La Parure Ironie

portrait objectif de la société Française. C’ est Rica, le plus jeune persans, qui trace ici ce tableau satirique. Sa lettre s'interprète plus à un billet d'humeur qu'à une correspondance intime. Dans cette lettre on peut y retrouver Moquerie, hyperbole, ironie, antiphrase, burlesque, rythme rapide et changeant. Montesquieu fait une satire de la mode dans un registre comique et caricatural. Comment le regard externe d'un oriental contribue-t-il à la réflexion critique des moeurs françaises

anti-héros :Un prénom dévalorisant ( hauche /hocher et cornes)qui ravale le personnage à l’état d’une bête de somme. Le narrateur ne définit pas le statut social du personnage . L’épithète « maître » ne renvoie pas au domaine juridique. Est-ce une ironie ? Y a-t-il vraiment un héros dans cette nouvelle de Maupassant ? Avant de donner une réponse, il faut définir ce mot clé. D’habitude, on lie avec un héros des traits caractéristiques comme le courage, la force et l’intelligence. S’il y a des situations

cloître est l’époux qu’il me faut. » Le père lui laissa digérer sa disgrâce. 35 Un mois de la sorte se passe ; L’autre mois, on l’emploie à changer tous les jours Quelque chose à l’habit, au linge, à la coiffure : Le deuil (2) enfin sert de parure, En attendant d’autres atours ; 40 Toute la bande des Amours Revient au colombier ; les jeux, les ris (3), la danse, Ont aussi leur tour à la fin : On se plonge soir et matin Dans la fontaine de Jouvence. 45 Le père ne craint plus ce

moqué par ses amis. Théophile Gautier n’a que vingt ans quand il publie cette nouvelle, mais dès lors, il reviendra tout au long de sa carrière sur ce genre littéraire qui lui permet d’exprimer ses obsessions tout en les teintant d’une douce ironie. Et cet extrait nous permet de comprendre les procédés utilisés par Gautier pour dépasser la simple histoire à faire peur. En effet, si l’écriture est incontestablement fantastique, si le thème central reste passionnément romantique, le rire autorise

émasculés mouraient des suites de l’opération… 1. Énonciation : comment et par quels mots (pronoms, temps des verbes, etc.) l’auteur crée-t-il une situation d’énonciation telle que le lecteur ne doit pas prendre ce texte au premier degré, mais avec ironie ? 2. En quoi le choix de présenter le texte en courts alinéas contribue à l’ironie ? 3. « Les peuples d’Europe […] défricher tant de terres. » Expliquez clairement en quoi cet alinéa est ironique. 4. Même question pour l’alinéa : « Ceux dont

stéréotypes, les ingrédients typiques des contes de fée (ou romans d'amour) : - des circonstances exceptionnelles, un cadre somptueux où JJ va s'illustrer: un grand dîner 1 ; pour la première fois 2  solennité perçue du côté des domestiques par la parure exceptionnelle du maître d'hôtel ; des hôtes de choix, spectateur privilégiés du triomphe de JJ - le rôle du destin, du hasard qui joue en faveur de JJ Par hasard on vint à parler… 4 + comte qui se rend compte in extremis du sourire de JJ: … allait

registre : comique, humoristique. Mais qu’est-ce qui étonne Rica ? b) L’étonnement de l’étranger devant ces femmes obnubilées par la mode - tout a son importance pour les femmes en matière vestimentaire : cf champ lexical « habillement », « parure », coiffures, maquillage, chaussures L’évocation des très hauts talons faisant office de piédestal souligne la coquetterie, le désir de paraître des femmes. - la mode associée au mot « caprices » (x2 l.1 et 20) Sens du mot : 1. Envie subite et

référence au passé du personnage - a cela s’ajoute une synecdoque « gants de Suède » qui caractérise Brunner, symbole de son prestige, de sa richesse qui est opposée à « l’homme qui avait déjà mangé la fortune de sa mère ». = Rupture marquée ici, ironie de l’auteur. L’image du gant qui « cache », « dissimule », on pourrait penser que cette image cache une vérité moins prestigieuse sur Brunner. - Présence de son jugement à la ligne 14, « deux commères » désignant la présidente de Marville et sa

étranger, regard extérieur, distancier - Distance lorsqu’il est étonné : « ne saurait croire » (l.3), « qui pourrait le croire ?» (l.18) ← Une obnubilation des femmes pour la mode - Fort c.l de l’habillement : « habillés » (l2)/ « parures » (l6), « l’habit » (l.11) etc. - + mode de coiffures « les coiffures montent insensiblement » (l.14), maquillage « une quantité prodigieuse de mouches (.21), chaussures « les talons faisaient un piédestal » (l.17) ( le soucis des femmes est

définit par ce qu’ils ne sont pas comme le souligne l’anaphore de la négation, je cite, « ils n’ont point été ravis jusqu’au trône lumineux… » Mais en réalité leur portrait élogieux se dessine en creux par opposition à celui du sage oriental, il y a une ironie rendue par les hyperboles faussement mélioratives qui connotent l’excès. En effet Usbek accumule les termes qui font référence à la mythologie chrétienne et orientale, par exemple « paroles ineffables », « concert des anges », « fureur divine », « saintes