La Muse Vénale

éprouvante avec Lesbie (Lesbia). La critique moderne s'accorde à reconnaître en elle une certaine Claudia, épouse du consul Quintus Metellus Celer, mort en -59. Le poète exprime dans plusieurs de ses pièces son déchirement devant l'envie de quitter cette muse aux mœurs très volages - soupçonnée par ailleurs d'avoir empoisonné son époux en -59, de nourrir des relations avec plus de 300 amants et d'entretenir une relation incestueuse avec son frère - et la passion dévorante qu'il éprouve jalousement. Parallèlement

notant quelques mots résumant leur art. Il définit un point commun à tous : l’exclamation des sentiments, qu’il semble donner en offrande au Ciel. VII. LA MUSE MALADE Dans ce poème, l’auteur interroge sa muse qu’il décrit comme malade. Il fait référence à la mythologie antique. VIII. LA MUSE VENALE Il interroge à nouveau sa muse. Il lui demande ce qu’elle va faire pour ne pas subir la pauvreté : faire la quête ou vendre ses charmes? IX. LE MAUVAIS MOINE L’auteur parait décrire

féliciter d’avoir été condamné par la justice de Napoléon III, en 1859, Victor Hugo écrira que l’ouvrage apporte « un frisson nouveau » à la littérature. Spleen et idéal Bénédiction ; Le Soleil ; Élévation ; Correspondances ;Les Phares ;La Muse Malade;La Muse Vénale;Le Mauvais Moine;L'Ennemi;Le Guignon;La vie antérieure;Bohémiens en voyage;L'Homme et la Mer;Don Juan aux enfers;Châtiment de l'orgueil;La Beauté;L'Idéal;La Géante;Les Bijoux;Parfum exotique;Le Serpent qui danse;Une charogne;Le Vampire;Remords

vient la révolte contre l'absurdité de l'existence (Révolte) qui, s'avérant vaine elle aussi, se solde par La Mort. Spleen et idéal (85 poèmes)[modifier] À une passante Bénédiction Le soleil Élévation Correspondances Les Phares La Muse Malade La Muse Vénale Le Mauvais Moine L'Ennemi Le guignon La vie antérieure Bohémiens en voyage L'Homme et la Mer Don Juan aux enfers Chatiment de l'orgueil La beauté L'Idéal La géante Les Bijoux Parfum exotique Le Serpent qui danse Une charogne

Après ce triple échec vient la révolte contre l'absurdité de l'existence (Révolte) qui, s'avérant vaine elle aussi, se solde par La Mort. Spleen et idéal (85 poèmes) Bénédiction Le Soleil Élévation Correspondances Les Phares La Muse Malade La Muse Vénale Le Mauvais Moine L'Ennemi Le Guignon La vie antérieure Bohémiens en voyage L'Homme et la Mer Don Juan aux enfers Châtiment de l'orgueil La Beauté L'Idéal La Géante Les Bijoux Parfum exotique Le Serpent qui danse Une charogne

désigne est l'ennui, tous ses lecteurs le connaissent, ce qu'il explique au début de l'ouvrage par son premier poème (non numéroté). Bénédiction Jeanne et la Belle étoile L'Albatros Elévation Correspondances Les Phares La Muse Malade La Muse Vénale Le Mauvais Moine L'Ennemi L'Homme et la Mer La beauté L'Idéal Le Masque La Chevelure L'Héautontimorouménos L'Invitation au voyage parfum exotique Spleen Aube spirituelle L'horloge Chant d'automne Le serpent

toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! | -un autre destinataire le rêve: v24 Saura vous retrouver, ô féconde paresse, | La femme permet l'entrée dans « un rêve poétique » féconde, ELLE EST LA MUSE. La femme n'est pas dévalorisée dans le poème en prose. Elle est vénale (à vendre prostituée) dans le poème en vers V37 Sèmera le rubis, la perle et le saphir, | Elle est dévalorisée par des comparaisons animales (toison-mouton-encolure-crinière) et par les mots à la rime « lourde »

censée se dérouler en 1841 et que la Seconde République affranchira les Noirs en 1848, à l’instigation de Victor Schœlcher. La comparaison avec la statuaire antique ( « son pied, pareil aux pieds des déesses de marbre que l’Europe enferme dans ses musées ») lui confère la dimension d’un archétype de la Beauté, éternelle et inaccessible. Véritable idole, elle est littéralement « dorée » : jouant avec insistance sur son nom qui contient le mot « or », Baudelaire introduit ces deux lettres de manière

éprouvante avec Lesbie (Lesbia). La critique moderne s'accorde à reconnaître en elle une certaine Claudia, épouse du consul Quintus Metellus Celer, mort en -59. Le poète exprime dans plusieurs de ses pièces son déchirement devant l'envie de quitter cette muse aux mœurs très volages - soupçonnée par ailleurs d'avoir empoisonné son époux en -59, de nourrir des relations avec plus de 300 amants et d'entretenir une relation incestueuse avec son frère - et la passion dévorante qu'il éprouve jalousement. Parallèlement

l’art, prôné par les Parnassiens se révèle impossible. Cette quête révèle alors une inquiétude métaphysique comme le révèle « La Beauté » [17]. L’art moderne est considéré comme vénal : l’artiste doit vivre de sa plume (les droits d’auteur datent de cette époque). Le Beau moderne est donc représenté comme morbide (« La Muse malade » [7]). Le poète est déchiré entre ses souffrances terrestres et son aspiration à l’Idéal. Ces deux pôles sont représentés par des thèmes clés : la malédiction du poète,