La Monstruosité

Intro : roman noir gothique + cathédrale lugubre + période d'essor du fantastique => conséquences : un décor, une athmosphère, un période de l'oeuvre propice à l'évocation de la thématique du monstre. Pour étudier la monstruosité dans Notre Dame de Paris, nous nous sommes posé plusieurs questions : Quels types de monstres y a t-il dans Notre-Dame de Paris ? Dans quels contextes peut-on les replacer, celui de l'oeuvre ou celui de l'histoire ? Quel est le véritable monstre dans ce roman ? Comment

chaque jour l’actualité montre la recrudescence de phénomènes pour ainsi dire inhumains : La pédophilie, des psychopathes découpant leurs victimes en morceaux... ’des monstres’ entend-on dire pour distinguer ces hommes. Donc, dans le sens où cette monstruosité n’est pas humaine à proprement parler ( l’homme étant entre autres caractérisée par le respect d’autrui, son semblable ), peut-on dire qu’elle est due à une sorte d’endormissement de la raison, une disparition de l’essence même de l’homme ? Autrement

Séance 2 (suite) : les effets comiques.II Acte I scène 4 : du début à « mon mariage ».A Questions1 Quels effets comiques identifiez-vous concernant les Sotenville (la satire de la noblesse et de ses usages ridicules) puis Dandin (dans son effort de se faire entendre). Démontrez en analysant des citations clefs. 2 En quoi le personnage comique de Dandin est-il pathétique (suscite la pitié) en étant victime d’une forme de cruauté due à la bêtise et à la société ?

qu'il a tué en venant à Thèbes n'est autre que Laïos et que la reine qu'il a épousé est sa mère. En découvrant ce destin tragique Jocaste se donne la mort en se pendant et Œdipe se crève les yeux pour ne pas à avoir à regarder ces enfants et les monstruosités qu'il a faite. L'auteur de cette tragédie, Sophocle, est né à Colone, une ville proche d'Athènes, vers 496 ou 495 avant Jésus Christ et est mort au environ de 405 avant Jésus Christ. Enfant, il a eu une éducation très importante envers la musique

vaincus, et les Dieux prennent le pouvoir. Le mythe dit que, à son tour, Zeus émascula son père, et que les restes, jetés dans la mer, donnèrent naissance à Aphrodite. Cronos marque le début de l’histoire des Dieux par un acte horrible, d’une monstruosité extrême : un père préférant éliminer ses enfants que de perdre le pouvoir à cause d’eux. Dans les tableaux de Rubens, tous deux intitulés Cronos dévorant l’un de ses enfants, nous pouvons voir que le peintre a voulu souligner le côté monstrueux

rhinocéros. C’est donc cela qui exprime la monstruosité du personnage principal, par les questionnements sur l’homme et sa destinée, cela provoque l’angoisse d’être différent et souvent amène à une mauvaise conscience. Par exemple, lorsque Bérenger se trouve laid avec ses mains moites et non rugueuses comme les rhinocéros, avec une peau blanche et non verte comme ces animaux, il se sent monstrueux et ainsi a mauvaise conscience de l’être humain. La monstruosité provient-elle donc de cette angoisse persistante

roumain, un de ces peuples d’origines, avec celui de la France, se sentait comme un imposteur et cette pièce de théâtre absurde représente l’inconfort qu’il a vécu face à ce conformisme. Dans ce texte, il sera démontré que le symbolisme associé à la monstruosité est utilisé afin de représenter le totalitarisme et le conformisme. Dans cette pièce, l’auteur dénonce le totalitarisme et le conformisme qui l’accompagne. En premier lieu, la pièce dénonce le totalitarisme par une représentation monstrueuse

spectateur : rire ou sourire ? d’abord rire franc puis seulement sourire car une inquiétude, un malaise, vis à vis de ce délire/paranoïa - il veut même s’en prendre à ses propres enfants - il évoque avec insistance la mort à ses différents stades - monstruosité du vice ? 2) Le type de texte : un monologue ← la fonction du monologue en général / ici ? ▪ plutôt une forme classique : une pause dans l’action, un moment de réflexion, de lamentation ⇨ repli dans l’intériorité du personnage, introspection

transformation qui permet d’atteindre l’éternité, mais aussi une chose froide et inaccessible. Pour Baudelaire c’est une notion énigmatique, un culte austère qui prend la forme d’une véritable morale. On peut dire que dans la beauté il y a la monstruosité et dans la monstruosité il y a la beauté. Dans ce poème les idées sont contradictoires et la beauté ne trouve pas de définition précise, froide, mystique et à la fois inaccessible, celle-ci correspond plus à quelque chose de fière et froid qu’à une chose à

représentations du laid Le temps ou les vieilles, Goya (1810) Scènes de l’enfer, Le jardin des délices Jérome Bosch B) Monstruosité formelle ou morale ? Le monstre comme exception à l’ordre établi En excès : L’hydre de lerne aux cents têtes, la gorgone aux cheveux de serpents. En manque : Cyclope à un œil, pygmée (petit être), sciapode (être à une jambe). Mais la monstruosité n’est pas forcément laide Licorne est sympa, le crapaud et le porc moins. Montaigne « Ce que nous appelions monstres