La Pension Vauquer

Quartier latin et le faubourg Saint-Marceau ». Balzac connaît bien ce côté de Paris pour y avoir vécu. 1. - Il resserre un peu plus le cadre, pour se concentrer sur la pension, dirigée par Madame
Vauquer, qui lui donne son nom. Cette inscription dès le début dans la pension donne l’impression d’un huis-clos, comme dans la tragédie. La pension est bourgeoise, mais très bon marché. Balzac choisit d’ancrer son roman dans un milieu modeste. • L’époque : • - 1819 : date de début de l’histoire. Restauration

expliquer les rouages cyniques de la société. Cet ancien forçat, Trompe-la-Mort est son surnom, est dénoncé à la police à la fin du récit. Il n’en demeure pas moins le héros de l’énergie.             Il reste encore à évoquer tout ensemble Mme Vauquer et sa pension, qui par leur crasse commune et sordide, ont fait la réputation du roman. La longue page de cette description, digne d’anthologie, donne une image répugnante et effrayante de cette peinture de mœurs, où se révèle, dans toute sa mesure, complexe

appartient-il ? * comment a-t-il fait fortune ? * en quoi s’est-il sacrifié pour ses filles ? pourquoi l’a-t-on appelé le « Christ de la paternité » ? * montre sa déchéance en commentant les différentes chambres qu’il a occupées dans la pension Vauquer. 5) Rastignac : * à quelle classe sociale appartient-il ? * quelles études fait-il ? Pourquoi ? * quelles sont ses ambitions ? * comment décide-t-il de faire fortune ? quels différents moyens s’offrent à lui ? * réfléchis

PERE GORIOT PAGE 54 « cette première pièce … elle va tomber en pourriture » Situation du passage : Le passage que nous étudions présente les 2 pièces principales du rez-de-chaussée, le salon et la salle à manger de la pension Vauquer. Le narrateur fait office de guide et fait découvrir au lecteur ces 2 pièces tour à tour. I. La description détaillée d’un sordide bric à brac. a) un inventaire détaillé b) vétusté c) saleté d) pauvreté et mauvais goût e) convocation de

Balzac écrit le Père Goriot en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui parait en 1835 en librairie. Il fait partie de La Comédie humaine. · Résumé : A la fin de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires dont certains ont un comportement assez mystérieux. Parmi eux un certain M. Vautrin et un vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens contrastent par leur fraîcheur avec la masse des habitués : Victorine Taillefer,une

À Paris, à la fin de l’année 1819, dans une pension bourgeoise, lépreuse et nauséabonde, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, vit un groupe de pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s’entrevoient des âmes puissamment originales, dont la rencontre fait pressentir des drames poignants. Eugène de Rastignac, jeune noble débarqué de son Périgord natal et venu faire son droit et sa fortune à Paris, étudiant pauvre en attendant, mais ambitieux, y coudoie le père Goriot et Vautrin sur lesquels

Eugène de Rastignac Pension Vauquer 10 Faubourg Saint-Marcel Paris Madame Anastasie de Restaud 324 Avenue des Champs Élysée PARIS Chère Comtesse de Restaud, Je me permets de vous faire parcourir cette lettre pour vous parler de votre père, pour qui j'ai une grande estime. Je viens d'assister a son enterrement, sur son lit de mort il vous imaginez votre sœur et vous même dansant rayonnante tel un soleil au bal de Madame de Beauséant. Malheureusement, votre père n'aura pas eu la chance de

L’histoire se déroule à paris, à la fin de l'année 1819, sous la restauration, a la pension Vauquer, une petite pension pour des gens modestes, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, ou vit un groupe de pensionnaires d’horizon différents. L'ancien vermicellier Goriot est arrivé pourvu d'une belle rente, après avoir occupé le plus bel appartement de la pension, le vieillard de soixante-neuf ans, vrai souffre-douleur de la pension, habite à présent une petite chambre au troisième étage et semble avoir dilapidé

Etude d’un roman 5ème séquence : étude d’une œuvre complète : Le Père Goriot Honoré de Balzac. Objectif principal : histoire littéraire et singularité des textes Objectif secondaire : les genres et les registres La description de la pension Vauquer 1er extrait : « Rien n’est plus triste à voir…dont le bois se carbonise » p. 10/11 Questions : quels objets sont retenus par le narrateur ? Effet obtenu ? Notez quelques jugements portés par le narrateur sur ces objets :

informations, aimait sortir, rêver. Je pense qu'il retranscrit en Rastignac son propre portrait, ou du moins quelques traits de son caractère. Dans la suite du roman, on en apprend d'avantage sur la pension Vauquer. Leur quotidien, leur façon de vivre, les personnes y vivant. On remarque aussi la façon dont Mme Vauquer traite le Père Goriot. Celle-ci a vraiment l'air remontée. On peut prendre comme exemple le fait qu'elle donne au pauvre homme un café, dans lequel le chat avait léché le lait. Par la suite