La Nature De La Firme R Coase

partent des travaux de Coase et Williamson (Prix Nobel d'Economie) sur les coûts de transaction. Williamson détermine 3 variables qui ont un rôle dans la transaction : - la spécificité des actifs (très important) : Une transaction peut dépendre de la réalisation préalable d'un investissement spécifique (en matériel, en formation, en actifs incorporels comme des brevets). Plus cet investissement est spécifique, plus le caractère opportuniste de la transaction sera élevé (une firme aura un poids fort dans

31 VI LE CONTRÔLE DE GESTION 2 LES ÉCHANGES ENTRE CENTRES DE RESPONSABILITÉ Le prix de cession interne Les contraintes et le choix des prix de cession interne 1 2 3 La logique d’intégration La logique de marché Du marché à la firme, de la firme au marché retrouvé La valorisation au coût standard La valorisation au prix du marché La gratuité des échanges internes La valorisation comptable au coût réel Les logiques « mélangées » Les contrepoids à la logique de marché 35 35 37 38 38

interne 35 Section 2 Les contraintes et le choix des prix de cession interne 37 38 38 39 1 2 3 Section 3 Les méthodes de valorisation 1 2 3 4 5 6 3 La logique d’intégration La logique de marché Du marché à la firme, de la firme au marché retrouvé La valorisation au coût standard La valorisation au prix du marché La gratuité des échanges internes La valorisation comptable au coût réel Les logiques « mélangées » Les contrepoids à la logique de marché 41 41

se sont multipliés. En France, cet intérêt est apparu tardivement. Ce n'est qu'à partir des années 60, et surtout des années 70 que les recherches spécifiques à la croissance externe se sont développées (GABRIE H. (1976), FUSTIER P. (1977), PATUREL R. (1978), HENIN P.Y. (1978), ALLOUCHE J. (1981), etc.). La fièvre des concentrations par le biais de la croissance externe suit un rythme effréné ces dernières années. Dans certains secteurs tels que la pharmacie, les banques, les assurances, le transport

la rationalité est limitée par 3 séries de facteurs : - L’information disponible : Impossible de détenir toute l’information qui permet au dirigeant de choisir la solution optimale de manière rationnelle car ttes ces infos ne sont pas disponibles (R&D => info tenues secrètes par les E), avec un cout > à l’utilité de ces infos (pas judicieux d’investir ds la quête de ces infos) ou confidentielles - La motivation du décideur : On regarde les comportements, la motivation du décideur, son

favoriser entre la logique de la concurrence et celle de la coopération (différentes formes d’ententes, etc.) ? Là aussi, les enjeux sont essentiels pour la croissance et l’emploi. Comment articuler la politique de la concurrence et la politique de la R&D et de l’innovation, composante centrale des nouvelles stratégies industrielles ? Les déceptions à propos de l’Agenda de Lisbonne mais aussi son caractère incontournable illustrent bien l’actualité de la question. Les recommandations du rapport sont

L’environnement, PUF, 1971. 19 CHAPITRE 1 1.2.1 Les approches non économiques En ce qui concerne les approches non économiques, deux principales logiques sont à distinguer selon que soit mis au centre des préoccupations l’homme ou la nature. 1.2.1.1 L’approche anthropocentrique Dans l’approche « anthropocentrique », l’homme constitue la finalité du monde. Sagoff (1988) 3 considère ainsi que la pollution de l’environnement doit nécessairement être acceptée si la société

RELATIONS HUMAINES 12 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 15 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 17 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 21 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 23 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 26 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 28 3.1 – LA CHAINE DE VALEUR 31 3.2 – LES PARTIES PRENANTES 32 3.3 – LES DEFIS CONTEMPORAINS DU MANAGEMENT 34 3.4 – LA RESPONSABILITE SOCIETALE DE L’ENTREPRISE

entre arguments d'autorité et faux-fuyants CHAPITRE II. Une histoire hérétique de la pensée économique dominante, ou comment on est passé d’Aristote à Michael Porter CHAPITRE III. De l'économie traditionnelle, du souk et du marchandage à la pseudo« nature » de l'homo aeconomicus CHAPITRE IV. Petite histoire de la plus-value et du management CHAPITRE V. Le management comme casuistique et concrétisation de la « trahison chrématistique » CHAPITRE VI. Où les lois économiques exposées par Marx rejoignent

Sommes-nous également affectés par nos émotions, notre expérience et notre histoire personnelle ? Et finalement, décidons-nous vraiment ? Quand nous votons, notre choix a-t-il réellement un impact sur la vie collective ? et dans ce cas, de quelle nature est-il ? Quand un groupe décide de fermer un site industriel, les dirigeants ont-ils réellement le choix ou bien la décision découle-t-elle de la manière dont le problème a été formulé ? Comment comprendre que les dirigeants et les responsables