La Morale De Andromaque

anciens : les œuvres classiques sont le plus souvent tirés de la mythologie grecque ou de l’antiquité historique. La morale : la morale est souvent présente dans les œuvres classiques. Les auteurs utilisent plusieurs méthodes pour faire passer une morale. Le désire de plaire : les auteurs classiques veulent plaire et l’héros de leurs histoires sont idéalisés : un idéal physique et moral incarné dans l figure théorique d’un honnête homme. III. Epoques et lieux Le classicisme se développe surtout

par les problèmes moraux et politiques. Cette vision s’enracine dans une perception aiguë de l’absurdité du monde (qu’il explique dans Le Mythe de Sisyphe). Mais chez Camus, cette prise de conscience de l’absurde est inséparable de la révolte qu’elle engendre (la révolte comme attitude face au monde faisant l’objet de l’essai intitulé L’Homme révolté). Parce que Camus pose la difficile question de la liberté dans un monde absurde et parce qu’il est préoccupé par les choix moraux et les valeurs

et Phèdre s'empoisonne. Est-elle devenue un héros ? Sa démesure, sa condition féminine ne paraissent pas le permettre. Hippolyte peut-être. Le seul héros est celui qui reste, c'est-à-dire Thésée. Mais, lui, il n'est pas mort. Dans Andromaque de Racine (1667), Andromaque ne peut oublier Hector, son mari mort pendant la guerre de Troie, et elle refuse les propositions de mariage de Pyrrhus qui est le vainqueur. A la fin, Pyrrhus meurt sous les coups d'Oreste. Et Hermione qui l'a poussé au crime se tue

et Phèdre s'empoisonne. Est-elle devenue un héros ? Sa démesure, sa condition féminine ne paraissent pas le permettre. Hippolyte peut-être. Le seul héros est celui qui reste, c'est-à-dire Thésée. Mais, lui, il n'est pas mort. Dans Andromaque de Racine (1667), Andromaque ne peut oublier Hector, son mari mort pendant la guerre de Troie, et elle refuse les propositions de mariage de Pyrrhus qui est le vainqueur. A la fin, Pyrrhus meurt sous les coups d'Oreste. Et Hermione qui l'a poussé au crime se tue

conséquent des responsabilités et influent sur les positions politiques et sociales. Par la suite, ces passions éveillent une jalousie violente chez le personnage tragique qui l'amène inexorablement à sa perte. Dans Andromaque, Hermione est jalouse de l’amour de Pyrrhus pour Andromaque et demande ainsi à Oreste de le tuer. On voit que cela détraque les relations entre les personnages car la mort de Pyrrhus désespère la jalouse Hermione qui se donne la mort par la suite. Le schéma est à peu de chose

grenier à sel de La Ferté-Milon et de Crépy-en-Valois. 5) Sa grand-mère entre alors au couvent de Port-Royal où Racine rejoint sa marraine qui y est religieuse. Ce malheur lui permet en fait de recevoir une solide éducation janséniste (courant moral du XVIIe siècle qui a connu son apogée à la fin du siècle et qui consiste à diviser les nantis de la grâce et ceux qui ne l'ont pas, on dit de Phèdre que c'est une « chrétienne à qui la grâce aurait manqué »...) aux Petites écoles de Port-Royal qui

que La Bruyère reproche à Corneille, c’est à la fois de n’avoir pas totalement respecté les règles édictées par Aristote, et du coup d’avoir produit une œuvre inégale, admirable par bien des aspects, mais qui par d’autres choque son goût à la fois moral et classique. Racine L’éloge de Racine, plus court, reprend exactement les mêmes termes, dans l’ordre. La Bruyère  traite donc : -          De la régularité de Racine, constant. Il consacre à cette qualité une longue période. « plus de ressemblance »

La "nouvelle" formation héroïque de Giraudoux Les grands événements, les guerres, les révolutions et les catastrophes ont toujours inspiré le dramaturge. En raison de la terrible mentalité qu'ils ont créée et des mauvais résultats qu'ils ont provoqués, les Première et Seconde Guerres mondiales sont devenues le sujet des livres des auteurs et le sous-texte des personnages des personnages qu'ils ont créés. Blessé à deux reprises pendant la Première Guerre mondiale, Giraudoux a écrit son

l’esthétique du classique et inclut la modernité comme motif poétique. Ce poète se distingue alors ainsi en ne respectant plus les règles du classicisme, bien que dans ses poèmes, il y a tout de même des marques classiques évidentes, ni les règles morales ou éthiques. Il tente ainsi d’introduire de nouvelles idées telles que faire le lien entre le mal et la beauté, le bonheur et l’idéal qu’on ne peut pas atteindre… - Baudelaire a passé la moitié de sa vie à travailler sur Les Fleurs du Mal. Le 1er

victoire et à cause de cette vantardise fini toujours perdant «( …) S’alla percher, et chanter sa victoire. Un vautour entendit sa voix : Adieu les amours et la gloire ; Tout cet orgueil périt sous l’ongle du vautour » (Ligne 20 à 23) ainsi que dans la morale « Tout vainqueur insolent à sa perte travaille. » Ligne 30. Bardamu dans Voyage au bout de la Nuit ne cesse de se plaindre et d’utiliser un langage très familier à la ligne 2 « Ce saligaud de commandant » et «  ce salaud-là » ainsi que « J’espère