La Perestroika De Gorbatchev

ingrédients de la guerre froide : * Escalade verbale * Course aux armements * Affrontements indirects * Bluff B. La fin des blocs : 1985/ 91 1. Un nouveau climat international * En URSS, l’arrivée au pouvoir de Gorbatchev en mars 1985 Gorbatchev : - 54 ans * décide à reformer le système symbolisé par la catastrophe Tchernobyl (1986) * Pour y parvenir, il a besoin de marges Ou trouver l’argent pour reformer ? * Réduire les dépenses de la politique extérieur :

allant de 1976 à 1991. « La Guerre Froide est la première expérience vécue de la paix atomique » de G. BOUTHOUL. 1936 : fausse information pour faire peur en Espagne, propagande. 5 décembre 1989 : Accord de Malte, « Nouvel ordre mondial » par Gorbatchev. « Guerre Froide », est un terme provenant du journaliste américain Herbert Swope. ATTENTION : Lieu précis de la Guerre Froide : en Europe principalement. Contexte historique : 6/9 aout 1945 (bombes atomiques) + Discours de Churchill à Fulton

janvier : installation des pershing II en RFA ▴ Andropov -> Tchernenko L’année 1985 ▴ Gorbatchev est à la tête de l’URSS L’année 1986 ▴ 17 novembre : assassinat du PDG de Renault : Georges Besse ▴ Gorbatchev lance la perestroïka ▴ Création d’un ministère du temps libre en France L’année 1987 ▴ création du Hamas (Mouvement de résistance islamique, pour la destruction d’Israël) Chronologie ▴ Gorbatchev retire les missiles SS 20 d’Europe ▴ 9 décembre : début de l’Intifada L’année 1988

pour contrer ce que Reagan appelle « l’empire du mal ». En outre, l’URSS est mise en difficulté par les moudjahidines afghans. En 1985, dans ce contexte, Mikhaïl Gorbatchev arrive au pouvoir et met en place des politiques qui vont précipiter la chute de la puissance soviétique. A partir de 1985, Mikhaïl Gorbatchev lance la Perestroïka (restructuration en russe) qui a pour but de libéraliser progressivement l’économie du pays et la Glasnost (transparence) qui favorise la liberté d’expression

entreprise à l’étranger, en particulier dans le cas des joint-ventures. Dans une première partie, nous reviendrons sur le contexte dans lequel George Cohon a décidé de pénétrer le marché Russe. Nous évoquerons la situation politique, suite à la Perestroïka et feront un état des lieux économique et sociale et des notions juridiques de l’époque. Dans la deuxième partie, nous détaillerons la mise en place du projet, avec notamment les raisons motivant cette implantation et les étapes qui la composent

et à très haut coût unitaire livré à des entreprises qui n’en avaient pas besoin, et qui restèrent dans les cartons. Pour l’agriculture, le résultat était des pertes colossales (parfois majoritaires dans la production, comme pour le lait, dixit Gorbatchev) dans les transports, l’entreposage, sur les champs mêmes. Pour se prémunir contre ces pénuries, outre l’internalisation excessive évoquée plus haut, les entreprises pouvaient avoir recours au troc, à la fraude sur les résultats, mais tout ceci

démocraties populaires, les intellectuels manisfestent leur désaccord avec le régime: on les appelle les « dissidents ». Toutes ces entreprises de résistance n'ont cependant aucun succès jusqu'à la perestroïka. En effet, rien n'aurait été possible sans l'arrivée au pouvoir à Moscou de Mikhaïl Gorbatchev, qui met fin à la répression violente. Dans ces conditions, comme les régimes communistes n'ont aucun soutien, ils s'effondrent en moins d'un an, en 1989-1990, sans effusion de sang, sauf en Roumanie

ressortissants de la RDA perdent la vie en essayant de le franchir, les gardes-frontière est-allemands et soldats soviétiques n'hésitant pas à tirer sur les fugitifs. La chute du mur 1989 L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev et la détermination des Allemands de l'Est, qui organisent de grandes manifestations, provoquent, le 9 novembre 1989, la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification

congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956 : la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivirent n'entrainèrent cependant pas une démocratisation en profondeur du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline ont été dénoncés dans toute leur ampleur en URSS.

Asie et Afrique (fin du régime d’apartheid en 1994 avec Nelson Mandela). 2) L'effondrement du bloc communiste en 1989 Mouvement de démocratisation qui touche ensuite le bloc de l’Est mais le dirigeant qui l’a initié, Mikhail Gorbatchev (glasnost = transparence et perestroïka = réformes) est vite dépassé : victoire de Solidarité en Pologne en juin 1989 (Lech Walesa), « chute du mur de Berlin » le 9 novembre 1989 puis toute l’Europe de l’Est est touché. En 1991, disparition de l’URSS qui se désintègre