La Modernité Metaphysique

beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre ans plus tard. Le Discours de la méthode est aussi l'occasion pour Descartes de présenter une morale provisoire, tenant en quelques maximes de conduite, et de développer des considérations sur les animaux (théorie des « animaux-machines ») et sur le rôle du cœur dans la circulation du sang. Enfin, le traité présente des déclarations sur le rapport de l'homme à la nature, représentatives de la modernité, puisque Descartes y dit que les hommes

l’époque (pélagiens) qui minimise au maximum le rôle de la grâce divine concernant le salut. Par conséquent, pour Augustin, la volonté de l’homme existe, mais elle est entravée par le péché. De cette manière, le problème du mal n’est pas d’ordre métaphysique (un combat entre les forces du bien et les forces du mal) comme le pensaient les manichéens, mais plutôt un problème interne au sujet humain, c’est-à-dire d’ordre éthique. Pour Augustin, le mal relève donc de la responsabilité de l’homme et le

la séduction du langage, mais qui ne diffère pas essentiellement de la prose. Victor Hugo et De Vigny, à l’époque romantique, font de la poésie “l’étoile qui mène à Dieu rois et pasteurs” (Fonction du poète de Victor Hugo). La poésie devient métaphysique, “perle de la pensée” (De Vigny), langage condensé et précieux. C’est un langage spécifique qui livre un trésor. Le romantisme fait du poète un mage, un voyant, un prophète. Rimbaud conçoit la poésie comme “une aventure de l’esprit qui conduirait

l’islam, du judaïsme etc. La religion est le plus souvent perçue comme une morale concrète ou sa garantie.     L'inconvénient, c'est que le caractère sacré du devoir et la référence religieuse sont pour la plupart d'entre nous peu convaincants. La modernité de nos sociétés s'est bâtie en cherchant à émanciper la morale de la religion. Notre morale est d'abord laïque, même si elle peut aussi recevoir l'appui d'une autorité religieuse. Avec les religions, nous sommes placés devant des autorités relatives

de pouvoir qui ne viennent de Dieu » , « omni potestas a deo » (tout pouvoir a pour origine dieu). Repris pas saint-Thomas, en 3 mots « ... sed per populum » (… mais par le peuple). On est dans une vision fondamental car on a l'origine même de la modernité. On est sur une ligne intellectuelle car il y a une naissance de dieu et un exercice du pouvoir par les hommes. Si le pouvoir est en dieu, en revanche l'articulation ici ne doit rien a l'intervention divine, mais a l'action des hommes. => la source

recommandations des projets correspondants. | La philosophie africaine est utilisée de différentes façons par différents philosophes. Bien que les philosophes africains passent leur temps à faire des travaux dans de nombreux domaines, tels que la métaphysique, l'épistémologie, l'éthique, et la philosophie politique, une grande partie de la littérature est repris par un débat sur la nature de la philosophie africaine elle-même. D'un côté, l'expression désigne l'ethnophilosophie de l'Afrique, soit l'exposition

publier des critiques d’art. Grand admirateur des œuvres de Cézanne – un « pré-cubiste » – et ami de Picasso, il se place comme un défenseur des cubistes, beaucoup critiqués par la société, voyant dans ce nouveau mouvement une véritable dimension métaphysique. Il quitte alors Marie après cinq ans de relation et s’inspire de cette rupture pour écrire Le Pont Mirabeau. Il rencontre Blaise Cendrars et lit Les Pâques à New York, poème qu’il utilisera pour écrire Zone. En 1913, il décide de rassembler ses

judaïsme etc. La religion est le plus souvent perçue comme une morale concrète ou sa garantie (texte). L'inconvénient, c'est que le caractère sacré du devoir et la référence religieuse sont pour la plupart d'entre nous peu convaincants. La modernité de nos sociétés s'est bâtie en cherchant à émanciper la morale de la religion. Notre morale est d'abord laïque, même si elle peut aussi recevoir l'appui d'une autorité religieuse. Avec les religions, nous sommes placés devant des autorités relatives

Dès leurs premières expositions, le public ne comprend pas cette nouvelle manière de peindre, les critiques sont scandalisés, mais les artistes, peintres, poètes ou écrivains, sont emballés. Le cubisme marque véritablement le commencement de la modernité dans l’ art. Il marque également le début du «divorce» entre l’ art et le grand public qui ne comprend plus les peintres qui, pour la première fois, n’ ont pas le souci de «faire beau», mais plutôt de «faire autrement», de faire comme personne n’

dessins Les Méta-Matics Contexte: il crée ses « machines » pendant les 30 Glorieuses (1945-1973), peu après guerre. -Il interroge le rôle de la machine dans la modernité, leurs statut dans la société et la dépendance de l'homme vis à vis de de celles-ci, son regard à ce sujet est ambivalent, à la fois confiant et critique envers la modernité, il introduit la machine dans l'art en montrant un aspect ludique et inutile en apparence. (Avant les Méta Matics, il fait les tableaux-reliefs, qui sont des sculptures