La Monstruosité

désacralisation féminine est le scalpel : ce dernier donne lieu à une peinture de la défiguration féminine. Puisque, comme nous l'avons vu, femme et poésie sont liés, il faut les défigurer ensemble, pour créer une matière nouvelle : celle de la monstruosité. D'où le caractère dangereux de la femme, comme tu l'as vu ; elle est un monstre : "La Géante" (Spleen et Idéal, XIX), "Les Petites vieilles" (Tableaux parisiens, XCI)

Contrairement à Quasimodo, Eléphant Man est contraint de se cacher derrière une sorte de cagoule. Le regard de la société sur le monstre est un regard humiliant et d’une profonde cruauté. La société rejette la laideur bien qu’elle soit fascinée par cette monstruosité. On vise à se moquer du monstre : L’auteur fait de l’ironie lorsqu’il évoque la « Grimace » en désignant le personnage de Quasimodo car il s’agit réellement du visage de Quasimodo. Victor Hugo décrit son visage comme une sorte d’imperfection.

pour le rétablissement de la peine de mort : 1)Lorsque les dignitaires nazis ont été jugés à Nuremberg il y a eu des condamnations à mort. A alors été crée la notion de crime contre l'humanité. Cela veut bien dire qu'il y a des gens dont la monstruosité des actes les font sortir de l'humanité, même chose pour les crimes de barbarie. 2)On ne peut pas garder tout les criminels et délinquants en prison, il n'y aurait pas assez de place, et cela coûterait trop cher, les criminels les plus dangereux

indéscriptible ; on aurait pu me résumer a un puzzle mal construit, avec des pièces en trop et des pièces manquantes. Si la boutique avait exposé des tableaux, je n'aurais été étonné de me voir en avant-vitrine avec comme titre « chef d'oeuvre de la monstruosité ». Je me sentis défaillir. Je m'évanouis sur place, et aujourd'hui, bien éveillé, je vous conte mon histoire, celle de la naissance d'un monstre, éloigné de toute vie sociale, écarté du monde humain. 

Rédiger le portrait d’un être merveilleux et monstrueux, tel le paysan du roman de Chrétien de Troyes, Yvain ou Le chevalier au lion. Vous devez d’abord raconter la traversée du chevalier errant dans la forêt. Dites ensuite sa stupeur face à la monstruosité de celui qu’il rencontre. Enfin faites le portrait de l’être rencontré. Pour mieux bâtir votre texte, songez à faire des paragraphes : - premier paragraphe : la traversée du chevalier dans une épaisse forêt - deuxième paragraphe : la stupeur

rencontré (dilemme) Buts :- plaire et toucher -visée morale : toucher et instruire Une tragédie n’est pas systématiquement tragique a la fin. -Effet sur les spectateurs -pitié pour les personnages qui souffrent -terreur devant la monstruosité des actes des personnes. -admiration devant la force exceptionnelle du personnage face à son destin. Molière et la comédie La comédie cherche à faire sourire ou à faire rire en mettant en scène des défauts et les ridicules des hommes de

lieu : descendante du soleil (ciel et lumière) dont elle veut se cacher, elle est aussi fille de Minos (terre et ombre) qui tient l’urne fatale dans la nuit infernale (94–). Surtout : Phèdre se réfère (mais bien sûr de façon très allusive) à la monstruosité de sa mère et à ses égarements (46-), au feu fatal à tout mon sang (66-), à son sang déplorable (47-). Phèdre relève cette hérédité et se reconnaît – même si c’est négativement – en elle : elle se définit elle-même comme un monstre (67-), évoque

barbarie de la machine de guerre israélienne ? Or, existe-t-il réellement un seul motif « raisonnable » qui doit conduire les mortels à commettre tant d’atrocités ? Bien évidemment, NON. Cependant, Il n’ y a aucun doute que derrière toutes ces monstruosités se cache le visage hideux de l’égoïsme  humain  qui a atteint son apogée de telle sorte que personne n’arrive plus à «  digérer »  la présence de quiconque à ses côtés, jugeant, à tort, que différence est synonyme de danger et de menace pour son

se transforment progressivement en cris et voix qui hurle et finit avec «décroit» 3. Figures de style  Personnalisation du bruit qui devient vivant et qui comme montré avant grandi tout le long du poème  Hyperboles qui montrent toute la monstruosité de la troupe Troisième axe : un cauchemar…réel ? 1. Champ lexical  Sont présents Le lexique du sommeil : «Tout dort» ; «Qui s’endort» ; «L’enfant qui rêve fait des rêves d’or» Le champ lexical de la naissance/mort : «De mort» ; «Naît

D. ? Registre familier. 4. Comment se prénommait l’enfant des Tuvache que les d’Hubières voulaient adopter ? A. ? Charlot. B. ? Charles. C. ? Jean. D. ? Manon. 5. Par quel nom la mère Tuvache qualifia-t-elle la proposition d'adoption ? A. ? Une monstruosité. B. ? Une abomination. C. ? Une abjection. D. ? Une corruption. 6. De quelle couleur étaient les cheveux de l’enfant des Tuvache que les d’Hubières désiraient adopter ? A. ? Cheveux blonds. B. ? Cheveux marron. C. ? Cheveux châtains. D. ? Cheveux