La Notion D Infraction

LexisNexis 3ème édition 2007 Droit pénal spécial, Mme Rassat. Précis 2006 3ème édition 2006 Droit pénal spécial, M. Pradel. Edition Cujas. 4ème édition 2007 Introduction : Section 1 : La notion de DPS §1 Division de la matière pénale en 3 branches. L’expression exacte devrait être droit des infractions et des peines. Il ne faut pas oublier l’influence de la CESDH. Le critère d’intervention de compétence de la convention est la matière pénale. Pourquoi utiliser l’expression de matière pénale

historique * Si l’on se situe tout d’abord au début du 19ème siècle, le droit pénal n’intervenait que ponctuellement en droit du travail. En effet, les relations de travail n’étaient envisagées par le code pénal de 1810 qu’à propos de certaines infractions qui étaient plus sévèrement punies lorsqu’elles étaient commises par un employé. Par ex, les peines de vol étaient aggravées lorsque l’infraction était commise par un ouvrier ou par un apprenti. Autre exemple, les peines d’attentat aux mœurs étaient

peines, et de non-rétroactivite de la loi pénale dans le temps. PLANS IDEES MAITRESSES Les instances judiciaires ne peuvent connaître que des faits définis par la loi comme étant une infraction et les juridictions de jugement ne peuvent prononcer que les peines qu'elle édicte pour sanctionner les infractions. Les textes normatifs qui légifèrent sur le fond ne sont pas rétroactifs lorsqu'ils sont créateurs d'une incrimination, ou plus sévères. Ils sont cependant d'application immédiate lorsqu'ils

progrès. Déclin de l’Etat social, de l’Etat providence, mais aussi crise culturelle. Nous serions engagé dans un processus de déclin, de décadence, nous serions dans un climat propice a la montée en puissance de la violence, de la délinquance. La notion d’insécurité va occuper une place centrale, comme préoccupation, mais aussi comme peur. On peut en donner 2 exemples : -On se souvient de la place occupée par le thème de l’insécurité dans les campagnes électorales récentes. -Dans les médias. Les

travers la sanction le droit pénal peut porter atteinte à la liberté. * le droit pénal exprime des valeurs reconnues comme essentielles par notre société, la répression pénale constituant la réponse apportée par la société a la commission d’une infraction, l’importance de la peine encourue témoigne ainsi de la gravité reconnue par notre société à certains comportements (exemple : le meurtre qui est puni d’au moins 30 ans). A travers ces incriminations le droit pénal va protéger les valeurs essentielles

Il s’agira ainsi de constater que la notion de violence désigne des comportements variés dont la qualification dépendra du degré de gravité et de la nature du résultat engendré par l’infraction. Une première partie sera donc dédiée à la violence comme notion large englobant une variété de comportements (I) puis dans un second temps nous aborderons la volonté d’une répression de la violence facile à mettre en œuvre (II). I) La violence, une notion large englobant une variété de comportements

société à la commission d’une infraction. En effet, l’importance de la peine encourue va témoigner de la gravité du crime. Le Droit pénal protège les valeurs essentielles de la société : la vie, la propriété, la dignité humaine, l’intégrité physique. Il est légitime que tout citoyen se sente concerné par la juste application de ce droit.Le Droit Pénal est de plus, la matière dans laquelle s’exprime avec le plus de force l’idéal de justice Introduction | I)    La notion de Droit Pénal « L’ensemble

de la criminalité a procédé à la généralisation de la responsabilité pénale des personnes morales. Ainsi toutes les infractions peuvent être inputés à une personne morale. Les personnes morales sont des groupements ayant la personnalité juridique, susceptible d'être titulaire de droits et obligations. Puis la responsabilité pénales est l'obligation de répondre des infractions commises et subir la peine prévue par la loi. Par conséquent il faut déterminer le lien de causalité c'est à dire le

répression, elle constate les infractions et en recherche les auteurs et les preuves. Les litiges qui concernent ces infractions relève du juge judicaire (application ultime du droit pénal) 1.2 Critère de distinction : critère finaliste La distinction entre PA et PJ n’étant pas aisée, la qualification est tout aussi difficile car une opération de PA ou une opération de PJ, n’est prise en compte que par sa finalité. Hypothèse : s’il y a une relation avec une infraction pénal déterminée, il s’agit

certains actes vont constituer des transgressions pénales sans pour autant porter atteinte à la morale. Ex : je gare ma voiture dans une zone autorisée mais je ne paye pas, je risque alors une contravention pour non respect du code de la route : infraction pénale mais il n’y a aucune transgression d’une règle morale. A contrario, on peut avoir des fautes morales qui ne donnent lieu à aucune répression pénale soit parce qu’elles ne donnent pas lieu à une répression pénale soit parce qu’elles ne donnent