La Periode Gaullienne

le mythe d’un pays majrt résistant. Ps « le passé qui ne passe pas » du régime de Vichy, selon l’exprs° de l’historien H.Rousso, alimente un traumats qui perdure jsq à auj. Actult, les historiens soulignent la pluralité des attitudes pdt cette période sombre. Entre légende et histoire, cohabitent ainsi plrs mémoires de l’Occup° ds la sté fçse. Bilan Un pays meurtri et affamé ¬ Le 1er traumats : le drame humain ⎦ 190mil militr sont morts au combat ou de leurs blessures ⎦ 310mil Fçs sont morts

du Président au suffrage universel direct et les citoyens ont acceptés (1962). En 1962 Le GDG s’était mis en jeu sur le référendum en disant qu’il quitterait ses fonction si le référendum était négatif. Il s’agissait d’une pratique exclusivement Gaullienne que les successeurs de ce président n’appliqueront pas et qui est une manière de demander aux citoyens entre 2 élections de renouveler leur accord sur la légitimité du pouvoir. Un référendum sera organisé dans les mêmes conditions (recours à l’Art

conquis le pouvoir. C’est une œuvre qui va attendre longtemps ! Peut être sa longévité s’explique par ces 4 remarques. C’est une constitution très souple, c'est à dire qu’elle est adaptable a un certains nombres de cas de figure. Elle va traverser des périodes politiques très différentes. Les institutions : Un PDR qui est doté de pouvoirs forts. Conçu comme le vrai chef de l’exécutif. Il a des pouvoirs extrêmement forts : -Nomination des ministres -Pouvoir réglementaire (mesures pour l’exécution

promotion et non d’une dialectique de lutte des classes. C’est pourquoi la CM s’identifie si bien à l’idée radicale. Groupe des professions libérales jouit d’un véritable prestige ou groupe des « capacités » car ont la connaissance et le diplôme en une période où la science jouit d’un fort rayonnement : médecins, avocats, enseignants et médecins surtout symbolisent le progrès scientifique, le mérite des études longues et significatives. Création de l’assistance médicale le 15 juillet 1893. C)

évènements succèdent aux évènements. Les épreuves du monde s’ajoutent à ses épreuves. Mais peut-être, depuis l’aurore de l’Histoire, n’y eut-il jamais entre les hommes qu’une seule querelle, celle de la liberté »10. L’épopée imprègne donc les discours gaulliens et malrauciens, alors même qu’ils cherchent à susciter une action : l’épique et le politique se rencontrent d’abord sur le terrain de la justification morale du combat. La présence de l’épopée permet aux orateurs de convaincre leurs auditeurs de

Parlement (proposition conjointe des deux chambres : Assemblée Nationale députés et le Senat sénateurs) *le Gouvernement : depuis 2008 Les usages : depuis 1958 il y eu 10 référendums législatifs en France, 4 les dix premières années (période gaullienne) environ un référendum par mandat de 5ans. Le dernier référendum législatif c’est 2005 traduit par un NON (pour la ratification du traité de Nice, UE) avec 25% de participation. En 2000 = sur le quinquennat, référendum constitutionnel ! 1992 :

subordonnés au respect des lois et de la Constitution. Les décrets du Président et ceux du Premier Ministre ont la même valeur juridique. Les ordonnances : ce sont des actes pris par le pouvoir exécutif sur l’autorisation du Parlement et pour une période limitée dans des matières relevant du domaine de la loi. Ce sont des actes administratifs. Elles se situent donc au même niveau que les décrets sauf si le Parlement les a ratifiées auquel cas elles prennent valeur législatives et se situent donc au

Gaulle, le 13 mai 1958. De plus, la guerre d’Algérie a provoqué une division de l’opinion et des ruptures internes à la droite comme à la gauche, il s’agit donc aussi d’oublier ces divisions pour aller vers l’unité nationale nécessaire au projet gaullien. Surtout, cette guerre symbolise une double blessure nationale : une nouvelle défaite et une violence mettant en cause les valeurs mêmes de la République. La mémoire de la Guerre d’Algérie en France se définit donc du côté officiel par une mémoire

fonctions. Nul doute qu'il eût été fort contrarié si la promesse implicite ne s'était pas concrétisée. Sa nomination, de fait, était toute naturelle et ne fut pas contestée, car ses titres à être le premier des chefs de Gouvernement de la république gaullienne étaient nombreux. Imprégné au plus haut point de l'intérêt général et national, major du concours d'entrée au Conseil d'État, passé par le cabinet de Paul Reynaud, alors ministre des Finances, entre 1938 et 1940, membre du Comité général d'Études

possibilité de renouvellement de celui-ci – consacre ce caractère de « monarque républicain », dans la mesure où le même homme monopolise la fonction présidentielle pendant des périodes particulièrement longues – 14 ans pour François Mitterrand, 12 ans pour Jacques Chirac. Le passage au quinquennat en 2000, s’il laissait imaginer des périodes de règne moins longues, a pourtant renforcer d’une certaine manière le pouvoir présidentiel dans la mesure où le quinquennat et l’inversion du calendrier électoral ont