La Parole Dans Phèdre

Phèdre, du mythe a la tragédie le mythe est différent du logos Mythe : c’est un récit imaginaire qui sert à expliquer ce que les hommes er la sciences ne peuvent expliquer Le logos : ce sont des paroles raisonnées, c’est aussi un discours réfléchie. Le logos donne naissance plus tard à la philosophie et aux sciences. Le mythe possède une portée universelle et une fonction d’apprentissage. Il est souvent employer au théâtre et y prend corps. Phèdre : son histoire est tout d’abord un

La scène de Phèdre avouant son amour à Hippolyte est tragique. Les phrases employées par celle-ci ont une forte expressivité traduisant l’impuissance qu’elle éprouve puisque l’amour qu’elle ressent envers Hyppolyte, son beau-fils, est impossible ; lui-même étant amoureux d’Aricie, une jeune fille appartenant au clan ennemi. Cette impuissance se traduit également pas l’interjection « Ah ! ». La présence du champ lexical des sentiments puissants tel que « fureur/fol amour/ feu/ abhorre » et la présence

Sujet : Aristote dit que la tragédie doit inspirer la terreur et la pitié. Dites dans quelle mesure cette règle est respectée dans la pièce de Phèdre. Racine, pour composer ses œuvres, s'est inspiré de la principale source des règles de la tragédie classique qu'est la Poétique d'Aristote. En effet, ce dernier y décrit entre autres les émotions que doit susciter un spectacle tragique afin de parvenir à la catharsis, ces émotions étant la terreur et la pitié, et y produit la définition du personnage

Racine, Phèdre Acte II, Scène 2 (v 524-552) : L’aveu amoureux d’Hippolyte à Aricie Introduction Phèdre, tragédie classique en 5 actes et en vers, est présentée par Jean Racine (1639-1699) pour la première fois le 1er janvier 1677 ; Racine avait alors appelé sa pièce Phèdre et Hippolyte, ce qui ne fut modifié que dix années plus tard. Comme dans toute réécriture d'un mythe, les sources du dramaturge sont nombreuses. On y trouve notamment des références au poète grec Euripide et au philosophe

Phèdre est une œuvre théâtral écrite par Racine (mais, l’auteur l’avoue dans sa préface, qu’il s’est fortement inspiré d’Euripide) au XVIIIè siècle. Cette pièce est une tragédie pathétique et lyrique écrite en cinq actes et en vers. A ce moment de la pièce, Thésée est toujours déclaré mort (on saura par la suite qu’il est vivant) et la question du prochain roi commence à se poser. Phèdre commence par recommander son fils à Hippolyte, mais, entraînée malgré elle par sa passion, elle en arrive, elle

Dissertation français Jean Racine est un dramaturge français du XVIIème siècle, considéré comme l'un des plus grands auteurs de la tragédie classique. Parmi ses œuvres les plus célèbres figure Phèdre, une pièce de théâtre mettant en scène le personnage éponyme, une reine grecque confrontée à un amour interdit pour son beau-fils Hippolyte. La fille de Pasiphaé et Minos, touchée par la malédiction de Vénus ne verra que la mort comme solution à cette aliénation. Devenue une marionnette des dieux, Roland

de l’extrait Phèdre, épouse du roi Thésée, est prise d’une passion irrépressible pour son beau-fils Hippolyte. Alors que la mort du roi semble de plus en plus certaine, Phèdre, venue s’entretenir avec Hippolyte afin qu’il n’écarte pas son fils d’une éventuelle succession au trône, se met plutôt, par un glissement psychologique involontaire, à lui livrer avec horreur ses sentiments amoureux. L’aveu est d’abord déguisé, et Hippolyte, trop horrifié, feint de ne pas comprendre ; Phèdre, exaspérée, reprend

siècle. L’une de ses œuvres littéraires s’intitule Phèdre. On y retrouve des personnages déchirés entre leur devoir à accomplir. D’eux d’entre eux sont Phèdre et Hippolyte. Dans un premier temps je vais analyser l’évolution du déchirement que ressent Phèdre à l’égard de l’amour qu’elle porte pour le fils de son époux. Ensuite, je vais analyser trois déchirements différents que vit Hippolyte au cours de l’histoire. Phèdre Passage 1: « Phèdre : Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée

n’y a pas assisté : c’est Aristodeme, un disciple de Socrate, qui le lui a raconté. Voici l’histoire : Socrate et Aristodeme devait partir manger chez Agathon. Lors du repas il y a : Socrate, Agathon, Aristodeme, Pausanias, Aristophane, Eryximaque, phèdre. À la fin du repas,

grotesque, ridicule et horrible provoque un dégoût moral. -  « horrible et grotesque se côtoient » (l.22 à 26) : « iroquois et topinambour » : langues des indiens d'Amérique, « à merveille » : discours indirect. Mauvaise foi des moins et absurdité des paroles prononcées. Les critiques : -Le clergé : lâche (cf. l.30 à 34) : le père Joseph « s'en tira sans bruit » et « Jésuites se dérobèrent » après avoir « flattés l'opinion » pour conserver le pouvoir. Le clergé ne veut pas se compromettre. - La Cour