La Mimésis Théatre

la thèse de Flaubert selon laquelle le travail de l’écrivain est œuvre de restitution de l’impression que produit le réel. Il faudra ensuite nuancer en montrant que cette impression ne dépend pas nécessairement du style, mais aussi de son degré de mimésis (imitation de la nature). Enfin, on verra que pour rendre le réel, il faut l’exagérer. Dans un premier temps, on peut tout à fait acquiscer à l’idée selon laquelle, le réalisme est dans le travail du style et dans une sorte “d’impressionnisme”

« La tragédie est la représentation — ou l’imitation — d’un acte : mimêsis praxeôs.» Cette notion de mimêsis, qui marque un déclin dans la connaissance selon Platon — puisque c’est l’échec d’une connaissance directe, c'est-à-dire sans médiation, de la vérité qui la rend nécessaire — prend au contraire chez Aristote la valeur d’une démonstration et d’un développement : le déroulement de la représentation tragique tel qu’Aristote l’interprète montre ce que peut la praxis humaine et comment les épisodes

littérature se fait (et cela non pas de manière systématique) reflet d’une critique morale. Certains genres littéraires sont spécialement liés à la morale comme l’épopée, la satire, les apologues qui se veulent porteurs d’une leçon ou même le théâtre classique dans le jugement de certains personnages (cf. le jugement divin du personnage éponyme de Don Juan pour son comportement par la statue du commandeur au Vè acte) et ce trait ne tient pas qu’à la période classique en effet, au Moyen-Âge, il

de français : le THEATRE Le théâtre est un art réputé depuis l'Antiquité. A Athènes, les citoyens assistaient en masse aux représentations théâtrales. Le théâtre y était considéré, non seulement comme un divertissement, mais comme un moyen d'éducation morale et civique. On peut alors se demander si le théâtre a pour but de divertir ou de transmettre des idées ? En première partie , nous verrons donc si le théâtre a pour but de divertir. Et en deuxième partie, si le théâtre a pour but de transmettre

coup de théâtre qui dénoue l’action. A l’époque classique, le terme s’est confondu avec celui de dénouement pour désigner l’issue funeste de la tragédie. » B. L. Comédie  : définition de TLF en ligne. «  [À l'époque class., p. oppos. à la tragédie puis au drame] Pièce mettant en scène des personnages de condition moyenne ou basse dans un cadre quotidien et dont le dénouement est toujours heureux. » Mais attention à son sens ancien où le terme est synonyme de pièce de théâtre.

cependant la touche particulière de l’artiste ne permet pas de retranscrire un espace véritable. Le spectateur doit faire appel à ses émotions pour appréhender ses images. Il s’agit davantage de figurations de sentiments que d’une représentation dont la mimesis rappelle l’image documentaire. La musique, selon Hector Berlioz, est un art par lequel on a accès par la sensibilité, mais également par l’imaginaire. Elle est donc subjective et par là même inassimilable au réel. Tout art se trouve au croisement

est adapté (à son public). « la question de l’homme » renvoie à la condition de l’être humain à travers la pièce de théâtre : la condition des femmes et l’émancipation, le rapport homme/femme, l’opposition des classes sociales (le peuple/la bourgeoisie, la bourgeoisie/l’aristocratie, le mariage (parent/enfant). «Dans quelle mesure» suggère de chercher pourquoi la pièce de théâtre La Colonie de Marivaux est efficace, donc d’analyser ses atouts, mais de chercher aussi ses moyens spécifiques pour

corps - Amour de tous les beaux corps. - La beauté de l’âme. - La beauté des actions (Vie pratique, éthique, politique) - La beauté des pensées, des connaissances (Vie contemplative) - Contemplation de la beauté de l’idée du bien. ART : - Mimesis, infériorité de l’art. Art = Simulacre - La beauté essentielle n’as rien à voir avec l’art. Mais l’art lui à affaire avec la beauté. L’art dépend du beau qu’il prétend représenter. - > Le beau est indépendant de l’art mais l’art est dépendant

avec le théâtre d'Artaud. Rapport Spatial dans le théâtre Alfred Jarry : volonté d'un cercle sans rupture entre le spectateur et l'acteur. - Spectateur prisonnier : Artaud se retrouve au milieu du cercle de danseurs qui l'initient. - Idée de rêve : Les objets sont signe (// psychanalyse...), donc langage : théâtre = lieu de déploiement dans l'espace d'un espace lui-même espace de déploiement. Espace = langage qui se déploie dans le temps de la représentation. - Change le rapport à la mimesis : Artaud

Dissertation : Le monologue, souvent utilisé au théâtre, paraît peu naturel. En prenant appui sur les textes du corpus, sur différentes pièces que vous avez pu lire ou voir et en vous référant à divers éléments propres au théâtre (costumes, décor, éclairages, gestes, voix, etc.), vous vous demanderez si le théâtre est seulement un art de l’artifice et de l’illusion. L’art du théâtre est, dès l’antiquité, associé à la représentation. Re-présentation, le mot est important. Aristote le traitait