La Pensée Philosophique De Machiavel

opposée à la vie philosophique que défend Socrate : une vie orchestrée par la parfaite maîtrise de ses désirs (Socrate est un ennemi de la vie selon Nietzsche). Il faut préciser que Calliclès n’est pas un sophiste. Il n’est ni orateur, ni élève de Gorgias, mais seulement un homme bien né, un aristocrate qui envisage une carrière politique et considère la rhétorique et la sophistique comme des divertissements. Il méprise tout. A la fin, Socrate est donc seul, dans la solitude de sa pensée. Le mythe

en une seule volonté » Hobbes, Léviathan Les hommes doivent donc confier tout leur droit de se diriger eux-mêmes à un seul. Ce qui signifie qu'ils reconnaissent à l'Etat le droit absolu de les diriger. Ce qui comprend le droit de diriger leurs pensées et leurs opinions. L'Etat peut ainsi imposer des croyances, des théories, des opinions s'il le juge nécessaire. Il peut en interdire avec le même droit. Il décrète ce qui est vrai ou faux, juste ou injuste. Il s'agit donc de constituer un pouvoir

autre satisfaction, leurs activités et les modalités de leur conduite ont cet acte substantiel et universel comme point de départ et comme résultat. » Hegel, Principes de la philosophie du droit.   La souveraineté et le droit du plus fort : Pour Machiavel, un État ne saurait être fondé et se maintenir que par l’exercice de la force. La réduction à néant des formes d’opposition, de résistance est une exigence. L’État doit parvenir à s’assurer l’obéissance des individus et pour cela il doit imposer

Définition de la guerre. 3. Les deux arguments de Hobbes : l'"inférence tirée des passions" et la confirmation empirique. 4. Conséquence: le caractère social de la moralité. II Commentaire 1. Le fondement du pouvoir politique selon Machiavel et Hobbes. 2. Le fondement du pouvoir politique selon Locke et Hobbes. 3. La critique par Rousseau des conceptions de l'état de nature de Hobbes. 4. L'impossibilité selon Rousseau de la guerre à l'état de nature. 5. L'insuffisance de l'argument

chapitre, nous allons analyser ces 3 courants et nous tenterons d’établir la conception classique liée à ces courants et la conception néo-classique de ces courants de pensées. Section 1 : Le Réalisme Le père de l’école réaliste est le philosophe Thucydide. Deux grands philosophes sont également fondamentaux : Hobbes et Machiavel. Hobbes : L’Homme ne peut pas vivre en société, il faut fonder un système sur le droit. Il détourne le concept du Léviathan qui représente la construction de l’Etat

I. Présentation I.1 L’enseignement de la philosophie en classes terminales a pour objectif de favoriser l’accès de chaque élève à l’exercice réfléchi du jugement, et de lui offrir une culture philosophique initiale. Ces deux finalités sont substantiellement unies. Une culture n’est proprement philosophique que dans la mesure où elle se trouve constamment investie dans la position des problèmes et dans l’essai méthodique de leurs formulations et de leurs solutions possibles ; l’exercice du jugement

vraiment le problème est rare. Le correcteur regarde souvent l’introduction puis la conclusion. La structure du cours incite à l’étude de l’Histoire de la philosophie. Mais on ne demande pas une liste d’auteurs philosophiques : il faut établir un raisonnement en se basant sur la pensée de ces auteurs. Le raisonnement prime cependant sur les références. Il ne s’agit pas de faire une historiographie ou une doxographie (revue des opinions sur un sujet). Les exemples doivent être choisis : montrer

le développement. Notamment l’introduction qui va suivre correspond davantage à un travail au brouillon, car il n’a pas la forme synthétique souhaitée d’une introduction, qui aurait exposé le thème, l’intérêt de la question, et les enjeux philosophiques. Reportez vous à la fin du corrigé pour lire une introduction rédigée. La difficulté principale de ce sujet était de ne pas se limiter à une simple description des faits : Certes il y a des guerres, et c’est bien triste ; d’autant plus

davantage de soin dans le dveloppement. Notamment lintroduction qui va suivre correspond davantage un travail au brouillon, car il na pas la forme synthtique souhaite dune introduction, qui aurait expos le thme, lintrt de la question, et les enjeux philosophiques. Reportez vous la fin du corrig pour lire une introduction rdige. La difficult principale de ce sujet tait de ne pas se limiter une simple description des faits Certes il y a des guerres, et cest bien triste dautant plus quelles ont la plupart

de la question posée par le libellé] Un grand nombre d'½uvres littéraires se consacrent, implicitement ou explicitement, à la formulation d'idées, de pensées, qu'elles soient politiques, philosophiques ou sociologiques. Ces textes aux formes variées fony partie de ce qu'on appelle la littérature « argumentative », « philosophique », ou « littérature d'idées ». Dans quelle mesure ce type de littérature peut participer à une transformation de l'homme et de la société toute entière ? [troisième