La Nef des fous

bout une tête de fou), souvent des lunettes sur son bonnet. Cette représentation du fou est ambivalents. D’un coté, le fou est critiqué, il est l’incarnation de la folie du monde, la représentation de tous les abus. Cas du texte p 57. Dans la Nef des fous, le fou est l’incarnation de tous les pechés, travers, abus possibles. Ex : le fou bibliomane : le fou qui colectionne des livres sans jamais les ouvrir. Texte qui va se jouer de la satyre pour tenir un discours très moralisateur. Egalement

elle le considérait comme un lieu de débauche et de tradition païenne. Il va renaître paradoxalement dans les églises qui demandent à ce que la Bible et le nouveau testament soient mis en scène à l’intérieur même des églises, dans le chœur ou dans la nef, pour que le peuple comprenne mieux le contenu des livres saints qui étaient rédigés en latin. C’est la naissance du drame liturgique. B. Le Théâtre religieux 1. Le drame liturgique Le drame liturgique est toujours représenté à l’intérieur

extérieure et le cadre même de la cathédrale sont des modèles d'art roman et d'art gothique, l'intérieur de l'édifice nous surprend par un tout autre style artistique: un chœur immense occupe les deux tiers de la surface, barrant certes la perspective de la nef par un jubé toujours en place mais constituant avec ses boiseries intactes un ensemble unique et une merveille de l'art de le Renaissance. Sans aller jusqu'à parler de troisième cathédrale ou même d'une "église de bois dans une église de pierre ".

suppression d’un de ses livres : que deviendra-t-il ? => lien w/ chap : Durer, « Le fou de livres », frontispice pour la 1ère édition de La Nef des fous de Brandt (1494) lunettes = connaissance du livre mais pas du monde Geigler Von Kayserseber = humaniste qui critique le fou de livre => savoir dans la tête et pas que dans les livres => 7 fous en 7 sermons = typologie (voir Notion) Ce qui compte ce n’est pas tant le nombre de livre mais le savoir personnel conséquent. Une certaine

jour, les vents tombèrent, et les voiles pendaient dégonflées le long du mât. Tristan fit atterrir dans une île, et, lassés de la mer, les cent chevaliers de Cornouailles et les mariniers descendirent au rivage. Seule Iseut était demeurée sur la nef, et une petite servante. Tristan vint vers la reine et tâchait de calmer son cœur. Comme le soleil brûlait et qu’ils avaient soif, ils demandèrent à boire. L’enfant chercha quelque breuvage, tant qu’elle découvrit le coutret3 confié 15 à Brangien

l'atelier de son père. À 15 ans, il étudie la peinture dans l'atelier du peintre Michaël Wolgemut ; c'est dans cet atelier qu'il réalisa ses premiers bois. À 18 ans il participa à la réalisation des Comédies de Térence du Chevalier de la Tour et de La Nef des fous. B/ Ses voyages Son premier voyage en Italie en 1494 avec Willibald Pirckheimer est un séjour déterminant pour Albrecht Dürer. Il y découvre le secret de la beauté idéale et de nouvelles théories qui bouleversent ses conceptions esthétiques

Page 267 : FAYE, Petit pays , 2016 Peinture : Page 260 : BOSCH, La Nef des fous , 1500 Page 261 : RAPHAEL, Autoportrait avec un ami Page 263 : GERÔME, Diogène

devient Claire, d’abord soumise puis de plus en plus menaçante. C’est le théâtre dans le théâtre : une mise en abyme cathartique, déroutante et déstabilisante pour le lecteur qui commence par se demander jusqu’où va ce jeu dans le jeu, et dans quelle nef des fous il vient de tomber. Mais c’est aussi cette mise en abyme qui donne toute sa force à la pièce, par ce qu’elle permet de révéler de sentiments troubles et inavouables. Une oeuvre déroutante et fascinante à la fois. Un extrait de l'introduction (ou

qu'on chante de la pudeur Je veux qu'on chante de la pudeur Qu'on sache s'elle est de bonne couleur Ce "vers" très bref prend son auteur De son métier, j'emporte la fleur, En vérité, J'ai le témoin du "vrai acteur" Qui est lacé. J'ai vu les fous et les penseurs, J'ai vu la honte avec l'honneur Et j'ai connu l'audace, la peur Et son amour, comme leur jongleur, Je n'en suis pas Sot que je ne sois pas meilleur Parmi les choix. Je connais bien celui qui dit Les mots de joies, du mal

fabliau; par les rebondissements de l’intrigue (découpée en trois actes dans des versions ultérieures) et surtout par le relief des caractères, c’est déjà une comédie. La sotie, elle aussi, pouvait comporter un développement étoffé. Les sots, ce sont les "fous" de cour. Aux mains de leur "prince", une marotte à grelots tient lieu du fouet de la satire. C’est le sceptre de la Folie, laquelle, en principe, a licence de tout dire. En fait, le pouvoir contrôle ce franc-parler ou l’utilise à son profit. CHANTEFABLE