La Moyennisation

L’organisation du travail (NFOT et fordisme ⇒ ↑de la productivité ⇒Croissance 5. II les autres facteurs A la croissance endogène ( ↑ ⇒ financement des infrastructures, protection sociale et éducation ⇒ Croissance B la ↓des inégalités (Armatya Sen + moyennisation + croissance fordiste) Vous analyserez le lien entre la population active et la croissance économique II la croissance économique a des répercussions sur la population active A une croissance soutenue crée des emplois son ralentissement ⇒↓ besoins

conception conflictualiste de la société : d'une part les capitalistes, d'autres part les travailleurs. Elle est faite de ces deux forces contradictoires, la société est bi-polarisée. Tocqueville, au contraire, est le 1er a avoir mis en évidence, la moyennisation de la société : les différences entre les individus s'estompent. 1/ Marx et la lutte des classes 1.1 / Une opposition dialectique des classes On dit de Marx que c'est un dialectique matérialiste ; Fils de petit bourgeois, mais dans une

des entreprises (techniciens) et à la population : enseignants infirmiers. On parle de Moyennisation terme utiliser par le sociologue Henri Mendras. Même si statistiquement leur place reste relativement plus faible que les ouvriers à cette époque par exemple, elles conquièrent tout de même une forme de leadership : Type de consommation, loisirs, habitat, valeurs s’impose au-delà de leur propre groupe. Moyennisation : Terme sociologique pour désigner le fait qu'une proportion très majoritaire de personnes

qui améliore la qualité de la vie. ∗ Elle est à l’origine de mutations économiques de l’appareil productif : concentration, industrialisation, tertiarisation, salarisation. ∗ Elle bouleverse le paysage social : transition démographique, moyennisation, augmentation de la mobilité sociale, urbanisation, élévation du niveau de qualification ∗ Elle permet surtout l’augmentation du niveau de vie : (augmentation du pouvoir d’achat +. mise en place d’un système de redistribution des revenus

Le déclin de la classe ouvrière serait confirmé par la diminution des grèves depuis 1970, par le déclin du syndicalisme....par l'apparition de nouveaux mouvements sociaux ainsi cette nouvelle vision de la société coïncide avec le processus de moyennisation de la société et ainsi la frontière entre les catégorie se fait donc de plus en plus floue. Ainsi aujourd'hui une bonne partie des classes moyennes s'identifie par ses valeurs, ses modes de consommation et ses activités aux classes aisées. Cependant

renforcent, elles forment systeme. Le cumul des inégalités fait que certains membres de la société ne peuvent acceder aux biens dont ils ont besoin, d'ou les risques d'exclusion. 3- l'évolution des inégalités pendant les 30 glorieuses ===> moyennisation, modes de vie s'homogéneisent, niveaux de vie se rapprochent. apparition de classes moyennes (==> professions intermédiaires) Pour H.Mendras, la structure sociale a l'allure d'une toupie ou les classes sociales ont disparu et ou la 'constellation

moins qualifiés et la concurrence des pays émergents à bas coûts de main-d’œuvre. Il y a apparition des Cols blancs (dessinateur industriel). II- A partir du milieu des années 1970, une société postindustrielle. A) Tertiarisation et moyennisation sur fond de précarité. Déjà engagé durant les Trente Glorieuses la tertiarisation de l’économie. Ce secteur devient prépondérant 75 % des actifs. Service marchands (ex : assurance, banques, etc…) mais aussi services Publiques (Fonctionnaire

les désaccords et participe, une fois l’accord réalisé, au processus de renforcement du lien social. Henri Mendras (1927-2003) constate que le développement d’une large classe moyenne rend caduque la bipolarisation marxiste des classes. Cette moyennisation de la société apporte un champ beaucoup plus vaste à des revendications qui vont porter sur de nouvelles valeurs et non plus seulement sur des revendications d’ordre économique. Pour Ralf Dahrendorf, né en 1929, le conflit ne repose plus, comme

est aujourd’hui dépassée, la notion de classe sociale ne signifie plus la même chose qu’à cette époque. En effet, on parle plus aisément de nos jours, de mode de vie, de niveau de vie, d’activités et valeurs communes. On utilise le terme de « moyennisation » selon Henri MENDRAS[11], c'est-à-dire, la constitution d'une vaste classe moyenne réduisant les positions extrêmes dans la stratification sociale et rapprochant les modes et les niveaux de vie, William Lloyd WARNER lui, parlera de « consensus »

France par une hausse de la volatilité électorale mais aussi dans la majorité des pays industrialisés. L’explication principale réside dans le développement économique qui a fait émerger de manière importante les « couches moyennes ». Cette « moyennisation » tend à estomper les clivages de classe autrefois plus marqués. Le caractère de moins en moins déterminant de la position sociale et des variables lourdes, nous amène-t-elle vers une vision d’un électeur rationnel ? A) L’électeur est-il