La Morte Amoureuse Clarimonde

et dit adieu. Après quelques pas, elle poussa un cri et tomba. Il était tellement terrifié qu’il s’évanouit. Après le petit déjeuner, il se mit à dessiner se qu’il croyait être la cafetière, mais c’était le portrait d’Angéla. L’hôte dit qu’elle est morte il y a 2 ans d’une fluxion de la poitrine après un bal. Analyse de passage : La chambre : les dessus de porte de Boucher représentait les 4 saisons, les meubles sont surchargés d’ornements de rocailles et il y a des trumeaux de glace sculptés lourdement

employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un nouveau emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables . L'ordination de Romuald dans La Morte amoureuse, de Théophile Gautier 1836 : L'isotopie de la vue : Apercevoir au passé simple ligne 1 « j'aperçus » action de premier plan, action brève et rapide ; ici fulgurante. Ici, le verbe exprime l'idée d'une perception soudaine qui vient rompre le déroulement

textes emblématiques de la littérature fantas- tique sont publiés en France. On peut citer : - La Peau de chagrin d’Honoré de Balzac, 1831 ; - La Cafetière de Théophile Gautier, 1831 ; - La Fée aux Miettes de Charles Nodier, 1832 ; - La Morte amoureuse de Théophile Gautier, 1836 ; - La Vénus d’Ille de Prosper Mérimée, 1837. Tout au long du siècle, le genre perdure avec des œuvres importantes telles Aurélia de Nerval (1855) ou Le Horla de Guy de Maupassant (1887). Toutefois, à la fin du xixe

d'une confession personnelle (La Morte amoureuse, La Métempsychose), ou d'une conversation amicale, (La Main, Apparition). Une autre formule consiste à présenter le héros (Spirite, Jet-tatura), un personnage qui jouera un rôle décisif dans la destinée du héros (le prévôt Godinot Chevassut dans La Main enchantée), le personnage par lequel le fantastique se manifestera au héros-narrateur (Jean-François-les--Bas-Bleus), un événement qui aboutira au fantastique (Véra, La Morte), ou un objet qui sera mis au

Le réel imaginaire Ici il n'y a pas eu d'évènements | - Le hasard, les coïncidences : (n'existe pas dans le fantastique on parle de " pan-déterminisme ") - Les supercheries (ex: Manuscrit trouvé à Sarogosse) | - Le rêve (ex: La Morte Amoureuse), - Les drogues, l'illusion des sens, la folie | b) L'étrange Pur: Lorsque on nous énonce des événements qui peuvent s'expliquer rationnellement, dans laquelle ce sont les lois naturelles qui priment, mais qui sont extraordinaires

DE FICTION Le plus célèbre des vampires est Dracula, héros du roman de Bram Stoker, Dracula (1897). Cette œuvre s’inscrit dans un courant d’inspiration qui se développe au xixe siècle, avec notamment par la Morte amoureuse de Théophile Gautier (1836), roman dans lequel la belle Clarimonde, femme vampire, tente un jeune prêtre fraîchement ordonné, et par Carmilla de Joseph Sheridan le Fanu (1871), qui dépeint lui aussi un personnage de vampire féminin. La production du XXe siècle est quant à elle

jour, seize années auparavant, lorsque madame Raquin était encore mercière, son frère, le capitaine Degans, lui apporta une petite fille dans ses bras. Il arrivait d’Algérie. – Voilà une enfant tu es la tante, lui dit-il avec un sourire. Sa mère est morte… Moi je ne sais qu’en faire. Je te la donne. La mercière prit l’enfant, lui sourit, baisa ses joues roses. Degans resta huit jours à Vernon. Sa sœur l’interrogea à peine sur 5 cette petite fille qu’il lui donnait. Elle sut vaguement que la chère petite

fondateurs---------------------------------p b) Le vampire dans l’histoire--------------------------p c) Le vampire dans la littérature---------------------p II/ Un être fascinant et sensuel---------------------p a) Une monstruosité désirable------------------------p b) La morte amoureuse--------------------------------p c) Le vampire d’Edvard Munch------------------------p III/ Un monstre infiltré parmi les humains---------p a) Une apparence humaine-----------------------------p c) Le vampire, entre humanité et bestialité---------p

du Vésuve. Octavien reste captivé par la vue d’un morceau de cendre portant la trace de la gorge d’une femme ensevelie par l’éruption. Ne trouvant pas le sommeil, et troublé par ses pensées, il entame une seconde promenade nocturne dans la ville morte, qui, progressivement, se réveille à la vie : il s’agit de l’extrait étudié. Il constitue un moment charnière du conte. En effet, il décrit le basculement, le passage du héros du réel, vers l’irréel. Les pas d’Octavien le mèneront à la rencontre unique

peuvent donner lieu à un travail de vocabulaire intéressant. L’édition, qui est un recueil de cinq nouvelles, offre en outre la possibilité d’un groupement de textes autour du thème fantastique de la « morte amoureuse », grâce au dossier (p. 123-128), associant la Véra de Villiers à la Clarimonde de Gautier et aux Ligeia et lady Madeline d’Edgar Poe. Elle fournit enfin un excellent support pour l’étude du genre de la nouvelle. Dans la séquence que nous proposons, nous avons choisi d’analyser les