La Mise en scène de la vie quotidienne

« Route à la campagne. Avec arbre. » Alain Robbe-Grillet décrivait ainsi le décor de la mise en scène de Roger Blin : « Le décor ne représente rien, ou à peu près – une route ? – mettons, d’une façon plus générale : dehors. La seule précision notable est constituée par un arbre, chétif, à peine un arbuste – et sans la moindre feuille – mettons : un squelette d’arbuste. »7 Bernard Levy et son scénographe Giulio Lichtner font deux choix délibérés de couleur et de forme : la grisaille et l’arrondi

décembre 2010. description 1 scénographie De part son caractère folklorique, tout dans cette pièce chorégraphique nous invite à voyager dans la culture arménienne. Que ce soit au niveau des costumes ou encore de la musique, la scénographie, mise en scène par différentes dispositions scénique, s'inspire de cette culture. 1 Lumières Pour commencer à parler de la scénographie, il faut aborder la lumière. Cette dernière, dans cette pièce chorégraphique ne semble pas avoir une grande importance

hollywoodienne à de véritables phénomènes recrutés dans le milieu forain, Tod Browning ose l’inimaginable. Familier de l’univers forain et, plus largement, fasciné par tout ce qui tient du spectacle et de la marge, Tod Browning s’attache sobrement à la vie quotidienne dans les coulisses du cirque : il ausculte les rapports entre les différents artistes, les désirs et les illusions qui en découlent, conte la transformation initiatique des personnages. Surtout, en suscitant la projection du spectateur sur les

ce procès. Radicalement opposés les deux, Baudelaire romantique, Flaubert réaliste avec Balzac et Zola et Stendhal comme précurseur. Flaubert, réaliste depuis Mme Bovary, meurs de Province, qui témoigne d'un projet de dépeindre la médiocrité du quotidien, c'est la peinture de la médiocrité et la condamnation de l'imagination romantique. Projet réaliste ou écriture au scalpel, objective voire scientifique venue du père, chirurgien. Correspondance de Flaubert, Louise COLET 1852 : « nul lyrisme, pas

mais reste tout de même une simple représentation qui a pour but de passer un message au lecteur par le biais des émotions. La mise en scène est également capitale dans la mise en scène pour que le lecteur puisse rattacher la pièce à la réalité ; c’est ce moment qui est sensé donner au spectateur une émotion, le faire rire, pleurer ou même se poser une réflexion. Mais la scène peut très bien tourner à la caricature si il y a une exagération et alors le spectateur a une image bien éloignée di réel malgré

dans l’espace, juste deux hommes face à face qui nous donnent une belle leçon d’humanité. A la suite d’un accident de parapente, Philippe, riche aristocrate, devient paraplégique. Il décide alors d’engager un aide à domicile afin de l’aider au quotidien. Son choix se porte sur un candidat aux antipodes du milieu bourgeois parisien, Driss, un jeune de banlieue tout juste sorti de prison. Il vont partager leurs journées, leurs univers et une touchante amitié va naitre de ces échanges. Cette relation

technique de théâtre mise au point dans les années 1960 par l’homme de théâtre brésilien Augusto Boal, dans les favelas de São Paulo. Le principe en est que les comédiens improvisent puis fixent une scène de 15 à 20 minutes sur des thèmes illustrant des situations d’oppression ou des sujets problématiques de la réalité sociale, économique, sanitaire d’une communauté. Ils vont ensuite la jouer sur les lieux de vie de la communauté à qui est destiné le message. À la fin de la scène, - dont la conclusion

  NIVEAU  1  :  LES  PERSONNAGES  D’UNE  SCENE  DE  GENRE  RAPPORTEE  DU  QUOTIDIEN   NIVEAU  2  :  LES  IMAGES  DE  CES  PERSONNAGES  CITES  PAR  LES  MEDIAS   GRISAILLES  DES  POLYPTYQUES  A  LA  FIN  DU  MOYEN-­‐ÂGE   LE  RETABLE  DU  JUGEMENT  DERNIER  -­‐  DE  ROGIER  VAN  DER  WEYDEN   MISE  EN  SCENE  DU  PERSONNAGE  FEMININ  A  LA  RENAISSANCE

Antigone, une pièce unique en son genre. Présentation : Antigone la pièce de théâtre. La mise en scène Les acteurs Sujet de la pièce et connaissance du personnage principale Le décor Les costumes L’éclairage et la musique Le jeu des comédiens Les deux passages d’Antigone et la nourrice Conclusion Tout cela, est hallucinant, quand on y pense c’est une vraie histoire hors commun. Sophocle en particulier qui fait un travail d’écriture splendide pour pouvoir nous présenter une chef d’œuvre, mais

ou la Vie (1994), suggère que l’existence de camps d’extermination est tellement inimaginable qu’on ne peut se contenter de dire les choses telles qu’elles se sont passées, il faut avoir recours à l’artifice : « Comment raconter une vérité peu crédible, comment susciter l’imagination de l’inimaginable, si ce n’est en élaborant, en travaillant la réalité, en la mettant en perspective ? Avec un peu d’artifice, donc ! » Les personnages de L’Atelier se heurtent à la même difficulté. À la scène 5, Léon