La Personnalité Délinquante

retient une qualification pénale. Ensuite les juges déterminent la peine applicable dans la limite du maximum fixé par la loi. En appliquant le principe de l'individualisation des peines, on tient compte des circonstances de l'infraction et de la personnalité de l'auteur de l'infraction. Le juge personnalise la peine. DISTINCTION ENTRE LES DIVERSES DISCIPLINES Le droit pénal doit être distingué d'autres disciplines qui ont pour objet l'infraction sous un autre angle d'approche : => droit pénal

I- Notion de base : A)- Définition de la Personne morale : En droit, une personne morale est une entité juridique abstraite, généralement un groupement, dotée de la personnalité juridique, à l’instar d’une personne physique (un être humain). La diversité des situations rend difficile l'élaboration d'une définition générale, mais on peut définir une personne morale comme un groupement de personnes qui se voit reconnaître une existence juridique et qui, à ce titre, a des droits et des obligations

de la responsabilité individuelle. A côté de l’acte, on va découvrir peu à peu la notion de faute et donc on va découvrir l’homme. Les penseurs chrétiens, en particulier Saint Augustin, auront tendance à scruter psychologiquement la mentalité du délinquant, qu’ils considèrent comme un pécheur. C’est ainsi que la responsabilité est engagée. Il y a responsabilité si la personne a agi avec intelligence et volonté. Il y a volonté dès lors que cet acte est fait librement c’est-à-dire en connaissance de

et réadapter les délinquants Prof DONNEDIEU DE VABRE le définit comme «  Le droit règlementant l’exercice de la répression par l’État  » · Traduit la vision de 1945 du droit pénal : accent sur la répression, droit pénal comme chien de gardeRoger MERLE et André VITU le définissent comme l’ensemble des règles juridiques qui organisent la réaction de l’État vis-à-vis des infractions et des délinquants · Vision de réaction :

transforme ce groupe en gang est le fait qu’il se déplace, et rencontre d’autres groupes hostiles « qui précipitent le conflit ». Le groupe s’organise, prend conscience de lui-même, se baptise d’abord en club innocent mais dégénère souvent en groupe délinquant. Ces groupes sont instables : des nouveaux groupes apparaissent, disparaissent ou se restructurent. Un gang possède un territoire propre. 3) Les différents types de gangs : Selon Thrasher, il existe une infinie variété de gangs, chacun

et peuvent donc en faire profiter leurs enfants ou proches. C'est le cas inverse dans les milieux défavorisés. Chapitre 3 : Le processus de socialisation et la construction des identités sociales A la naissance, les individus n'ont pas de personnalité définie et donc c'est pendant la vie que l'individu apprend un certain nombre de règles sociales qui vont lui dire ce qui est approprié de faire dans différents contextes. L'identité de l'individu va alors peu à peu se construire. Il s'agit de

porter assistance à une personne en danger. Il est évident que c’est la deuxième règles qui doit être respectée, dans d’autres cas,il peut être difficile de trancher sur l’attitude à adopter et notre choix se fera en fonction de nos priorités, notre personnalité, etc. La règle est un frein à l’imagination. C’est parfois bien d’enfreindre car ça nous permet d’en créer de nouvelles qui n’existaient pas, ou même de modifier celles qui existaient en les erronant ou en en trouvant de plus performantes

dépression. · Les comportements à risque  : sexualité sans protection, conduites à grande vitesse… · Les conduites délinquantes sont fréquentes. Associées à des auto-mutilations → pensé à des personnalités anti-sociales ou limites. · conduites addictives (toxicomanie) commencent à l’adolescence III) Conclusion :· L’adolescence

elles ont été commises. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'infraction a été commise. Si, postérieurement à cette infraction, la loi prévoit l'application d'une peine plus légère, le délinquant doit en bénéficier. 2. Rien dans le présent article ne s'oppose au jugement ou à la condamnation de tout individu en raison d'actes ou omissions qui, au moment où ils ont été commis, étaient tenus pour criminels, d'après les principes généraux de

contrôle de l’information à propos de son stigmate (comme par exemple avoir un passé de délinquant). 3) Les trois types de stigmates Erving GOFFMAN distingue trois grandes catégories de stigmate : □ Les monstruosités du corps c’est à dire les handicaps physiques, les défauts du visage ou du corps (bec de lièvre, nanisme, etc.). □ Les tares de caractères ce sont les stigmates tenant à la personnalité et/ou au passé de l’individu : homosexualité, alcoolisme, séjour passé dans un hôpital