La Nuit Sacrée

effet, la gauche s'y oppose en affirmant que si le président est élu par le peuple, il sera alors légitimé par lui et pourra se considérer comme supérieur au pouvoir législatif et donc aux députés. Un député déclarera même que « Le sacre du peuple est plus divin que le sacre de Dieu ». Il existe donc déjà un conflit de légitimité entre députés et Président. Au total, six candidats se présentent aux élections dont quatre sont républicains, ce qui témoigne de leur division. En effet, se présentent dans

banc d’accusé » à « sans se rendre compte de ce qu’il faisait » Extrait 4 : Le Clézio, Désert, 1980, de « Le ciel était sans limites » à « mourir sur le sable » HIDA L’art et la guerre au XXème ; Images de guerre (Céline, Voyage au Bout de la Nuit et illustrations de Tardi). Activité en classe : Atelier d’écriture sur le récit d’une scène de guerre en adoptant le style célinien d’après les illustrations de Tardi. Séquence 2 : Mettre en scène la variété du comique Objet

soutenir l’Espagne en lui montrant « le bon exemple », Louis XIV commande alors à l’un des plus grands portraitistes de sa cour une représentation de sa personne. Cette huile sur toile, de dimensions 277X194cm, et intitulée Louis XIV en costume de sacre, réalisée par Hyacinthe Rigaud (1659-1743), plût tellement à la cour et au Roi lui-même, qu’il préféra la conserver et l’exposer dans la salle du trône du château de Versailles. Une copie fut néanmoins réalisée pour être envoyée à Philippe V. Le tableau

Tim, 2014 I/ LE SONGE A/ UN SONGE CAUCHEMARDESQUE Les poètes semblent plonger en plein cauchemar La phrase laconique : «  il etait nuit » Cette phrase semble mettre en place déjà une atmosphère lugubre et inquietante Le lecteur ressent cette atmosphère pesante Expression métaphorique : «  le glas funèbre d’une cloche » Ce cauchemar est sans doute révélateur des angoisses du poete On observe une progression dans l’horreur Gradation «  sanglots, funèbre , cris plaintifs , rires féroces »

pour rejoindre sa bien-aimée) a) Il s’isole (ou : verbes de mouvement et progression spatiale) Ce n’est pas qu’un simple déplacement géographique, mais un pèlerinage. Un pèlerinage est un voyage à pied incitant à une méditation aboutie, ce voyage est sacré pour Hugo. Il est acète, il ne s’agit pas de nourriture mais de poèmes. Victor Hugo n’écrit pas malgré le décor dans lequel il se trouve, qui est une source naturelle d’inspiration. b) Il refuse la poésie traditionnelle (Ou : emploi du futur) Douleur :

commence avec la mort de Koné Ibrahima dont l'ombre s'échappe aussitôt de la capitale pour retourner au « lointain pays malinké natal pour y faire éclater la funeste nouvelle des obsèques » (p. 9). À la fin, c'est Fama qui meurt, victime d'un caïman sacré. « Fama avait fini, était fini. » (p. 170). Le héros est mort, le roman est terminé. Mais la mort elle-même n'est jamais qu'une étape, inscrite dans un cycle de vie. « Un Malinké était mort. Suivront les jours jusqu'au septième jour et les funérailles

Plan détaillé d’un commentaire de  « Nuit Rhénane »  de Guillaume Apollinaire :  Introduction : Le poème « Nuit Rhénane » appartient au recueil Alcools et constitue le 1er poème de la sous-partie intitulée « Rhénane ». Dans cette sous-partie Guillaume Apollinaire évoque son voyage en Allemagne (de 1901 à 1902) et s’inspire des légendes rhénanes. Dans le poème « Nuit rhénane » le poète est alors épris d’une ivresse poétique, il est en proie à diverses visions. Nous sommes alors amenés à nous interroger

rien qui soit plus odieux 360Que le dehors plâtré d’un zèle spécieux, Que ces francs charlatans, que ces dévots de place De qui la sacrilège et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue, à leur gré De ce qu’ont les mortels de plus saint et sacré ; 365Ces gens qui, par une âme à l’intérêt soumise, Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités À prix de faux clins d’yeux et d’élans affectés ; Ces gens, dis-je, qu’on voit d’une ardeur non commune 370Par le

découvert et ne pense qu'à ça. Quelques balles perdues finissent leur trajectoire à hauteur de ses bandes molletières, elles viennent s'enfoncer, encore meurtrières, dans la gadoue jaune. Les godillots du soldat s'engluent dans la boue. Il fait encore nuit. Il n'y a que cette lueur à l'horizon avec, par moments, une sorte d'éclair ou une série de lumières plus fortes et un roulement sourd, un bourdonnement toujours présent, qui prend au ventre quand on l'écoute. C'est plus haut que ça se passe, ici le

d'Aloysius Bertrand. Gaspard de la nuit désigne le diable. Livre 3 intitulé « la nuit et ses prestiges » D'après prologue fantaisies à la manière de Rembrandt et de Jacques Callot. Ce sont donc des ballades, poèmes de forme libre constitué de strophes, ici 5 dans un style famillier ou légendaire. 1Ére foi que l'on ente écrire poésie qui ne soit pas en vers. Publié posthume en 1828. La nuit et ses prestiges, cas ici car Ondine nymphe germanique apparaît de nuit. Tonalité ambigüe, sait pas si protectrice