La Parabole des aveugles

suscite aussi un mouvement qui rassemble des hommes et des femmes de toutes les parties du monde et les fait travailler ensemble en vue de ce que l’on appelle l’« altermondialisation ». I - L’ENGAGEMENT DANS LA SOCIETE  1. La parabole du Bon Samaritain Cette parabole du bon samaritain est certainement une des plus célèbres de tout l’évangile. Nous ne l’étudierons pas en détail mais c’est d’elle que nous partirons pour traiter le thème qui nous a été proposé, au moins dans sa première partie.

un monosyllabe « oui » et devant cette absence de réaction annonce enfin qu’il ne dira rien de plus. 12. Phèdre les difficultés de l’aveu Racine Lectures complémentaires : Antigone ou Phèdre : lecture cursive (sources antiques) Abel et caïn : la parabole du retour du fis prodigue (sources bibliques) Quai ouest B.M koltès : pièce contemporaine de JLFDMLectures complémentaires : sources bibliques Le mythe des frères ennemis : caïn et abelL’histoire est racontée dans l’ancien testament. Il s’agit du

une vision manichéenne (Qui sépare, sans nuance, le bien et le mal, ici le monde banal à l’idéal) *Un poème allégorique : Albatros=allégorie du poète et de sa condition (cf. commentaire→ http://www.bacdefrancais.net/albatros-baud.php ) I- La parabole du poète oiseau : A- Une double analogie/ comparaison B- L'élévation II- Un univers soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses B- Le jeu sur les sonorités C- Le mouvement des phrases III - Les symboles d'une chute : A- Une image

Originaire d'Issoire, en Auvergne, Jeannot est le fils d'un marchand de mulets très connu. Dès que son père achète un marquisat, ce garçon commence à prendre un air de supériorité envers son ami. Il quitte ses études et devient vaniteux et hautain. Aveuglé, il se croit au centre de l'attention et semble oublier les personnes qui l'estiment véritablement. Une fois à Paris, il adopte une vie tout à fait mondaine et il ne s'occupe que de danser et de chanter des vaudevilles. Puis, il est ébloui par une

fatal », « vaines », « funeste », « pénible ») : « elle aurait pu m'aimer » dit Perdican de Camille ; « Il a bien fallu que nous nous fissions du mal ». b) Une ironie tragique Dans une prise de conscience trop tardive, Perdican comprend qu'il a été aveuglé par son orgueil. Même s'il est le « meurtrier » de Rosette, il n'a pas voulu la faire souffrir. Dans un bref monologue, on le voit supplier Dieu: « ne tuez pas Rosette ! ». Il s’imagine (naïvement) pouvoir réparer sa « faute » : « je lui trouverai

lumière a giclé sur l'acier et c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux

Montaigne insiste sur le fait que la coutume deviennent des lois qui « enfreignent les règles de la nature». C/Enfin, après avoir prouvé que l’accoutumance était nocive et dangereuse pour l’être humain, Montaigne s’attèle à démontrer que la coutume aveugle toutes les sociétés. Ainsi, il donne une dimension tout à fait universelle à l’accoutumance. La citation de plusieurs exemples étrangers en est la preuve. En effet, Montaigne ne se contente pas de raconter des anecdotes de sa propre civilisation,

évidence la faiblesse de l'homme, qui nie sa misérable condition : face à l'ennui et au néant l'homme ne fait pas le poids, il est incapable de surmonter cette peur viscérale de la mort et tout son comportement se ressent de cette impuissance. Il est aveuglé par une vie basée sur l'agitation et l'illusion. l'homme attache de l'importance à des activités futiles et inconséquentes : les honneurs, la richesse et l'argent, le faste et le luxe, le divertissement. Il fuit l'idée de sa mort et de sa finitude

Publié en 2007, le Rapport de Brodeck est un livre de Philippe Claudel qui a valu à ce-dernier le Prix Goncourt des Lycéens. « Le Rapport de Brodeck est une parabole sur la Shoah, mais surtout sur la culpabilité et la destruction de l'homme par l'homme.» explique Claudel. Il traite en effet avec une remarquable habileté la faiblesse de l’homme et les blessures de l’âme, sur un fond historique qu’il ne nomme jamais. Il nous livre ainsi un témoignage vibrant sur la difficile condition humaine… Voici

fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem. 2. Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques. 3. Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l’eau ; 4. car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l’eau ; et celui qui y descendait le premier après que l’eau avait été agitée était guéri, quelle