La Moyennisation

l’outil lui-même, l’analyse des tables de mobilité intergénérationnelle permet de rendre compte des progrès de mobilité : les destinées des fils apparaissent de moins en moins déterminées par l’origine socioprofessionnelle du père. Par-delà la moyennisation qui a rendu possible ces progrès, nos sociétés sont par ailleurs devenues plus fluides. Néanmoins, les parcours de mobilité se résument bien souvent à une mobilité de proximité, on demeure dans ces catégories proches de la hiérarchie sociale

progresse de 4,3% entre 1945 et 1971. Cette nouvelle génération entre dans le concept de la société de consommation, « c’est l’époque où un jeune ouvrier accède immédiatement au rêve d’une vie de ses parents : acheter une voiture ». Le mouvement de moyennisation est donc un succès durant la période des Trente Glorieuses car il assure une amélioration de l’avenir aux jeunes entrant dans la vie active. Par convention, les classes moyennes seraient plus homogènes que les autres classes. Aujourd’hui, on

du ménage, accès à la propriété immobilière (Doc3) c-Amenuisation de la distance sociale qui separe les ouvriers des autres classes sociales (doc1) 2- atténuation des disparités socio-économiques a-, comme Mendras, parlent d'une moyennisation de la société ( tout le monde n’est pas daccrod ex : chauvel) b- augmentation des consommations collectives comme l'éducation de masse( doc4) 3- Montée des employés, des professions intermédiaires... A- augmentation des PCS-CSP ayant

en cause l’organisation de la société et doit être observable de façon permanente. 2. Les différentes interprétations du changement social Tocqueville -> il pense que le changement social réside dans l’égalisation des conditions due à la moyennisation (égalité des chances). Marx -> il interprète le changement social comme une prise de conscience des ouvriers qui se révoltent (la lutte des classes). Durkheim -> le facteur principal du changement social est la démographie. Weber ->

classes sociales aujourd’hui ? Aujourd’hui, on ne peut plus parler de classes sociales comme avant car : - les frontières entre les classes sont de plus en plus floues : les modes de vie sont plus homogènes mais les inégalités persistent. (=Moyennisation, idée selon laquelle on assiste à une atténuation des clivages sociaux accompagnés d’un gonflement des groupes sociaux intermédiaires ou « moyens ») -Il y a une montée de nouveaux profils sociaux (« bobos », classe « populaire », classe « moyenne »)

conditions de travail difficiles => faible espérance de vie Catégories modestes => pas d’études supérieures => faible qualification => forte vulnérabilité sur le marché du travail II) L’évolution des inégalités : A) Le recul des inégalités : vers une moyennisation 1) Mise en évidence de la réduction des inégalités : Entre 1970 et 2002, les inégalités de revenus (hors revenus du patrimoine) ont assez nettement diminué. En effet, sur l’ensemble de la période, le rapport interdécile, en passant de 4,8 à 3,2

entraînent avec eux une mobilisation plus difficile et une baisse de la solidarité. Les ouvriers deviennent de plus en plus hétérogènes . -L'opposition entre le prolétariat et la bourgeoisie devient dépassé . D'après Mendras , on assiste à une moyennisation. -Avec les 30 glorieuses , les ouvriers peuvent s'intégrer dans la société de consommation et pour certains bien, il y a peu de différences entre ouvriers et cadres. -Il y a un fort déclin de l'action syndicale -Selon Olivier Schwartz, la classe

Introduction : Amorce = Certains sociologues comme Henri Mendras ont analysé les transformations de la structure sociale de la France à partir des années 1950 en termes de « moyennisation », caractérisée par un développement particulièrement important des classes moyennes. Problématique = Le concept de classes moyennes est délicat parce qu'il fait l'objet d'analyses diverses ; on peut toutefois en dessiner les contours. Elles comprennent deux sous-ensembles : d'une part, une petite bourgeoisie

idéaliser le fonctionnement de l’état, puisque cela revient à dire que l’état est indifférent aux intérêts, notamment économiques, de chacune des classes opposées ; il chercherait donc à les pacifier. En ce sens la société déboucherait sur une moyennisation des classes sociales (donc disparition des deux classes antagonistes) et par conséquent à une transformation des rapports de production entre bourgeois et prolétaires. Cela amènerait à la chute du système capitaliste qui régit nos sociétés : à

ajoutant le système de chaine de montage et la mécanisation , on assiste a une réelle révolution qui permet une production de masse rendu accessible aux ménages par l augmentation des salaires liée a cette organisation du travail. Cela permet une moyennisation de la société, on constate ainsi qu’entre 1995 et 1997 90% des français étaient équipés d'un lave linge (document 2). C'est ainsi qu'une organisation innovante du travail permet le développement d'une société. En-dehors d'amélioré les méthodes