La Mise En Concurrence Des Monopoles Publics

industrielle. Demande, couts, mesures de bien-être économiques, pouvoir de marche, efficacité économique. 3. La Firme. Comportement, frontières. 4. Concurrence Pure et parfaite. Définition, propriétés de l’équilibre concurrentiel. 5. Monopole. Firme non régulée (tarification uniforme et discriminatoire) régulation du monopole naturel (de Ramsey-Boiteux par le taux de rendement u capital, incitative par un prix de plafond) 6. Oligopole. Notions de base de théorie des jeux, Bertrand

analyse micro. Correction des imperfections de marché + externalités : R&D innovation, formation professionnelle, environnement. Rendements d’échelle croissants : existence de monopole naturel, une seule firme peut exister. Justification très forte pour réguler le monopole naturel afin d’éviter que la politique du monopole viennent réduire les Q produites pour maximiser son profit en augmentant ses prix. Ex : transports, électricité. Imperfections des marchés financiers : assurances, aléa moral

spécification des produits ; Il peut réglementer la concurrence, par exemple en freinant la disparition des petites entreprises qui seraient éliminées par une vive concurrence en maintenant des industries peu rentables mais jugées stratégiques soit du fait de leur production, leur localisation, du fait de leur nature (liée à la défense nationale) ou de leur âge (industrie naissante). La non-intervention de l’Etat et le libre jeu de la concurrence entraînent le développement de firmes de grande taille

inciter à une concurrence exacerbée et aboutir à une concurrence pure et parfaite. Selon Léon WALRAS : il fallait une pluralité d'offreurs et de demandeurs pour éviter une situation monopolistique, permettre l'information des agents économiques, limiter les barrières à l'entrée et à la sortie des secteurs, permettre aux facteurs de production de se déplacer librement d'un secteur à l'autre. Le marché transparent et lisible est un idéal vers lequel il faut tendre car la concurrence pure et parfaite

concurrentiel qui tend vers un équilibre général Les néoclassiques poursuivirent en mettant en avant l'idée de marché concurrentiel qui conduisait vers un équilibre général. En effet, l'économie de marché devait inciter à une concurrence exacerbée et aboutir à une concurrence pure et parfaite (CPP). Selon Léon WALRAS : il fallait une pluralité d'offreurs et de demandeurs pour éviter une situation monopolistique, permettre l'information des agents économiques, limiter les barrières à l'entrée et à

« d'enfant terrible ». Une concurrence malmenée ouvertement : La firme mondiale dirigée par Steve Jobs a du faire face tout d'abord a IBM, qui était alors la plus grande entreprise informatique du monde. Déjà implantée et reconnue, Steve Jobs a voulu rivaliser avec elle dès ses débuts. Non content d'avoir réussi a détrôner l'entreprise, en sortant l'Apple II, il se permet néanmoins de critiquer publiquement son concurrent : « Je suis intrigué qu'IBM n'ait jamais pu concurrencer l'Apple II, qui a été

traditionnelle n’est pas efficace 1. Pourquoi César accorde t-il aussi peu d’importance aux solutions proposées ? Ayez une approche économique et politique. 2. Arrive enfin le conseil de Caius Saugrenus….Quelle sera la stratégie des romains? b) Mise en place d’une « guerre de marché » 1. Imaginons que Caius Saugrenus soit honnête et qu’il soit impatient de posséder un menhir, deux solutions s’offrent à lui, lesquelles ? 2. Quel type d’échange marchand (définition page 24) Caius Saugrenus propose-t-il

de marchés financiers puissants. Pierre-Cyrille Hautcoeur, Paul LagneauYmonet et Angelo Riva montrent toutefois, en se concentrant sur le cas français, que les deux mouvements sont bien distincts : alors que la Bourse d’avant 1914 offrait un cadre public et réglementé pour les échanges de capitaux, la finance contemporaine opère dans des structures de marché de plus en plus opaques, du fait, notamment, de la transnationalisation des investisseurs et de la privatisation des transactions. C. F. transformations

décrire précisément le projet de libéralisation et ses objectifs. Une deuxième partie sera consacrée pour sa mise en œuvre et enfin nous verrons que ce projet présente des limites. 1) Le projet de libéralisation du service postal européen Historiquement, la plupart des pays d’Europe bénéficiait d’un service postal (distribution du courrier, des colis, communication…) public, géré par les Etats et dont le personnel était fonctionnarisé. Citons, par exemple, la poste allemande

Troisième partie : 29 Le monopole Bancaire 29 Introduction 29 Limites du monopole au regard des opérations bancaires 29 Définition 29 Contenu du monopole 29 Opérations soumises au monopole bancaire 30 Sanctions en cas de non respect du monopole bancaire 30 Exceptions et dérogations au monopole 31 Opérations autorisées 31 Le monopole au regard communautaire 32 Les règles du monopole 33 Introduction 33 Limitation de la concurrence 33 Les limitations commerciales