La Parure Ironie

extérieur - euphorie/ dysphorie : état de malaise, d'angoisse, de tristesse. Le 1er mouvement répond au désir d'ascension de Mathilde et le 2nd crée un effet de rupture. Il s'agit pour le narrateur d'annoncer la chute à venir. La perte de la parure, en effet, constitue un coup de théâtre : incident imprévu qui survient dans le cours de l'action et qui bouleverse complètement la situation dans laquelle sont placés les personnages. C'est un point de catastrophe : retournement complet. Ces deux

réalisme : un amour jamais parfais -> "N'avait-elle pas assez souffert ?" discours indirect libre -> amplification et exagération III. L'ironie 1) des sentiments romantiques - contradiction entre passé simple qui montre un étourdissement -> ironie de l'état du personnage - hallucination visuelle va s'exprimer par une accumulation de la nature -> synesthésie (plusieurs sensation vu + toucher) : personnification "feuillage frémissait" "jonc sifflaient" et champs lexical de la nature -> poésie

étaient habillés cet été; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver. » (l.1-3). Une saison vient abolir la précédente. De même, la question oratoire : « Que me servirait de te faire une description exacte de leur habillement et de leurs parures? » (4-5) est révélatrice de l’inutilité de s’attarder sur une tendance vite tombée en désuétude. La personnification d’«une mode nouvelle» à la ligne 5, sujet du verbe "viendrait détruire", en fait une entité implacable contre laquelle « ouvrage et

inaccessible, hautaine, et fait souffrir. Ici elle s'exprimait à la première personne, contrairement à dans ''Hymne à la Beauté'' où c'est le poète qui l’interpelle. Elle est encore plus charnelle, sensuelle (''regard'', ''parfum'', ''démarche'', ''parure). Dans les deux cas c'est une déesse dominatrice (''gouvernes'', ''mon unique reine''). Son regard fascine les mortels. Le poète s'interroge sur son origine, et tout le texte est construit sur une série d'antithèse afin de montrer l’ambiguïté de la

ennoblissements, des stratagèmes qui cachent tout en dévoilant par partie le corps des hommes et des femmes qui les portent. Il née dès lors, l'idée d'une parure qui viendrait orner le corps de l'homme pour ne pas choquer et amoindrir la nudité. En effet, Odile Blanc dans son ouvrage évoque le « caractère sommaire de la vêture et la somptuosité de la parure » aussi bien chez les « sauvages » que chez les occidentaux. L'homme a besoin depuis la nuit des temps de se parer de bijoux, de se peindre, de se

Un cloîtr(e) est l'époux qu'il me faut. » Le père lui laissa digérer sa disgrâce. Un mois de la sorte se passe. [35] L'autre mois on l'emploi(e) à changer tous les jours Quelque chos(e) à l'habit, au ling(e), à la coiffure. Le deuil enfin sert de parure, En attendant d'autres atours. Toute la bande des Amours [40] Revient au colombier : les jeux, les ris, la danse, Ont aussi leur tour à la fin. On se plonge soir et matin Dans la fontaine de Jouvence. Le père ne craint plus ce défunt tant chéri ;

par la simple structure du texte, à savoir cinq courts paragraphes soulignant la variété des cas, tout comme leur côté éphémère. Montesquieu souhaite distraire son lecteur, le faire rire, et pour y parvenir il a glissé dans son écrit une notable ironie lorsqu’il se moque des extravagances de la mode, notamment en parlant de la multitude de mouches présente sur la visage des femmes ou lors de la comparaison d’un changement de coiffure à une révolution. Toujours dans un but de distraction mais aussi

LA PARURE: TELEFILM DE CLAUDE CHABROL | RELATIONS ENTRE MATHILDE ET JEANNEA quel moment de l’œuvre se situe la rencontre entre les deux femmes ?Comment Mathilde réagit-elle après sa rencontre avec Jeanne ? Comment Mathilde réagit-elle lorsque son mari lui suggère d’emprunter des bijoux à Jeanne ? Conclusion : Comment l’appartement de Mathilde et celui de Jeannesont-ils présentés ?Comparez l’aspect physique et les tenues vestimentaires de Mathilde et de Jeanne dix ans après le début de l’histoire

milieu convenu Flaubert dans cet extrait nous décrit le milieu social de l’aristocratie dans l’univers du luxe. La description du monde aristocratique insiste sur la richesse et le luxe. On remarque la présence des objets précieux et de l’argent : parure de perles, gagné 2000 louis ; coquille de vermeil. Les sujets de conversations surprises par Emma évoquent la vie oisive de la haute société du 19 e siècle. On a la liste des lieux : St Pierre, Tivoli, le Vésuve, Gênes, le colisée= véritable itinéraire

AXE : Le portrait d’un homme à la mode -Clitandre = un mannequin, un être inanimé. -Voix = seule partie témoin d’une vie. -8 questions à connotation ironique pour montrer la nullité morale et intellectuelle du personnage -Magnificence de la parure VS. Absence de qualités intellectuelles. -Perruque = mérite / Rubans = charme / Rhingrave = âme de la jeune femme pénétrée. -Alceste (homme jaloux et non objectif) dénonce ces « inutiles » à la mode. -Dénigration d’un seul homme VS. « Je hais tous