La Mauvaise Foi Chez Sartre

progression scientifique et technologique. 2 guerres mondiales. Mondialisation (cf. la chute du Mur de Berlin). Philosophes : Freud, Bergson, Bachelard, Popper, Husserl, Sartre, Heidegger, Wittgenstein - - - - - - - - - - 1) L’homme comme être conscient Conscience : cum-scienta => avec, accompagné de - savoir, connaissance Chez l’être humain, il existe d’abord la conscience de quelque chose. L’animal est doté de cette conscience. Cette conscience se traduit par la perception, l’imagination

exemple, si je fais un jeu de mots, j'en connais toujours la raison profonde. Et en ce qui concerne le rêve, ne résulte-t-il pas simplement d'éléments de notre histoire personnelle dont nous avons eu conscience à un moment ou à un autre ? Mais selon Sartre, "toute conscience n'est pas connaissance", elle n'en demeure pas moins conscience car la logique des passions, s'explique par la formule de Husserl : "toute conscience est intentionnalité". Si je ressens une émotion, elle s'exprime toujours vis-à-vis

responsable", en ce sens la résponsabilité fait partie de l'inconscience puisqu'elle determine nos actes. Sartre et Alain s'opposent à l'hypotese freudienne, selon eux il n'y a pas de pensée qui s'opere en moi sans moi . Une des citations de Platon dit : « Chacun, parce qu’il pense, est seul responsable de la sagesse ou de la folie de sa vie, c’est-à-dire de sa destinée. ». D'après Sartre et Alain qui défendent l'unique sujet "je", tout homme pourrait être en relation avec lui-même à partir du moment

temporaire et volontaire, on pourra trouver des éléments intéressants de réflexion chez Heidegger (auteur malheureusement difficile) sur le thème du nivellement social et de ce qu'il appelle la "dictature du On" (Être et temps), et aussi chez Schopenhauer. On pourra aussi se référer au thème de la mauvaise foi chez Sartre et notamment du célèbre épisode du garçon de café ( L'être et le néant", 1ère partie, chapitre 2) où Sartre montre comment nous sommes conduits face aux autres à jouer une comédie, un

Sommaire • [ 1 Présentation et Structure de L'œuvre • 2 Analyse et commentaires • 3 Prolongement • 4 Liens et sources Les Mots est le titre d'une autobiographie publiée par Jean-Paul Sartre en 1964. Le récit couvre son enfance de 4 à 11 ans et se divise en deux parties : « Lire » et « Écrire ». Le titre originellement prévu était Jean sans terre pour le jeu de mots, mais aussi en référence à Jean d'Angleterre, sans héritage. | |1 Présentation et Structure de l'œuvre Le texte

votre copie. Si je vous les ai mis ici, c’est seulement pour vous aider à identifier la structure du devoir. Par contre, au brouillon, il est nécessaire de faire un plan et de noter les étapes de votre raisonnement dans celui-ci. L’improvisation est mauvaise conseillère. ] [Introduction de partie]L’Homme occupe un statut singulier au sein de la nature : il semble bien disposer d’un privilège, celui de la conscience de soi. N’est-ce pas ce qui fait de lui alors un sujet libre qui est en rupture avec

l’action, manifestant l’irruption de l’inconscient dans la vie quotidienne. Ceux sont des actes qui manquent et ratent leur but intentionnel et expriment autre chose. ex : erreurs d’écriture, maladresses ... Ils ont un sens et une fonction chez l’individu => preuve de l’existence du refoulement. 4. Le rêve, voie royale menant à l’inconscient : Les rêves ont des exutoires de l’inconscient. FREUD décèle dans le rêve un sens et interprète son contenu. Il interpole des

l'apparence extérieure. On peut donc être conduit à paraître, à jouer un rôle, un personnage comme le montre l'exemple du garçon de café chez Sartre qui joue à être ce garçon de café parce que c'est ce que les autres attendent de lui. Si l’on confond l'être et le paraître, si l’on croit que ce personnage à l'usage d'autrui, c'est soi-même, alors l’individu est de mauvaise foi et ne peut plus être soi-même. Réciproquement, comment savoir qui je suis en présence d'autrui qui me distrait de moi ? La conscience

L'EXISTENTIALISME EST UN HUMANISME Introduction générale. L'existentialisme est un humanisme est le compte rendu d'une conférence donnée par Sartre le 29 octobre 1945. C'est le fruit d'une recherche commencée dans les 30s. En 1945, il publie l'être et le néant. On peut discerner les influences de la phénoménologie d'Heidegger et de l'intentionnalité de la conscience chez Husserl. Grâce à la phénoménologie, la conscience « s'est purifiée » d'après lui car « elle n'a point de dedans, elle n'est rien

eux : ils ne diffèrent que par leurs formes, leurs positions et leurs mouvements. Les atomes sont en nombre illimité, mais on peut les regrouper en un nombre fini d'espèces. L'autonomie selon Kant L'autonomie est le principe de la moralité chez Kant, selon lequel l'Homme doit agir comme s'il s'instaurait lui-même : il n'obéit alors qu'à sa propre loi et à sa volonté pure. Chacun est donc responsable de l'humanité, dans la mesure où chaque individu accompli librement son propre devoir (raisonnable)