La Moyennisation

A/ Les facteurs de la croissance dimanche 5 septembre 2004.   706-7 B/ Les causes du chômage A/ Les facteurs de la croissance C/ Moyennisation ou polarisation ? A/ Mesure et évolutions de la mobilité sociale C/ Le fordisme, mode d’organisation du travail et mode de régulation économique Jean Pierre Malrieu A/ Les facteurs de la croissance D/ Croissance et développement durable A/ Mesure et évolutions de la mobilité sociale A/ L’investissement : formes et fonctions B/ Le financement

Michelat et Simon expliquent cela grâce au rapprochement entre les syndicats et les partis de gauche (SFIO). Reflet des luttes d’intérêts entre les ouvriers et les propriétaires de capitaux. Aujourd’hui le monde ouvrier n’est plus le même, moyennisation de la société, émergence du secteur tertiaire, sentiment de classe beaucoup moins important, plus de diversité parmi les ouvriers. Ouvriers votent de moins en moins pour des partis de gauche (évolutions lente), aujourd’hui dans la moyenne de tous

(1927-2003): Sociologue français, Henry Mendras s’est d’abord fait connaître par son analyse du déclin du monde rural. Il s’est ensuite intéressé aux grandes transformations de la société française, mettant l’accent notamment sur le processus de moyennisation lié à la réduction des inégalités entre catégories sociales. Simon Kuznets (1901-1985): Économiste et statisticien américain d’origine russe, il quitte l’Union soviétique naissante pour étudier et enseigner aux USA. Il s’intéresse principalement

américains des années soixante, entraînent la fin d'une polarisation sociale et l'extension d'une énorme classe moyenne fondée sur une égalisation des modes de vie et l'extension de nouvelles valeurs liées aux savoirs professionnels. Or, si cette « moyennisation » de la société peut être contestée, il est indéniable que les clivages entre les groupes sociaux se sont affaiblis. La classe ouvrière, longtemps considérée comme un bastion social et culturel, voit sa mémoire collective s'effriter (...)

et présentant chacun une forte homogénéité au regard de certains critères (revenus, mode de vie, statut juridique...) A. Mutations de la structure sociale. constat : baisse séculaire des inégalités (A de Tocqueville et courbe de Kuznets) et moyennisation de la société (les modes de vie sont alignés sur celui de la classe moyenne). causes : démocratie, syndicalisme, loi sociales, Etat providence, couverture des risques sociaux. cependant, aujourd'hui, renouveau des inégalités : inégalités au sein

cette catégorie sociale est divisée en plusieurs critères, ce qui amène donc à une complexité de définissions. Il est donc ambigu de définir et de parler précisément de « classes moyennes ». Synthèse : Introduction : Face à la moyennisation, la séparation de la classe sociale dirigeante et celle populaire, soit l'apparition d'une classe moyenne, qui fais que les deux extrêmes (riches et pauvres) se rapprochent et ce qui réduit alors les inégalités. C’est à partir de ce moment-là

dans l’espace des positions sociales estelle inégalitaire ? Comment peut-on mesurer ces inégalités ? Sont-elles seulement économiques ? Comment-ont-elles évoluées ? Leur réduction a-t-elle abouti à la fin des antagonismes de classe et à une moyennisation de la société ? 2. Les sociétés démocratiques sont également présentées comme des sociétés fluides. Les positions sociales des individus ne seraient pas figées. Elles pourraient changer au cours de la vie d’un individu ou d’une génération à

Uniformisation des manières de vie => apparition de la classe moyenne (au coeur de la société démocratique). · la mobilité va donc permettre de constituer une vaste classe sociale : ce processus de moyennisation prend appui sur la passion pour l’égalité qui rend les inégalités moins acceptables aux yeux de tous. · Cette uniformisation est tirée par le bas et vers le bas : moins d’excès, moins d’extraordinaire, développement

grande société à elle-même. » La moyennisation des classes, phénomène issu de la fin du XIXe siècle, a stimulé l’individualisme. L’important est de faire fortune, de se servir de l’ascenseur social. Ainsi, aveuglé par leurs propres intérêts, l’individu « n’aperçoit plus le lien étroit qui unit la fortune particulière de chacun d’eux à la prospérité de tous. L’exercice du devoir politique lui paraît comme un contretemps qui le distrait de ses activité. La moyennisation sociale résulte aussi sur une

les enfants issus de familles hiérarchiquement mieux situées et accédant eux-mêmes aux meilleures positions sociales : l'argent va donc à l'argent. Chapitre 4 : Les classes moyennes sans projet Triple coup d'arrêt. 1. La vigoureuse dynamique de moyennisation repérable entre 1965 et 1985 est clairement suspendue depuis vingt ans. Des candidats potentiels toujours plus nombreux ont de moins en moins de chance de trouver leur place. 2. Les revenus les plus intermédiaires, et avant tout ceux pour qui la