La Passion Est Elle Toujours Un Esclavage

déterminisme est vrai et fixe par notre nature, l’avenir n’est pas pour autant écrit d’avance. Nietzsche est un auteur d’ou prends l’exemple de la chute d’eau, pour représenté le cours de l’existence car c’est tout, les choses sont indifférentes et toujours les mêmes. Tout ce qui nous parait accidentelle, imprévisible ou aléatoire est enfaite déjà écrit d’avance. L’homme pense être libre car il ignore la réalité, comme un empire dans un empire Spinoza. L’image utilisée par les stoïciens est celle

L’homme: intention, besoin et volonté. Conscient de la mort, il construit sa vie en fct de choix et de projets. - Pour Calliclès (personnage du Gorgias de Platon, fougueux, passionné, il est la nature ctre la loi): être libre = faire ce qu’on veut, sans contraintes, avec excès. Mais le passionné est dépendant de sa passion, agissant par rapport à elle. La liberté n’est pas l’assouvissement de tous les désirs ni le rejet de toute autorité. Vivre sans contraintes = vivre seul, car toute société est

goûtait du repos à profusion. Plus d’appels, plus de fouets, Et l’orée du bois était tout près. Un couachy coulait dans ses veines. Il bondirait, fuirait la plantation. La pluie se ferait complice de sa peine, De son désir, de son besoin, de sa passion. Elle effacerait toute trace de ses pieds. Car le hocco de sa peau est hérité De lignées qui plongent dans l’éternité Leur amour de la liberté, leur caractère entier. Mais, soudain, comme un enfant, Il tendit les deux mains. Comme un enfant insouciant

n’ai encore rien dit. », tandis que Euphrosine utilise un vocabulaire plus soutenu, recherché « infortune »  « infortunée » et elle, au contraire, fait des phrases plus longues , parfois même avec un rythme ternaire « que mes disgrâces, que mon esclavage, que ma douleur ». Pour finir, le troisième texte est un extrait de l’acte II de la première scène des Caprices de Marianne, d’Alfred de Musset. Dans cet extrait, on peut voir que Marianne utilise l’ironie afin de marquer son opposition avec

elles, l’habitude de m’ouvrir les entrailles a ôté du prix à tout ce que je faisais. Elles auraient demandé à me crever les yeux, je leur aurais dit : " Crevez- les ! " Je suis trop bête. Elles croient que tous les pères sont comme le leur. Il faut toujours se faire valoir. Leurs enfants me vengeront. Mais c’est dans leur intérêt de venir ici. Prévenez- les donc qu’elles compromettent leur agonie. Elles commettent tous les crimes en un seul. Mais allez donc, dites- leur donc que, ne pas venir, c’est

1 Méthode de la dissertation philosophique I. Préparation Dans le sujet, il faut trouver un paradoxe (une idée étonnante, qui va contre l'opinion commune), ou un présupposé, toujours un problème. Le mauvais réflexe, c'est de chercher dès l'abord une réponse. Il faut au contraire mettre en question l'opinion ou l'évidence première. 2 exemples: Ex. 1: Faut-il préférer le bonheur à la vérité? L'énoncé semble tenir pour acquise l'idée d'une incompatibilité entre bonheur et vérité. Il faudra examiner

d’entrer au convent. Après plusieurs années, l’amour du Duc disparaît et la Princesse meurt très jeune dans l’obscurité. Les Crimes de l’amour est un recueil de nouvelles écrit par Marquis de Sade et publié en 1788. Il parle de l’amour comme une passion incestueuse. Il y a des thèmes comme amour à la folie, la séduction, l’inceste qui est l’amour absolu, des histoires de trahison, infidélité, adultère, etc. Il y a une grande présence du libertinage. Je me suis centrée dans l’histoire d’amour entre

libres si l’on se réfère à cette déclaration. Personne ne devrait se poser la question sur la liberté, puisque tout le monde est censé en jouir. Cependant, il serait aisé de trouver dans le monde des cas de liberté bafouée. La liberté est-elle toujours nécessairement désirable ? Certaines personnes répondront oui à cette question tandis que d'autres seront contre ce sujet. Dans mon cas, je répondrais : oui, car la liberté est quelque chose que tout être humain mérite et nécessite. Je vais

L'impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social La vérité vous rendra libres. Jésus-Christ, Evangile selon St Jean, 8, 32 On ne devient libre qu'en acceptant ses manques ; sinon, on passe sa vie à vouloir être comme les autres, à ne pas accepter de s'enrichir des différences des autres. Pascal Prud'hon On doit convenir que les hommes dominés par ces passions [l'humilité et le repentir, comme

c'est vouloir. Certes, il faut toujours préférer l'homme à l'idée qu'on s'en fait. Certes, la violence revient invariablement (d'une man ière ou d'une autre) à préférer le lointain au prochain. Certes, des utopies peuvent justifier des totalitarismes où l'on fait entrer de force le présent dans l'avenir. Cela dit, des pensées et des analyses ne sont rien si elles ne s'inscrivent pas dans une pensée qui les dépasse ; la l iberté est toujours devant nous, toujours à conquérir, car sitôt atteinte,