La Pensée sauvage

multiples questions (l’amitié, la maladie et la mort, la figure du sauvage, les livres). Le chapitre « des Coches » pose la question politique brulante de savoir s’il est légitime de s’emparer de ces terres du Nouveau Monde, de leurs richesses et de soumettre les « sauvages ». Ces derniers sont décrit par Montaigne comme des hommes et même dotés de qualités. Face a la cupidité des conquistadors, Montaigne crée le mythe du « bon sauvage » en littérature. Lecture du texte Problématique Plan I. La

l’humanité et universalité de la culture en Occident. - P se forme en confrontation avec la pensée mythique. A) Un scandale grec: - 19è s => mythologie (logos)- science: Andrew Lang, Max-Muller. - Detienne => ces S visent à expliquer comment les M peuvent contenir des « histoires insensées et immorales. ». - Max-Muller: « Les grecs attribuent à leurs dieux des choses qui feraient frissonner le plus sauvage peau rouge…Dans les tribus les plus arriérées de l’Afrique et d’Amérique nous avons pas

sauvagerie ». Comme le dit très bien l'ethnologue Claude Lévi-Strauss, « il est probable que le mot barbare se réfère étymologiquement à la confusion et à l'inarticulation du chant des oiseaux, opposées à la valeur signifiante du langage humain ; et sauvage, qui veut dire "de la forêt", et évoque aussi un genre de vie animal, par opposition à la culture humaine. Dans les deux cas, le refus d’admettre le fait même de la diversité

Descartes, connaître l'essence des choses nous élèverait au plein épanouissement de notre être et cela serait possible à travers la pensée. Descartes met en doute le monde et le choses autour de lui ainsi que sa propre existence, mais, par le raisonnement, la pensée lui montre que ce « je » dont il s'attribue existe vraiment. Il affirme que, lorsque l'être humain pense, il n'est plus prisonnier de sa nature (son corps, le monde) et, par conséquent, il devient autonome de son corps, qui reste encore

recherche des causes et explications -Le style de Léry est significatif de sa volonté d’informer. D’où des phrases longues, truffées de parenthèses explicatives (volonté d’être clair dans ses propos). -Tentatives d’explications sur la bonne santé des sauvages, 1 ère cause : « Le bonheur et la bonne température de leur pays », 2. Ils écartent les soucis « des choses de ce monde » (aspect psychosomatique * chez les européens). * psychosomatique : symptômes de maladies dues au moral. 3 ème cause : pureté

d’abord , il y aura la ressemblance entre Kant et Rousseau qui pensent tous les deux que la liberté politique est la véritable forme de la liberté.En deuxième , il y aura la différence entre Kant et Rousseau (Kant pense que la liberté politique s’acquiert avec l’éducation , Rousseau pense qu’elle s’acquiert grâce au développement de la perfectibilité naturelle (sans lois) qui mènerait vers la civilisation qui pousserait les hommes à s’apprendre les lois entre eux et que ça les mènerait vers la liberté

d'articulations étrangères et de sons nouveaux. Il ne cessait de soupirer après son pays, et je n'en suis pas étonné. Le Voyage de Bougainville est le seul qui m'ait donné du goût pour une autre contrée que la mienne. Jusqu'à cette lecture, j'avais pensé qu'on n'était nulle part aussi bien que chez soi ; résultat que je croyais le même pour chaque habitant de la terre, effet naturel de l'attrait du sol, attrait qui tient aux commodités dont on jouit et qu'on n'a pas la même certitude de trouver ailleurs

sacré comme expérience d’un Tout autre – Le fascinant et le terrifiant 3 Le sacré et la pensée symbolique 3 Le mythe comme récit sacré 3 La puissance des rites 4 La dialectique du sacré et du profane 4 Le sacré et le profane 4 L’interdit du sacré 5 Le sacré et la transgression 5 La religion comme gestion du sacré 5 Sacré et désacralisation contemporaine - Sacré domestique et sacré sauvage 6 Pan-ludisme contemporain 6 DEUXIÈME PARTIE 7 Analyse et commentaires 7 CONCLUSION

commence la liberté d’autrui). La loi naturelle n’est pas la loi civile, elle est naturelle au sens où on la suit sans réfléchir. L’opposition entre permis/défendu, entre bien/mal est un acquis tardif, celui de l’homme complètement socialisé. Or le sauvage dans l’état de nature est innocent, il est dans une condition a-morale, il ne connaît pas le bien et le mal. S’il ne fait pas le mal, c’est qu’il ne connaît ni le bien ni le mal, qu’il en fait que suivre sa nature plutôt timide et l’inclination naturelle

Qu’est-ce qui distingue l’être humain de l’animal sauvage? Notre environnement est d’une telle complexité que l’homme a toujours tenté, via la science, d’élucider les secrets de notre monde. La philosophie est l’une des branches de la science qui tente d’expliquer de façon générale les problèmes de la métaphysique. Ainsi, Rousseau et Descartes ont émis des hypothèses ayant contribué à l’avancement de notre compréhension de l’univers. Pour bien comprendre l’état naturel de l’homme, ils sont venus