La Mondialisation Définition

et est à privilégier quand l’énoncé se présente sous forme interrogative suggérant l’idée d’un débat (exemple: “la mondialisation culturelle: uniformisation ou diversification?”   Le plan didactique (fait-cause-conséquence) est à utiliser quand on veut mettre en valeur des liens de cause à effet (exemple: “l’influence de la mondialisation économique sur la mondialisation politique“) + Le plan   En général, un plan comporte donc 2-3 grandes parties, ellesmêmes divisées en sous-parties

sociologiques, analyse la dimension spatiale du processus de mondialisation. En série ES, on veillera à une véritable concertation avec le professeur de sciences économiques et sociales (la question du nouveau programme de terminale de sciences économiques et sociales « Internationalisation des échanges et mondialisation» gagnera à être traitée en parallèle avec la question de géographie). Commentaire des thèmes d’étude – séries ES et L Mondialisation et interdépendances (5 ou 6 heures) À l’échelle

................................... fiche concept 29. État-providence et protection sociale ............................................... fiche schéma III/ LES ENJEUX DE L’OUVERTURE INTERNATIONALE 6. Internationalisation des échanges et mondialisation Commerce international, croissance et développement 30. L’échange international ..................................................................... fiche concept 31. Le libre-échange ......................................................

La nouvelle mondialisation des marques. La mondialisation est au cœur de tous les débats et apparaît étrangement comme un phénomène nouveau pour beaucoup.  Les marques, elles, ont déjà connu une mondialisation.  Celle, née de l’ère industrielle et du marché de masse. En un siècle, passant de la fabrique à l’atelier, de la manufacture à l’industrie.  La reproductibilité et la standardisation sont devenues des valeurs centrales. En un demi-siècle, l’urbanisation a été un phénomène sociologique

Mondialisation, croissance et pauvreté Exposé réalisé par : Mlle. K. MOUZIENE Selon les chiffres du Commissariat au plan, le taux de pauvreté est passé de 16,5% en 1994 à 14,2% en 2004. Mieux encore, selon les équipes d'Ahmed Lahlimi, "le taux de pauvreté national a décliné de près de quatre fois depuis 1960. Ce déclin a été de 5,5 fois en milieu urbain et de 2,7 fois en milieu rural". Cette embellie résulte, toujours selon Lahlimi, de l'amélioration des conditions de vie. Les

lente, calme et active. Faire attention à ne pas perdre le sens des mots ou à les écarter du sens contextuel. 2/ La définition des mots et expressions clefs. Si possible, les définir en expressions clefs afin de ne pas dénaturer le sujet, expliquer les mots, les décortiquer, les dévêtir en les rendant le plus accessible possible tout en restant dans le contexte. La définition, il faut prendre les divers aspects des mots en tenant compte des considérations personnelles, celles d’autrui et celles

repli identitaire, monde métis… Ces expressions et concepts animent, depuis plusieurs années, les débats publics et scientifiques. En effet, si les conséquences économiques ou politiques de la mondialisation sont indéniables et sont l’objet de nombreuses discussions, les conséquences culturelles de la mondialisation, parce qu’elles renvoient notamment à la manière dont nous nous pensons, interrogeant ainsi les identités, posent questions. Pourtant, globalisation et culture sont inséparables, la globalisation

La définition de la mondialisation c’est : tout le monde dans l’économie de marché. Imposition du libre échange. Un espace intégré, interconnecté par le marché. Le marché mondialisé est facteur de nouvelle crise : géopolitique. La dialectique de la mondialisation c’est le marché et les territoires et entre les deux les relations qui les structures ; * A la base, une relation verticale classique de centre a périphérie qui découle tout droit de la guerre froide. Le nord=la triade ce nord a un

Définition de la notion d’altermondialisme : Il s’agit d’un mouvement qui, sans rejeter la mondialisation, propose de la contrôler, de donner aux citoyens et aux organisations internationales, un pouvoir de régulation. Ce mouvement s’est développé à partir de 1999, en contrepoint à la tenue à Seattle de la première conférence de l’OMC. Il est né d’abord d’une mobilisation de la société civile qui, se jugeant mal représentée par les structures politiques et sociales traditionnelles (partis politiques

différence des premières, elles ne réunissent qu’un nombre limité d’États en fonction de leur proximité géographique et/ou de leurs affinités politiques, militaires, économiques, sociales, religieuses, culturelles, etc. Aussi commode soit-elle, cette définition ne doit pas occulter l’imprécision du lien unissant géographie et région, tout comme la complexité d’une notion qui évolue en fonction des transformations des contextes internationaux. Ce caractère incertain et souple du régionalisme explique largement