La Parole Dans Phèdre

mai 1923, leur «bizarre contrainte», à savoir la détermination a priori du nombre des caractères : 115 800... L'ouvrage parut en 19212. À propos de la forme littéraire choisie, le dialogue philosophique imité de Platon mettant en présence Socrate et Phèdre défunts3, il ne semble pas qu'il y faille voir davantage qu'une commodité puisque, dans une lettre de 1934 et donc bien postérieure, Valéry confie ceci : «Le nom d'Eupalinos fut pris par moi qui cherchais un nom d'architecte, dans l'Encyclopédie Berthelot

Commentaire sur Phèdre Cette pièce de théâtre nommée Phèdre a pour auteur Jean Racine, qui est un des nombreux écrivains du Classicisme. La pièce est du genre tragique et raconte l’histoire d’un statut de père écrasant et même surnaturel car il connaît les Dieux. Le père condamne le comportement de son fils et va l’empêcher de s’expliquer. Il va agir en juriste et sa surdité va être la cause profonde du malentendu. Le père également l’éducateur répond de la faute de son fils par la vengeance et

personnages. A la période classique, elles sont peu nombreuses (17ème s.). A partir du drame romantique (19èmes.) avec entre autres Victor HUGO, par exemple Hernani en 1830, les didascalies se multiplient jusqu'à atteindre la caricature avec « Actes sans paroles » de Samuel BECKET en 1958. Contenu des didascalies : Le nom des personnages : au début de la pièce et avant les répliques Le genre de la pièce : comédie ballet, drame, etc., parfois la date de la première représentation Le découpage de la pièce :

Séquence 2, séance 4 : Des passions dévastatrices : Texte : Racine, Phèdre, IV, 6, 1677. Éléments pour l'introduction : - Amorce : L'amour impossible comme Roméo et Juliette ou les personnages tragiques se trouvent face à des forces qui les dépassent (la société avec « Titus et Bérénice »). - Présentation de l’œuvre : L'intrigue de Phèdre est l'histoire du personnage éponyme qui tombe amoureuse d'Hippolyte, le fils de son époux Thésée. Il s'agit d'un sentiment incestueux, si bien qu'elle

Lecture analytique 1 « La grenouille et le bœuf » Satyre : Critiquer en s’amusant. Phèdre à la même morale que la « Génisse, la chèvre… » Chez Horace il y a un dialogue avec ses enfants, la grenouille veut simplement savoir si elle est aussi grosse qu’un bœuf. La particularité chez ce poème, c’est que la grenouille ne meurt pas, ses petits l’arrêtent. Chez Phèdre : rivalité sociale, pauvre veut devenir aussi riche que les nobles. On voit cette idée par la morale mit en début du poème. La jalousie

Racine. Phèdre. Acte III, scène 1, vers 790-812. La passion revendiquée. Commentaire. Contenu Texte ...................................................................................................................................................... 1 Introduction. .......................................................................................................................................... 2 Situation du texte. ..................................................................

Phèdre - I,3(Texte1) THEATRE : TEXTE ET REPRESENTATION   TEXTE 1   Racine PHEDRE - Acte I, scène 3 Introduction :   Racine, dramaturge du XVIIème siècle, s’inspire essentiellement de l’Antiquité grecque pour écrire ses tragédies. Comme tout classique, défenseur de la Raison, ce poète dramatique, à l’opposé de Corneille, choisit de montrer avec pessimisme les ravages de la passion sur les protagonistes souvent féminins.             Dans Phèdre, créée en 1677, l’épouse du héros Thésée, tombe

 PROBLÉMATIQUE : La parole enrichit-elle la pensée ? I - La pensée a besoin du langage pour trouver sa forme achevée : a – La parole favorise une expression spontanée qui traduit le mouvement même de la pensée et contribue à son épiphanie. Hésitations, reprises, voire bredouillements, ou au contraire phrases abouties auxquelles s'ajoutent l'intonation particulière qui donne à la pensée sa nuance et les gestes qui la soulignent : penser, c'est parler. Grâce à la parole, la pensée volatile et vagabonde

avoue ici son amour coupable sans le savoir ( comme Phèdre). En quoi cet aveu est-il comique ? I/ Deux personnages de comédie A/ La jeune ingénue • Voc/thème de la naïveté : v.1.2 rime Agnès n’a aucune idée du monde extérieur, découvre relations humaines • Thème enfermement (explique incompréhension v.4 insistance d’A. de la couper du monde • Aveu sans détour, longue tirade=exceptionnelle car Arnolphe a le monopole de la parole ponctuation « , » et « ; » = fluidité discours

scène d'aveu Oenone => servante : infériorité => « Madame » vouvoie tutoie = différence statut social proximité ac Phèdre ===> confidente but : faire avouer Phèdre : curiosité, inquiétude, insistance ( phrases interrogatives) Désespérée suite à l'aveu (phrases exclamatives) ==> choc, tragédie, désespoir stichomythies, Oenone coupe la parole 2- Phèdre : une femme amoureuse malgré elle a) Une faute difficile à avouer Procédés honte et confusion confrontée à un