La Mort dans les nuages

lasse à mourir de cet horizon fermé (p. 199) Cette fermeture devient étouffante et meurtrière surtout pour une jeune fille de 20 ans comme Martha. * (née) dans un pays de nuage et non sur une terre de soleil (p.198) A ce monde clos s’ajoute les nuages, et l’impression de l’obscurité se trouve renforcée grâce à la présence du mot soleil que j’étudierai plus loin. Pour mieux faire sentir l’obscurité totale, Martha recourt au vocabulaire de sensation : * ce pays d’ombre (p. 116) Il s’agit

AUTEUR : David Olère est né en Pologne 1902 et mort à Noisy en France en 1985. Il immigre dans les années 1920 en France, à Paris. Juif, il est arrêté par la police française en 1943 et déporté en train vers le camp de Drancy puis de Birkenau et Auschwitz, en Pologne. C’est à ce moment-là qu’il subit ces souffrances et voit ses compatriotes juifs souffrir avec lui. Libéré lors de la marche vers la mort de Matthausen il est libéré par les troupes de soldats US le 6 mai 1945

Dans le second chapitre, on aborde la notion de mort. En effet l’eau s’alourdit : « Toute eau vive est une eau dont le destin est de s’alentir, de s’alourdir. Toute eau vivante est_ une eau qui est sur le point de mourir … Contempler l’eau, c’est s’écouler, c’est se dissoudre, c’est mourir. »_ _« _Eau silencieuse, eau sombre, eau dormante, eau inviolable, autant de leçons matérielles pour une méditation de la mort » L’eau porte la mort en elle. Elle emporte au loin, passe comme le temps

en Tunisie mais aussi en Angleterre où il étudie Constable. (Trois de ses œuvres principales sont : « Dante et Virgil en Enfer » ; « La liberté guidant le peuple » ; « Fanatiques de Tanger ») Théodore Géricault : Né le 26 septembre 1791 à Rouen, mort à Paris le 26 janvier 1824, Théodore Géricault issu d’une famille bourgeoise royaliste, il suit ses parents qui s’installent à Paris en 1796. Il présente au Salon de 1812 une peinture équestre qui fait sensation, il remporte même une médaille. Mais

violences, Des murs de bruit semblent tomber Et se taire, dans une mare de silence, Tandis que les appels exacerbés Des sifflets crus et des signaux Hurlent soudain vers les fanaux, Dressant leurs feux sauvages, En buissons d'or, vers les nuages. Et tout autour, ainsi qu'une ceinture, Là-bas, de nocturnes architectures, Voici les docks, les ports, les ponts, les phares Et les gares folles de tintamarres ; Et plus lointains encor des toits d'autres usines Et des cuves et des

L'enlèvement d'Europe - François Boucher Boucher est né en 1703 et mort en 1770 à Paris. Ce peintre français du XVIII ème siècle est entre autre l'exemple type du style rococo. C'est un mouvement français du XVIII ème siècle. Nous pouvons considérer Boucher comme étant un peintre d'histoire également. De 1726 à 1731, il part en Italie en compagnie de Van Loo, son éternel rival. Il réalise après plusieurs compositions pour Versailles. Il devient par la suite directeur de l'Académie royale

encore jouer sur le visible et l’invisible., il va montrer ce qui est cacher et inversement. A l’avant-plan , nous voyons une grande maison très sombre comme dans la nuit, avec des lumières allumées, mais en arrière plan le ciel bleu avec quelques nuages comme en pleine journée. Il rejette encore le quotidien, va nous plonger dans l’athmosphère du rêve et de l’iréel. Il va jouer sur le clair obscur et cela va provoquer un athmosphère étrange. L’image se contredit car il confronte deux éléments impossibles

sentir un peu mort, et ce qui me chagrine, c'est que cela arrive alors que je suis encore un peu en vie. -parfois les paradoxes se contredisent comme des yeux d'escargots. -on dirait que ton regard est passé dans une machine a laver. -j'ai prit un peu de coke avec maud a la recré. ça fait pile un moi que sa soeur est morte.qu'elle s'est laissé crever. -dur.ça craint.maintenant je comprends pourquoi il y a ces serpents dans ton sac. -t'a repondu quoi a "le sens de l'humour des nuages ne supporte

etc. Ce poème témoigne de la pensée analogique de la Renaissance (cf. Michel Foucault, L'archéologie du savoir) : le front de la femme est à son visage ce que le ciel (le firmament) est à la terre... Les petites rides sont à son front ce que les nuages sont au ciel... L'œil est à son front ce que le soleil est au ciel. II/ Le visible et l'invisible Le visible : le corps de la femme, son front, ses cheveux, ses yeux, son visage... L'invisible : ses pensées, ses sentiments, ses émotions.

donnera pour lui procurer un air de vérité. On l'a même cru, à un moment, près de perdre la vue. Un comble. Rien ne semble en effet retenir l'intérêt du petit Jean de La Ville de Mirmont comme la contemplation du ciel de Gironde, rarement occupé de nuages, à travers les vitres de sa classe. C'est d'ailleurs en ce lieu, propice, pour certains, au désespoir, qu'il tentera de se suicider en buvant de l'encre. Mais il n'en mourra pas, il est trop tôt, pas plus qu'il ne deviendra aveugle. Ce qui lui permet