La Passion Est Elle Une Croyance

compassion M.A. MYSTIQUE  Mort, fuite du temps  Religion, croyance, foi  Pléiade  Baroque  RENAISSANCE BAROQUE HUMANISME  Importance de l’Homme  Connaissance, éducation  Utopie sociale  Goût pour le progrès, les découvertes BAROQUE  Mouvement, instabilité, cycle  Liberté, imagination, excès  Apparence, masque, décor  Bizarre, paradoxe, complexité  Préciosité  (Libertinage)  CLASSICISME ROCOCO CLASSICISME  Raison ( passion)  Mesure ( excès)  Morale, loi, règles, ordre  Recherche

L’HUMANISME I. L’histoire En latin, « humanitas » désigne la culture. Au début du XVIe siècle, l’humaniste est donc l’homme qui se livre avec passion à l’étude des textes antiques, par réaction contre le Moyen Age où l’enseignement ne se faisait plus directement à partir des textes de l’antiquité, mais, selon une logique formelle et autoritaire, à partir de commentaires des commentaires : on ne faisait plus appel à l’intelligence, mais à la mémoire. L’humanisme est un courant culturel

apprends que nous sommes des prisonniers, d’une demeure obscure, close et souterraine : la caverne. La caverne est la métaphore de l’ignorance, de la servitude. Elle symbolise l’aliénation de l’esprit qui fait prendre pour vérité ce qui n’est que de la croyance. Dans cette allégorie, Platon nous donne une certaine idée de la philosophie, elle se veut ici libératrice (pour le prisonnier). Pratiquer la philosophie, c’est accorder à la connaissance de ce qui est, par-delà des opinions et des illusions. Platon

philosophie Sujet : Les croyances sont-elles des prisons ? Depuis des millénaires les diverses religions ont su apporter des réponses aux grandes questions de l’homme, ces réponses divergent selon les croyances et souvent ces religions imposent certaines choses que d’autres tolèrent voire même obligent, alors nous pouvons nous demander si dans un sens somme nous prisonniers de nos croyances ? Pour y répondre nous nous demanderons dans un premier temps si la croyance est une entrave à la liberté

langage articuler et complexe, puisque notre langage est formé de son identifiable et signifiant. Les animaux, ne peuvent ni penser ni raisonner, comme l’homme. Le langage leur est alors inutile puisqu’ils savent par exemple très bien exprimer leur passion (ou autre) sans cet outil de communication ! L’homme est un animal doué de raison, qui vit en communauté. Il a donc besoin d’un moyen de communication pour partager sa pensée et ses intentions. Le langage est une institution universelle de l’homme

savoir si on pouvait aimer vraiment une fois ou plusieurs fois. On cita des exemples de gens n'ayant jamais eu qu'un amour sérieux ; on cita aussi d'autres exemples de gens ayant aimé souvent, avec violence. Les hommes, en général, prétendaient que la passion, comme les maladies, peut frapper plusieurs fois le même être, et le frapper à le tuer si quelque obstacle se dresse devant lui. Bien que cette manière de voir ne fût pas contestable, les femmes, dont l'opinion s'appuyait sur la poésie bien plus que

objets de croyance et non de savoir ? Dès lors, croire, est-ce renoncer à l’usage de la raison ? La raison, faculté critique et justificatrice, semble contraire à la croyance qui suppose une adhésion directe, dénuée de remise en cause. La croyance s’oppose-t-elle radicalement à la raison, peut-elle s’installer contre ce que la raison considère comme vrai ou bon ? Ou bien peut-on considérer que le « renoncement » à l’usage de la raison n’exclut pas les fondements rationnels de la croyance ? I. La

accomplir tous sesdésirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts, habitudes, passions) qui pèsent sur sa liberté et qu’il lui est difficile voire impossible de surmonter totalement de sa propre initiative. Dès lors, le sentiment de liberté ne serait-il qu’illusoire ? 2) l’illusion : Il s’agit de saisir l’importance de ce terme à

l’expérience, nos proches ne les partagent pas forcément. La vérité serait qu’un parti-pris, un point de vue isolé et partiel. Exemple : Toute fois l’histoire nous prouve qu’un seul peut avoir raison contre tous. Galilée a établi une vérité contraire aux croyances de son temps. Un scientifique peut provisoirement proposer seulement une vérité objective qui s’oppose à l’opinion unanime. La vérité ne vient pas toujours de soi, elle n’est pas évidence. Lorsqu’une vérité est enfin admise elle s’impose de manière

Nous rencontrons d’emblée une opposition entre Justice et vengeance : en effet, la justice se présente comme une puissance impartiale, universelle et juridique, alors que la vengeance est une puissance personnelle, subjective et qui relève de la passion. Tandis que la justice est loi, la vengeance est désir. D’un côté, la justice est une institution : elle est garante de l’Egalité, de l’Equité et de la Liberté. Elle est la norme du droit. Selon Aristote, dans son Ethique à Nomarque, « Le juste est