La Mort De La Lison

Une vie de Maupassant Tante Lison(Lise) I-Portrait - C'est la sœur de la baronne. - Elle est célibataire, pas jolie, vieille fille (chapitre 11 : "restée fanée dès l'âge de 25 ans") - Très émotive, elle n'a jamais reçu d'affection ; elle est très émue face aux marques d'affection adressées par son entourage : Jeanne et Julien (chapitre 4 : "N'avez-vous point froid à vos petits pieds ?" ; "Et tout à coup les doigts de la tante furent secoués d'un tremblement si fort que son ouvrage s'en

dynamique, où les personnages agissent, bougent, se déplacent. I. la spécificité de la bête en tant qu'elle est humaine. 1. La bête humaine : l'homme primitif. En chacun de nous, plus ou moins étouffé par la civilisation, se tapit un instinct de mort dont l'origine est incertaine; Jacques, à plusieurs reprises, se pose cette question (« Posséder, tuer, cela s’équivalait-il, dans le fond sombre de la bête humaine ? » page 228) angoissée. Tout ce passe en lui comme si cet être primitif, surgi dans

qui tente de lui apprendre le latin. Cependant, Jeanne interrompt sans cesse les cours, car malgré qu'elle « ambitionne qu'il devienne quelqu'un par le monde », elle ne veut pas qu'il travaille trop ou prenne froid, et elle est soutenue par Tante Lison. En conséquence, Paul n'aura pour ainsi dire pas d'éducation, « étouffé entre ces deux jupes et ce vieil homme aimable qui n'était plus du siècle ». A l'âge de 15 ans et malgré les protestations de sa mère, Paul part étudier dans un collège au Havre

Ce texte est un extrait du chapitre VII du roman de Zola, La Bête humaine, parut en 1890; élément de la série Les Rougon-Macquart. Cet extrait narre le deuxième accident de la Lison, conduite par le mécanicien nommé Jacques; où Séverine a prit place. L'affaire du meurtre de Grandmorin a été classée sans être élucidée. Les Roubaud ne sont plus inquiétés mais Jacques, témoin du crime, sait qu'ils en sont les coupables. Néanmoins tombé sous le charme de Séverine, il est devenu son amant et ils se rendent

a mis fin à son besoin de tuer : l.7-8 « Lui, n’en doutait plus, avait trouvé la guérison de son affreux mal héréditaire » ✓ Cependant par la phrase interrogative de la l.9-10 « était-ce donc que la possession physique contentait ce besoin de mort ? », nous voyons qu’il éprouve des difficultés à expliquer sa « guérison » 2 – questions au discours indirect libre ✓ concentrées dans la seconde moitié du texte : l.27-28, l.30, 31. ✓ Étant rapportées au DIL, elles traduisent la peur

FICHE DE LECTURE 1/ Auteur A) Biographie Emile Zola, né à Paris le 2 avril 1840, mort à Paris le 29 septembre 1902. C’est un écrivain français, c’est l’un des meilleurs romanciers de France. La Bête humaine, le 17e volume des Rougon-Macquart ( sur 20 volumes ) est le premier livre du mouvement naturaliste en littérature, crée par Emile Zola. B) Bibliographie Les 20 volumes des « Rougon-Macquart » : - La Fortune des Rougon publié en 1870, - La Curée publié en 1871, - Le Ventre

brisées, de portières, de chaînes, de tampons, au milieu de morceaux de vitre. Et, surtout, l'on avait entendu le broiement de la machine contre les pierres, un écrasement sourd terminé en un cri d'agonie. » Dans ce roman, on parle également de la Lison, le train dont Jacques est le mécanicien, et qui est considéré comme une femme réelle. On la retrouve tout le long du texte, jusqu'à l'accident causé par Flore. Le second thème auquel on a le plus à faire est celui du meurtre. Jacques, étiqueté

lecteurs . Les auteurs veulent nous montrer ce qui ont subi, pour certain c’est réel traumatisme . Nous verrons par la suite si nous lissons des récits de guerre par fascination pour la violence . En effet, nous lisons des récits de guerre par fascination pour la violence .Nous lisons des récits de guerre ou la violence est présente, nous sommes attirés, curieux des différents types de violence que l’homme peut faire à la même espèce que lui, ce qui n’est pas le cas dans notre société . En effet

à la catastrophe, qui emporte le destin de tous ces hommes. Mais le dénominateur commun est l’explication du titre du roman : La bête humaine : l’homme primitif. En chacun de nous, plus ou moins étouffé par la civilisation, se tapit un instinct de mort dont l’origine est incertaine ; Jacques, à plusieurs reprises, se pose cette question angoissée. Tout ce passe en lui comme si cet être primitif, surgi dans les moments de crise d’origine sexuelle, agissait à sa place. Dès Le Roman expérimental, Zola

quand le mari de la voisine est averti de sa liaison avec Julien par l'abbé, il devient fou. Il précipite alors le couple d'une falaise. Après la mort des amants, Jeanne, veuve, ne dit rien, malgré ce qu'elle sait. Elle donne naissance à une fille morte-née le jour de la mort de son mari. Paul Fils légitime de Jeanne surnommé Poulet par Jeanne, Lison -la tante et le baron. Il vit aux Peuples, la maison familiale. Enfant chéri par sa mère, son grand-père et sa grand-tante, il ne dispose pas d'une