La Morale Est Elle Naturelle Ou Culturelle

Vous ne voyez dans mon exposé que la religion naturelle : il est bien étrange qu'il en faille une autre. Par où connaîtrai-je cette nécessité ? De quoi puis-je être coupable en servant Dieu selon les lumières qu'il donne à mon esprit et selon les sentiments qu'il inspire à mon coeur ? Quelle pureté de morale, quel dogme utile à l'homme et honorable à son auteur puis-je tirer d'une doctrine positive, que je ne puisse tirer sans elle du bon usage de mes facultés ? Montrez-moi ce qu'on peut ajouter

ieJugement et critique Peut-on juger objectivement les pratiques culturelles? Transition Peut-on néanmoins concevoir une possibilité de jugement de valeur concernant les produits de la culture ? Les civilisations se caractérisent par des formes d’art, des pratiques et des traditions religieuses, soumises à une évolution plus ou moins lente déterminée soit par les innovations techniques, pour ce qui est des arts, ou par les bouleversements de mœurs et les renversements idéologiques, pour les

culture autant qu'ils sont faits par elle ? [Annonce du plan] Après avoir expliqué pourquoi [I] la « nature humaine » n'est rien sans la culture, il s'agira de préciser la thèse en montrant que [II] la culture n'implique pas nécessairement un progrès moral ou intellectuel. On défendra alors l'idée que [III] l'homme affirme son humanité en s'appropriant sa culture et en l'élaborant activement. 1. La « nature humaine » n'est rien sans la culture a) La biologie ne suffit pas à comprendre ce qu'est

cité est naturelle, puisque le sont les premières communautés qui la constituent. Car elle est leur fin, et la nature est fin : car ce que chaque chose est une fois que sa genèse est complètement achevée, nous disons que c'est la nature de cette chose, ainsi pour un homme, un cheval, une famille. De plus le « ce en vue de quoi » c'est-à-dire la fin, c'est le meilleur ; et l'autarcie est à la fois la fin et le meilleur. Nous en déduisons qu'à l'évidence la cité fait partie des choses naturelles, et que

Peut-on parler de comportements naturels au sujet de l’homme ? Dire d’un comportement qu’il est naturel c’est affirmer qu’il est conforme au vrai et au bien. La question nous demande donc de juger des fondements de nos jugements moraux. Si on ne peut tenir l’inceste pour un comportement contre nature, faudra-t-il le considérer comme moralement acceptable ? Ce qui fait difficulté c’est de ne pas confondre la normalité, toute relative, de nos actes, avec leur naturalité. Notre

appellé " relativisme culturel" et aussi que ce n'est pas toujours aussi simples et que certaines pratiques de certaines cultures peuvent amener au rejets de celles-ci et même jusqu'à la haine entre cultures appellé "éthnocentrisme" . Et enfin dans une dernière partie nous essairons de trouver des solutions pour que les différentes cultures puissent vivre ensemble sans pour autant tomber dans ce "relativisme" qui pourrait amener à l'extinction de la diversité culturelle. ---------------------

monde naturel dans le but de bâtir une civilisation culturelle. Était-ce une erreur ?Est-ce un projet incongru de vouloir vivre naturellement ? Cette problématique est associée à la volonté de l'Homme, c'est-à-dire la faculté de se poser des fins et de se donner les moyens d'y accéder. La nature désigne tout ce qui n'a pas été crée ou transformé par l'Homme. La véritable question que l'Homme se pose n'est pas de savoir si sa volonté sera suffisante pour revenir à une vie complètement naturelle, mais

L’homme est-il un être naturel ? L'homme est un être dont on peut se demander quelle est sa place au sein de la nature, dans la mesure où il est le seul être capable de maîtriser la nature (Descartes, Discours de la Méthode : "Se rendre comme maître et possesseur de la nature"). Par son art (au sens grec de tekhnè), l'homme sort donc de la nature pour mieux la contrôler et ainsi subvenir à ses besoins. Or, ces besoins n'ont-ils pas précisément une origine naturelle ? La volonté humaine de sortir

REVISIONS DE PHILOSOPHIE 1. rappels méthodologiques. 2. exercices Sujet du jour : La valeur d’une religion est-elle démontrable ? Valeur = représentation morale Morale : 1 système de règles fondé sur la distinction entre : Bien / mal Juste / l’injuste Le beau / le laid Le vrai / faux La valeur se distingue du fait. ( particulier La valeur est donc Universelle ( ? Au moins elle y prétend. Donc la valeur c’est une représentation universelle (ou du moins qui prétend

Certaines idées sont évidentes. Constat, exemple : « par exemple » l.1 2 vérités évidentes (« Je vois » l1, « voir » l2, etc.) : Une vérité d’ordre mathématique, évidence immédiate ou fruit de la démonstration, incontestable Une vérité d’ordre moral, qui se justifie par une certaine conception de la dignité des êtres vivants : l’homme est davantage digne de respect que l’animal parce qu’il est douée de raison, d’une faculté de juger, etc. et parce que l’ami est mon semblable… Mais une telle