La Mort Jankélévitch

plus forts. Certes, il est vrai que le désir nous entraîne dans un tourbillon qui jamais ne s’arrête, mais ce vertige, ou cette ivresse sont tout simplement la preuve que nous sommes bien vivants ! Vivre, c’est désirer. Et ce n’est pas attendre la mort après avoir rempli une fois pour toute notre âme, mais remplir encore et toujours, sans jamais se satisfaire de ce qui est déjà là. Alors, si l’âme est bien comparable à un tonneau, il est bon que ce tonneau soit sans fond, et qu’il laisse tout échapper

Texte n°2 : Hegel, Introduction à l'esthétique, Chapitre premier : La conception de l'art ; Deuxième section : Les idées courantes sur la nature de l'art ; 2. Éveil de l'âme, traduction S. Jankélévitch, Flammarion, 1979, p. 41. • l.11 : « L'art renseigne sur l'humain ». Que veut dire Hegel ? Le contenu de l'art n'est rien d'autre que le contenu de l'esprit, tout le contenu de l'esprit : il n'y a rien dans l'art qui ne soit le contenu

L’État est-il l’ennemi de la liberté ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 Nietzsche - problématique 21 : Le temps est-il un obstacle à la liberté ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103 Montaigne - problématique 22 : La mort est-elle une limite à la liberté ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 104 Hegel - problématique 23 : L’histoire peut-elle libérer l’homme ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105 Rousseau - problématique 24 : La nature est-elle

par exemple, durant la seconde guerre mondiale, un Allemand me demande si je cache des Juifs, alors si j’en cache suis-je tenu en conscience de le lui dire ? N’est-ce pas plus immoral de mentir que de ne pas mentir ? Comme le disait Vladimir Jankélévitch (1903 / 1985), on pourrait considérer que "mentir aux policiers allemands qui nous demandent si nous cachons un compatriote, ce n’est pas mentir, c’est dire la vérité" (Les vertus et l’amour). Même chose, si je cache la vérité d’une maladie à

Indications de lecture ................................................................ 62 Chapitre 3 : Eros et mort ........................................................ 63 Libido et narcissisme ................................................................. 63 La contrainte de répétition ........................................................ 65 Dualité des pulsions sexuelles et de mort ................................. 66 Le Ça, le Moi, le Surmoi ..........................................

s’il est une mondialisation dont il messied de parler, c’est sans conteste celle de la mort triomphante qui s’affirme comme la loi universelle du monde à laquelle l’humanité est condamnée à se soumettre. Bien qu’elle soit excédée par son « aventure mortelle »,1 il n’en demeure pas moins vrai qu’elle « ne se lassera jamais de poursuivre l’immortalité »2 dont elle sera dépossédée par « l’omniprésence de la mort ».3 Considérée comme la seule valeur suprême à laquelle toutes les autres sont subordonnées

du passé que ce qui est utile pour l’action présente. La mémoire doit être celle de la volonté, celle qui s’engage dans le présent et reste fidèle à elle-même dans le futur. On doit vouloir ce qu’on a voulu. NB: si on peut penser avec Vladimir Jankélévitch que “les morts dépendent entièrement de notre fidélité”, on peut aussi noter avec Alain Finkielkraut qu”il n’est pas moins déloyal de s’approppier les morts que de les laisser tomber”. Il faut se méfier de “l’embrigadement des ombres, de leur convocation

(Critiques) Sigmund Freud (prononciation allemande : [ˈziːkmʊnt ˈfʁɔʏt ] ; prononciation française [fʁøːd ] ou [fʁœjd ]) né Sigismund Schlomo Freud le 6 mai 1856[1] à Freiberg, Moravie (Autriche, aujourd'hui Příbor, en République tchèque), et mort le 23 septembre 1939 à Londres (Royaume-Uni), est un médecin neurologue autrichien, fondateur de la psychanalyse. Médecin viennois, Freud rencontre plusieurs personnalités importantes pour le développement de la psychanalyse, dont il est le principal

châtelain de Saché. Bachelier en droit, d’abord clerc de notaire et clerc d’avoué à Paris, Balzac décide, à vingt ans, de se consacrer à la littérature. C’est en effet sa principale occupation de 1820 à 1824, puis de 1829 à 1848, deux ans avant sa mort. Mais, de 1824 à 1828, et pendant tout le reste de sa vie, parallèlement à l’œuvre littéraire, les entreprises de tout ordre se sont succédé. En 1825, l’édition. En 1826, l’imprimerie. En 1827, une société pour l’exploitation d’une fonderie de caractères

partie responsable de la mélancolie romantique, contre le sublime terrifiant de la catastrophe et l’espérance grandiose de la contemplation de la « gloire du Christ ». - Antinomie Adrienne/ Sylvie Sylvie Adrienne Vie Ange de la mort Epouse éternelle Scénario d’Apocalypse Bonheur archétypique « c’était un entraînement fatal où l’inconnu vous attire comme le feu follet fuyant sur les joncs d’une eau morte. » - Pose la question des frontières entre le