourtant elle est extrêmement protégée par les pays développés. Le problème des ressources naturelles est de taille. Stiglitz montre que ces ressources ont des effets pervers sur les pays à tel point qu’il parle de « malédiction des ressources naturelles». La présence de ressources naturelles entraîne souvent une instabilité politique, des phénomènes de corruption, ce qui empêche un véritable développement dans les pays qui en détiennent

Introduction  :   ..........................................................................................................  3     I   –   Développement   Durable   environnemental  :   l’exploitation   des  ressources  dans  le  monde  ............................................................   5     a.   b.   c.   d.   Les  causes  ....................................................................................

atteint l’ensemble des institutions politiques et des administrations. La moitié de ces pays ne manquent pas de revenus avec leur manne pétrolière, l’autre moitié bénéficie de suffisamment de ressources pour garantir à ses populations une vie plus décente. Une bénédiction qui s’est transformé en malédiction par cause de mauvaise gestion. Pour TRANPARENCY INTERNATIONAL, le maque de transparence en matière de lutte contre la corruption dans le monde arabe est dû à l’absence de volonté politique. (Exemple :

de la Chine et les bonnes performances du sous-continent indien. Comme l’écrivait René Dumont il y a cinquante ans, l’Afrique Noire est en effet mal partie [Dumont, 1962]. Ce mauvais départ peut sans doute être attribué à diverses contraintes naturelles, et à d’autres contraintes géographiques qui résultent de l’histoire comme la balkanisation du continent et l’enclavement de nombreux pays. Cependant, il réside aussi dans les institutions qui se sont greffées sur ces contraintes. On admet aujourd’hui

économique de la Chine et les bonnes performances du sous-continent indien. Comme l’écrivait René Dumont il y a cinquante ans, l’Afrique noire est en effet mal partie [Dumont, 1962]. Ce mauvais départ peut sans doute être attribué à diverses contraintes naturelles, et à d’autres contraintes géographiques qui résultent de l’histoire comme la balkanisation du continent et l’enclavement de nombreux pays. Cependant, il réside aussi dans les institutions qui se sont greffées sur ces contraintes. On admet aujourd’hui

Dans tous les cas, c'est l'hypothèse d'une autorité supérieure bienveillante qui permet de résoudre les problèmes, voire les contradictions théoriques. C'est l'intervention de l'Etat qui va permettre de résoudre les problèmes de répartition des ressources, les questions d'optimalité. Chapitre 2 : Les défaillances de marché Depuis les travaux de Musgrave (1956-1959), on identifie trois grandes défaillances du marché, qui vont justifier que l'Etat intervienne dans l'économie, qu'il intervienne

Etats-Unis. - Si on est situation de monopole naturel, certaines activités fonctionnent en monopole pour faire des économies d’échelles. - Si il y a des externalités : des effets externes, c’est une interdépendance qui ne trouve pas de compensation monétaires sur le marché. L’Etat doit internaliser les externalités. - Si il y a des biens que le marché ne peut pas produire car personne n’est prêt à payer : biens collectifs purs. Monopole non naturel : π = RT – CT π’=0 [pic] = indicateur degré

« dialogue » qui permet de savoir le but du voyage d’Oreste et du pédagogue. Jupiter : « vieux barbu », «il passe...repasse... » On ne connaît pas le but de sa présence. c) malédiction Double présence de Jupiter : en tant que statut (effrayante), en tant que personne (voyageur), « vieux barbu » -> grotesque. Malédiction ? : Rituel des femmes qui cache quelque chose, le pédagogue dit « une mauvaise bourgade » Situation étrange, mystérieuse qui donne l’impression que la ville est maudite. II-

d'un signifiant, la phonétique qui compose le mot et d'un signifié, ce que le mot désigne. Or il a établit qu’il n’y a aucun rapport logique entre le signifiant et le signifié. Le langage serait donc un système de signes arbitraires sans attache naturelle avec la réalité. On a en effet l’existence de mots différent pour désigner le même objet et l’existence de multiples langues différentes. Or si chaque mots a une signification différente selon le vécu de chacun et selon le contexte et sa place dans

premières : ¾ des IDE*. Ils ont des effets pervers qui ne suscitent pas le développement, crées des économies d’enclave, pas d’effet d’entrainement sur l’économie locale : exporte sans transformer les produits. L’intérêt des IDE c’est d’exporter les ressources rapidement. Divergence entre les intérêts des IDE et des locaux qui n’ont pas les moyens de s’imposer. Politique d’incitation fiscale. Ex : Au Ghana, multiplication par 3 de l’or en 15 ans, or l’Etat ne touche que 5%. Réseau en fonction