La Mimique Et Le Geste

antique, ni la scène populaire de l’époque shakespearienne n’avaient besoin de décors semblables aux nôtres, visant à créer l’illusion. Et ni dans la Grèce antique, ni dans la vieille Angleterre l’acteur n’était un élément de l’illusion. Avec son geste, sa mimique, ses mouvements plastiques, l’acteur était le seul qui savait et devait exprimer toutes les idées de l’auteur dramatique. Il en allait de même dans le Japon médiéval. Dans les spectacles de Nô, avec leurs cérémonies raffinées où les mouvements

fondamental du théâtre A- "Sans conflit, il n'y a pas de théâtre" : Intérêt. -Le conflit est le centre même de l'intérêt de la pièce. *Il apporte de l’action : - Un conflit est souvent animé par le jeu des comédiens : leur intonation, leur geste, leur mouvement, leur comportement & par le dialogue : insultes, phrases choquantes… Ex : Retour au Désert, Koltès - Il apporte également un nouvelle péripétie & pourquoi un nouveau rebondissement ou nœud dans l’histoire. - Peut expliquer l’action

orchestre et un chœur. Leur gestuelle est stylisée autant que la parole qui semble chantée. La gestuelle est entrecoupée par les fameux miiye qu'ont représenté les graveurs d'acteurs japonais. Ce sont des arrêts prolongés dans le temps du geste et de la mimique afin d'en accroître l'intensité. Constitué fin XIIIe siècle au Japon, le nô est une forme théâtrale unissant deux traditions : les pantomimes dansées et les chroniques versifiées récitées par des bonzes errants. Le drame, dont le protagoniste

rires des spectateurs, amusés devant une situation, ou un personnage de la pièce. Il existe, il est vrai, différents ressorts du registre (comique de situation, de geste, de caractère....) qui déclenche un sourire. Louis de Funès est l'acteur qui vient à l'esprit? Lorsque l'on évoque les nombreuses formes du comique, par ses mimiques très prononcées et très amusantes. De même, dans l'Ecole des Femmes, Molière sait, grâce à son habileté et son écriture, amuser le public. Dans la scène 5 de l'acte

communiquer se résume à la communication verbal : cela passe par l’oral (avec des sons, mots, par la parole…), l’écrit (à l’aide de l’écriture) et par le visuel (panneaux, image..); mais communiquer c’est aussi par le non verbal : les gestes et mimiques, le regard, le sourire, les postures, la proxémique, le rythme de l’élocution, l’intonation, l’expression kinésique… La communication

diagnostics DSM IV : 6 critères min au total - Altération qualitative des interactions sociales : 2 a) altération marquée dans l'utilisation, pour réguler les interactions sociales, de comportements non verbaux multiples, tels que le contact oculaire, la mimique faciale, les postures corporelles, les gestes b) incapacité à établir des relations avec les pairs, correspondant au niveau du développement c) le sujet ne cherche pas spontanément à partager ses plaisirs, ses intérêts ou ses réussites avec d'autres

- Le comique de geste : Le théâtre joue de la présence physique des interprètes : l'acteur comique multiplie les mimiques, parfois les grimaces; les habits ridicules, les accessoires extravagants surprennent; les coups de bâton et les gifles pleuvent en cadence.    II- Le comique de situation : Toute comédie raconte une histoire par une série de scènes qui ménagent d'amusantes surprises: rebondissements, coïncidences, retournements, tous les moyens sont bons pour mettre en difficulté le personnage

orchestre et un chœur. Leur gestuelle est stylisée autant que la parole qui semble chantée. La gestuelle est entrecoupée par les fameux miiye qu'ont représentés les graveurs d'acteurs japonais. Ce sont des arrêts prolongés dans le temps du geste et de la mimique afin d'en accroître l'intensité. Constitué fin XIIIe siècle au Japon, le nô est une forme théâtrale unissant deux traditions : les pantomimes dansées et les chroniques versifiées récitées par des bonzes errants. Le drame, dont le protagoniste

des qualités de clarté et de simplicité. 2- Les étapes du message : L’émetteur envoie le message, il doit : • Le concevoir, penser au message qu’il veut transmettre et à qui. • Le coder, donc de le mettre en forme par la parole, les mimiques, les intonations… • Le transmettre dont cette étape présente le risque d’un parasitage par le bruit ambiant, l’articulation défectueuse de l’émetteur, la pauvreté du vocabulaire… Le récepteur reçoit le message, il doit : • Le décoder

processus social permanent qui intègre différent type de comportement (geste, mimique, langage extra phonique). On prend en compte ce qui est verbal mais aussi non verbal. Non verbal = geste (kinésique) - Gestes paralinguistiques (il y en a trois types) 1. Le geste accompagnateur "je m'en fou" qui va avec la main qui se balance en arrière. 2. Le geste complémentaire : vient compléter l'énoncer verbal. 3. Le geste substitutif : se substitue à l'énoncer oral. 'Hochement de la tête = OUI'