La Moyennisation

inégalités : s’entraîner et s’auto corriger 2. le processus cumulatif des inégalités Synthèse   III. Inégalités et croissance A. Croissance et moyennisation (vers la fin des classes sociales ?) 1. homogénéisation des conditions 2. l’impact des 30 glorieuses : le nivellement des conditions 3. l’évolution des PCS reflètent la tendance à la moyennisation 4. L’analyse de Mendras 5. la réduction des inégalités et la courbe de Kuznets 6. perte d’identité des classes   B. Renouvellement des inégalités

recrutement égalité / inégalité des chances équité exploitation IDEAL DEMOCRATIQUE incitations Inégalités Justice sociale méritocratie MOBILITE SOCIALE / IMMOBILITE SOCIALE mobilité structurelle/ nette moyennisation / polarisation patrimoine Professions et catégories socioprofessionnelles (PCS) Reproduction revenu Société démocratique STRATIFICATION SOCIALE L'actualité du chapitre •Qui assure les 2/3 des heures de travail dans

comportement individuel. Cette démarche met l’accent sur l’autonomie des ind. ex : l’approche de Weber= approche individualiste, ce st les caractéristik individuel et les actions lié à celle-ci qui vont determinés les structures de la société. Moyennisation : développement des classes regroupants une part de la population au sein de la société. Instabilité de l’emploi : emploi à durée limitée qui se caractérisent donc par une situation d’instabilité et d’incertitude pour les personnes qui sont concernées

auteurs dont Mendras ont considéré que le société s'est moyennisé et que cette moyennisation s'illustre dans un aspect économique et culturel. Ainsi les différents groupes sociaux se répartissaient dans une constellation centrale dont l'image de la structure sociale est la toupie. Cette moyennisation s'accompagne d'une hausse de l'individualisme et met donc l'accent sur l'atomisation des groupes sociaux. Avec cette moyennisation s'est posée la question de l'existence ouvrière qui aurait été aspirée par

consommation entre PCS depuis les années 1970. mobilités en 1977, 22% en 1993 et 25% en 2003. C4(dissert). La moyennisation de la société française a entraîné C3. La mobilité nette a augmenté puis diminué en France depuis les années 1970. 37% en un sentiment d’augmentation des inégalités. Selon Dubet, la 1977, 43% en 1993, 40% des mobilités en 2003. C’est cette mutation qui permet à différents moyennisation a fait intérioriser aux individus une sorte de droit à auteurs de parler d’une panne de « l’ascenseur

nomme « intégration capitaliste ». Dans une France très attachée aux valeurs rurales, ce livre provoqua une réelle polémique.  La « moyennisation » (H.Mendras, 1988) Selon le sociologue Henri Mendras, les sociétés démocratiques connaissent une élévation des niveaux de vie moyens par une réduction des inégalités économiques. On peut comprendre l’idée de « moyennisation » à la fois comme le développement des classes moyennes, mais aussi comme le processus d’homogénéisation des pratiques sociales et

et la précarité de l’emploi, la peur du licenciement pèse également sur la combativité des travailleurs. La tertiarisation de la société entraine aussi une hétérogénéité des salariés, de leurs qualifications, de leurs préoccupations, c’est la moyennisation qui rend toute conflictualité inutile car la société est aussi marquée par une espérance d’ascension sociale. En outre, la mobilité sociale qui traduit le changement de catégorie socioprofessionnelle entre générations, est présente. Chacun peut

SYNTHESEIntroductionLa question de la classification est une question centrale dans les sociétés modernes... Dans les années 70 Henri Mendras s'est attaché à montrer que le recul des inégalités pendant les Trente Glorieuses favorisait une certaine moyennisation de la société française. La fin de la prospérité et le renforcement des difficultés économiques depuis les années 80 ont cependant fait resurgir les problématiques des inégalités sociales, et des façons de les mesurer.Ainsi la grille des professions

Glorieuse fait apparaitre le phénomène de la classe moyenne déjà décelé de l’analyse marxiste des société occidentale. En effet Marx à constater que certain individus n’appartenaient ni a la classe bourgeoise ni au prolétariat. Cette théorie de la « moyennisation » repose sur l’idée d’un déclin de la reproduction sociale par l’existence d’une classe moyenne qui efface les frontières entre les classes, échangeant tant avec les classes populaires que la bourgeoisie. Robert Nisbet est l’un des premier a montrer

mobilité sociale est donc possible. A terme, cette fluidité sociale va entraîner une égalisation des conditions de vie donc une uniformisation des niveaux et des modes de vie. Cette vision de Tocqueville a été en grande partie confirmé par la moyennisation des sociétés dans les grands pays industriels de type démocratique surtout pendant les trente glorieuses (Jean Forestier 1979). 2- Tocqueville est conscient des dangers de la démocratie Pour lui, la démocratie n’est pas parfaite, c’est le moins