La Monstruosité

Synthèse sur la monstruosité (corrigé) la monstruosité est un topos bien connu de la littérature, des arts et des discours scientifiques et historiques, probablement parce qu'elle va de pair avec par opposition, l'autre face de Janus: l'humanité. Est monstrueux tout ce qui choque la définition ordinaire et souvent valorisante que nous avons de notre propre qualité humaine. Le corpus proposé met en perspective des documents variés de par leur genre (textes fictionnels, comme avec

une pièce de théâtre, mais celles-ci ont-elles toutes leur place sur scène, comme ici la monstruosité de l'Homme ? C'est pour répondre à cette problématique que nous allons tout d'abord analyser la monstruosité humaine au travers du texte théâtrale, car il a une place importante quant à la transmission des émotions. Après quoi nous l'étudierons au travers des mises en scène possible de cette même monstruosité, qui vient compléter visuellement la représentation des horreurs faite par l'humanité.

réfléchirez à la notion de monstruosité telle qu'elle est développée dans le roman Frankenstein (1818) de Mary Shelley et dans celui de Barbey d'Aurevilly. Mots clés: Dieu + mort : - idée du destin funeste // tragédie. La volonté divine le sauve mais pr qu’il accomplisse un destin funeste. - idée d’une punition divine : la laideur, pr le châtier de son suicide (crime inaccompli), acte sacrilège pr un chrétien. Le châtiment : horrifier les autres et lui-même. --} la monstruosité = un châtiment divin contre

Il évoque le travail dur, et pénible, la misère, l'exploitation des enfants dans les sociétés modernes, et les conséquences du travail d'enfants. Il fait part de ses sentiments, d'idées de justice et de liberté. Hugo montre ici toute la monstruosité qui enveloppe l'homme. Dans « Aujourd'hui » on peut sentir la souffrance que ressent le poète dû au décès de sa fille Léopoldine. En effet il apprit la mort tragique et prématurée de sa fille que quatre jours après l'accident, dans la press

rit de Victor Hugo, sont des romans du mouvement réaliste. Tout ces romans donnent une vision différente de la monstruosité humaine. Pour Mary Shelley le monstre qu'a créer Frankenstein est un être bon mais qui est devenu monstrueux, par ses crimes et par sa laideur, car la société l'a rejeté. L'auteur évoque dans cet extraits deux aspects de la monstruosité. Tout d'abord la monstruosité physique est exprimée très explicitement « une silhouette que je ne peux trouver de mots pour décrire […] difforme

influence les décisions des personnes. La société crée la monstruosité chez les personnes. Il est bouleversant à quel point les expériences vécues pendant la guerre, ceux qui ont dit qu'ils ne vous trahissent pas et les gens qui vous influencent dans la vie sont ceux qui peuvent vous transformer en votre pire cauchemar; le monstre que vous avez toujours craint. En premier lieu, Jean Barbe présente la guerre comme étant une des raisons de la monstruosité des gens. D’abord, la guerre est présentée par la

L’humanité, qui est l’amour de soi étendu a tous ses semblables semble exclure la méchanceté et ma monstruosité, car, a priori ces deux concepts ne sont pas humain, ce n’est pas propre a l’homme c’est contre nature. Or, le sujet « la méchanceté peut-elle être monstrueuse ? » suppose que l’homme est méchant. Le sujet nous propose une possibilité logique ; à savoir qu’il est logiquement possible que la méchanceté soit monstrueuse, puisqu’elle a pour but de blesser et d’atteindre sont semblable

INTRODUCTION. La monstruosité peut être un caractère d'une personne présentant une malformation importante, un être fantastique de la mythologie, des légendes, une personne d'une laideur repoussante, un animal effrayant (comme un montre marin) ou encore, une personne dont les sentiments inhumains provoquent l'horreur. Le corpus de texte en lien avec la monstruosité est composé de deux textes de Pierre Corneille, Médée (1635) et Rodogune

article1222 La belle et la bête - Enseignement - Disciplines - Lettres et sciences humaines - Lettres - Français - Corpus : le thème du monstre - Date de mise en ligne : mardi 17 avril 2012 Description : Dans le cadre d'un groupement sur la monstruosité en classe de 1S4, voici un commentaire du texte de Jeanne-marie Leprince de Beaumont figurant à la page 276 du manuel de français L'écume des Lettres. Lycées de Fécamp Copyright © Lycées de Fécamp Page 1/4 La belle et la bête Introduction

Problematique: montrer qu'à la laideur physique ne s'associe pas nécessairement la laideur morale. Nous verrons dans l'extrait proposé que si la Bête est un monstre physique, il gagne néanmoins par ses qualités ses galons d'humanité. La monstruosité Trois opinions semblent confirmer la bestialité du personnage masculin : celle du narrateur, celle de la Belle et celle de la Bête elle-même. Le narrateur: Le narrateur a deux termes pour évoquer le personnage masculin : "la Bête" et "le monstre".