La Passion Est Toujours Malheureuse

Il est impératif de dire, d'abord, que Racine aborde dans cette tragédie la problématique du dérèglement passionnel comme une force destructive qui dégrade et consume, corps et âme, les personnages qu'elle envahit. Il montre que aveuglement des passions, la dérive des désirs, la tentative mortelle d'atteindre un bonheur possible en dépassant toutes les lois, provoquent une issue mortelle. « Dire ou ne pas dire » tel est le problème tragique, pour la reine Phèdre, qui va déterminer tout son comportement

qui permet à Georges Duroy de se faire embaucher comme reporter. Il meurt au milieu du roman , ce qui permet à Duroy d'épouser sa femme. • Madeleine Forestier, la femme de Forestier. C'est une journaliste ambitieuse prête à tout pour satisfaire sa passion de la politique. Après la mort de son mari , elle épousera Duroy. Celui-ci finira par divorcer après lui avoir extorqué sa fortune. • Clotilde de Marelle, une jolie bourgeoise bohème. Ce sera la première maîtresse de Duroy. • Mme Walter, la femme

sont fiers et récidivent sans scrupule. Tenons-nous-en à ce fait. Car, pour le moment, il ne s'agit pas de s'interroger sur l'expérience qui les aurait conduits à cetteméchanceté (ex: enfance malheureuse). Pas d'avantage d'évaluer leur degré de responsabilité (endoctrinement, passion) b) Cette analyse permet de formuler le problème que le développement devra affronter et d'énoncer les termes d'une véritable alternative (ou bien ... ou bien...) ce qui annonce un débat. L'association

avais espéré. Elle se détache alors de lui. Tout au long du livre , Emma va avoir plusieurs amant. Elle va a un bal , et dès son retour de chez le marquis d’Andervilliers, Emma tomba dans une profonde dépression. Elle se passionne pour ses amant , mais est toujours malheureuse. A sa mort , Charles découvre les lettres de ses amants , il est désespéré. Il meurt ensuite à son tour seul sur un banc de son jardin . Centres d’intérêts : -Amour non réciproque entre Charles et Emma -Dévotion d’Emma

l’Antiquité l’effet dévastateur de la passion de vengeance. La première tragédie de Corneille, créée en 1635 est encore fortement marquée par le goût baroque de l’excès. Par ailleurs, et cela n’est pas pour surprendre, le jeune auteur, bon latiniste, se tourne vers la mythologie, emprunte aux Anciens, non sans se mettre à l’école de ses prédecesseurs modernes. Toute la tragédie est centrée sur la vengeance, l’influence grandissante de cette terrible passion dans l’âme de Médée, ses effets dévastateurs

Le héros du drame romantique Les personnages ont toujours eut une importance pour que le lecteur puisse identifier un genre dramatique. Le drame romantique n’échappe pas à la règle, et peut-être encore plus que les autres, place le personnage au centre de ses préoccupations, lui conférant un statut que l’on ne peut ignorer. Parmi l’éventail de personnages présents dans une pièce, assez nombreux en général dans le cas du drame romantique, il faut démarquer le héros, qui a, par son

Almaviva; elle représente la noblesse. Elle est très fidèle à son mari tout en sachant que lui ne l'est pas. Elle reste à sa place et ne se révolte pas contre lui. Suzanne doit avoir 17 ans, elle est la confidente de la comtesse. Elle est joyeuse, toujours gaie et joueuse. Elle n'hésite pas à défier son maître et à lui tendre un piège. C'est un personnage comique qui a compris les hommes et leurs défauts. Son but est de sauvegarder son honneur et de garder sa dignité face aux hommes. Fanchette est

Balzac raconte différents moments de la vie de Julie, l héroïne. Elle apparaît tout d abord en 1813, éprise d un bel officier, Victor, comte d Aiglemont, qu elle épousera par la suite et qui, par ses infidélités répétées, la rendra très malheureuse. Quand les manS uvres furent terminées, l officier d ordonnance arriva à bride abattue et s arrêta devant l empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez

Aissaoui Ichrak 1 œ ’ Imprévisible, introverti, Van Gogh est un peintre talentueux qui ne connaîtra malheureusement pas le succès de son vivant. Au contraire, il était aperçu par la folie. Le peintre Van Gogh était avant tout un homme, fait de passions, de rêves et empreint d’une grande sensibilité pour ce qui l’entourait. Torturé, impulsif, capable tout à la fois de douceur et d’une ambition sans nom, le peintre semblait difficile à aimer et, partant, douloureusement seul. Vincent Van Gogh

principe d'égalité laissa augurer une amélioration et un changement de statut, il n'en est rien. En effet, bien que la révolution ait réussi à poser des principes d'égalité et reconnaisse à la femme la personnalité civile, le droit de vote n'est toujours pas institué. La femme reste avant tout une épouse et une mère. Elle est un ornement qui se doit de charmer son entourage par sa beauté et son esprit que l'on a pris soin de modeler. De plus , le divorce possible depuis 1792 menace la femme car