La Monstruosité

ne pas se transformer en monstre (l’anomalie monstrueuse). En premier lieu, nous pouvons constater que les habitants de ce petit village se transforment en monstre parce qu’ils se comportent comme des bêtes. Tout d’abord, on peut constater la monstruosité des personnages à travers le comportement de Jean. Il se considère comme étant supérieur aux autres. En effet, il est hautain, méprisant et il est condescendant. Il veut imposer ses idées. Il juge les autres et leur vision de la vie. Même s’il

Rabelais, le principal auteur humaniste, aristocrate, il fait une réflexion sur l’Homme en s’étudiant lui-même. Chacun de ces auteurs nous livre une thèse différente sur l’origine des « monstres ». LECTURE Problématique : quelles visions de la monstruosité nous donnent-ils ? Et peut-on donner des limites à la notion d’humanité ? Pour répondre à la question posée deux axes seront développés avec tout d’abord deux thèses opposées sur l’origine des monstres qui donnent deux visions différentes de l’Homme

du jugement divin diffère. Si pour Paré, la naissance du monstre est un signe de malédiction qui ne doit rien au hasard comme le suggèrent les lignes 10 à 15, le « Dieu » de Montaigne apparaît, a contrario, bienveillant et plein de bonté : la monstruosité n’est pas un signe prophétique mais la preuve que l’humanité est plurielle. Le terme « monstre » est donc inventé par l’homme pour désigner ces créatures qui diffèrent de celles auxquelles ce dernier est habitué « Les [êtres] que nous appelons

de mauvais présages. Quant à la bestialité, celle-ci renvoie aux forces obscures qui habitent l’esprit des êtres humains et les poussent ainsi à agir de manière malsaine, à faire le mal. Le monstre est-il donc une bête ? En effet, les notions de monstruosité et de bestialité sont intimement liées puisque celui ou celle qui se comporte en tant qu’une bête, en accomplissant des actes contraires à la morale éthique des êtres humains, apparaît alors comme un monstre immoral, car il est donc hors de la

n’éprouve aucune compassion. Comment et de quelle manière les auteurs ré-humanise t-ils les différents types de monstres présents dans ces extraits ? Les auteurs des trois textes relatent des événements inédits et extreme pour présenter la monstruosité. Premièrement on reconnait des situations inédites, situations qui dans le texte de Montaigne sont qualifiés de « contre nature » c’est à dire de chose qui « arrive contrairement à l’habitude ». En effet dans le texte de Montaigne, des enfants

qui rit, Commentaire Problématique: Comment Victor Hugo parvient-il à démontrer que le rire de Gwynplaine n'est pas celui d'un monstre? Plan: I-Une apparence qui le décrit comme un monstre a) Insiste sur sa laideur et sa monstruosité → Champ lexical de la laideur/monstruosité, insiste sur le fait qu'il ne soit pas beau à regarder. → Comparaison a Satan qui montre que son rire est monstrueux. Satan incarne le mal et la tentation, il est à l'origine l'accusateur ou l'adversaire avant de devenir un

peine il se portera volontaire pour une expérience et sera le cobaye d’une cure de décriminalisation et de désexualisation. « Film d’anticipation » / satire de la société moderne Comment le déguisement et la mise en scène participent à la monstruosité de nos 4 « droggies » ? I/ Une esthétique du grotesque : l’habit, le masque, le jeu II/ L’ignominie et son impact psychologique I/ Une esthétique du grotesque 1/ La scène s’ouvre sur des rires bestiaux, des cris, les 4 « droggies

que l’on rejette hors de l’humanité certains êtres issus d’elle, on se heurte à une difficulté que nous avons par deux fois rencontrée : la continuité. Il faut d’abord prendre conscience de la relativité et même de la subjectivité du concept de monstruosité biologique : « On réserve cette dénomination aux aberrations les plus spectaculaires.8 » Mais qu’est-ce qu’une aberration “spectaculaire” ? En fait, on peut légitimement faire relever de la tératologie, à partir de critères biologiques rigoureux

J’ai écrit ce film pour faire ressortir le caractère monstrueux de l’homme, pour dénoncer les aspects les plus sombres de l’homme. Les personnes changent très vite, et pas toujours en bien. Dans mon film, il n’y aura pas de monstruosité physique, seulement de la monstruosité psychologique. L’histoire de la fille qui décède et le repas de famille durant lequel Jean-Pierre raconte son histoire à son petit fils seront contés au spectateur avec un gros plan sur une bouche qui parle. Puis nous prendrons

les dernières infamies ; mon Aristide c'est le spéculateur né des bouleversements de Paris, l'enrichi impudent, qui joue à la Bourse avec tout ce qui lui tombe sous la main femme, enfants, honneurs, conscience. Et, j'ai essayé, avec ces trois monstruosités sociales, de donner une idée de l'effroyable bourbier dans lequel la France se noyait." "Dans l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire, La Curée est la note de l'or et de la chair. L'artiste en moi se refusait à faire