La Pensée sauvage

, Michel de Montaigne Voyage au Canada , Jacques Cartier L’Humanisme est une période culturelle importante des XVe et XVIe siècles, siècles marqués par l’année 1492, l’année où Christophe Colomb découvrit l’Amérique et bouleversant les pensées de l’époque concernant l’Homme, sa place et comment le caractériser. Le corpus regroupe quatre textes concernant les indigènes qui furent, plus que les terres trouvées, une véritable découverte ; Jean de Léry, Jacques cartier et Christophe Colomb

Marie a un côté enfantin et positif ≠ Meursault voc négatif, péjoratif (ex : pour Paris) - Marie aimerait connaitre Paris, elle évoque une ville romantique, représente les clichés de l’amour ≠ Meursault vision péjorative - Meursault dit ce qu’il pense, il est sincère Le meurtre : Chap 6, « La brûlure du soleil » à « porte du malheur » Hypothèse : - Rupture dans la vie du pers, car il a une vie banale puis rupture - On bascule vers la deuxième partie du roman

Des cannibales Les européens pensent qu’un sauvage est un Homme non-civilisé mais Montaigne pense qu’ils sont sauvages car ils sont près de la nature. Idées du texte : Comment Montaigne met en place une réflexion personnelle? Une méthode intellectuelle •"Je trouve" "me semblent donc" : il fait usage de son jugement propre •Les exemples empruntés à la vie concrète pour permettre au lecteur de juger. •Souci de définition des termes : barbares, sauvages : le jugement est erroné parce que les conventions

anciens et de leur confrontation avec des écrits plus modernes ou provenant d’autres courants de pensée. Cette deuxième acception définit un regroupement de qualités intellectuelles, sociales, affectives, propres à la « nature humaine ». L’humanisme conçu alors comme une ouverture au monde contemporain, une approche encyclopédique, une remise en question générale de la tradition devient un courant de pensée idéaliste et optimiste qui met l’Homme au centre du monde. L’humaniste devient le défenseur et

Supplément s’inscrit dans la tradition des débats d’idée du XVIIIème siècle. Ce texte se rapproche des dialogues traditionnels avec le sauvage, dont l’origine peut se trouver chez Jean de Léry, auteur du XVIème siècle, et qui seront également exploités par Voltaire dans L’Ingénu. En effet, Diderot fait dialoguer et débattre un sauvage et le représentant emblématique de la pensée européenne : l’aumônier. Cependant, à la différence du texte original, le Voyage autour du monde de Bougainville, ou du conte philosophique

L’indien lui donne en retour un dévouement total. Robinson recueille donc Vendredi et le forme aux métiers de Spéranza, à la charte de l’homme policé. Vendredi fait des efforts, mais il aime la spontanéité et les longues siestes. Son comportement de « sauvage », habitué aux plaisirs de la vie est en totale opposition avec celui de Robinson, strict et appliqué de la page 70 à la page 92. IV Vendredi fume dans la grotte où sont stockés les tonneaux de poudre. Quelques secondes après qu’il en soit sorti

remarques d’élèves concernant l’actualité. En décembre dernier une affaire de clonage humain a fait la Une des quotidiens et beaucoup intéressée les adolescents. De plus, l’idée qu’ils se font des programmes de la télévision est plus critique qu’on ne le pense : le conditionnement induit par la publicité et une certaine vision du monde sont apparus dans leur remarque. Il m’a semblé opportun d’étudier ce grand classique de la science- fiction. afin de développer les remarques des élèves et affiner leur sens

-énoncent ce qui est - s’appuient sur une observation neutre et objective. -énoncent ce que valent les choses - s’appuient sur l’évaluation, l’appréciation d’une réalité. On constate des différences entre les cultures 11/03/15 Les différences sont pensées en termes d’inégalités de valeurs. Test : jugement de fait ou jugement de valeur ? - « la musique indienne est de la grande musique » - « les critiques musicales considèrent que la musique indienne est du grand art » - « pas de doute, c’est un homme »

la clairvoyance de l'Ingénu à travers toute la première partie du texte. Pour cela il fait l'éloge de l’éducation « sauvage », proche de la nature, dont a eu droit l'Huron en grandissant immergé dans une culture amérindienne. Le narrateur rattache l'évolution rapide de l'esprit du sauvage à son éducation naturelle : « développement rapide de son esprit était du à son éducation sauvage. ». Le narrateur contraste cette éducation avec celle reçu dans le monde « civilisé » d'occident : « il n'avait point

culture ce que la nature lui a refusé. L'éducation a pour but de conduire l'homme à sa propre humanité. L’idée centrale du texte de Kant est que l’homme ne peut devenir homme que par l’éducation. Cette éducation assure une transition entre l’être sauvage, proche de l’animal qu’il représentait et par l’être humain qu’il devient après cette acquisition. Cette éducation dont l’homme est soumis dès la naissance comporte trois étapes le soin, la discipline et l’instruction. Sachant que l’éducation n’est