La Personnification Dans Les Fables

dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante et plus théâtralisée la scène ; d’intégrer un style poétique dans son roman et rendre sa prose plus imagée ; introduire un discours au ton accusateur dans un article comme le fait Voltaire dans « Guerre »

Jean de La Fontaine, écrivain et poète de la cour de la fin du XVIIe siècle, tire sa grande renommée de ses Fables, écrites entre 1668 et 1694. Nombre de ses fables ont une portée morale et philosophique, d’autres sont aussi sociales, comme celle à l’étude ici, le Jardinier et son Seigneur, qui vient dénoncer et critiquer une réalité contemporaine, à savoir l’asservissement du « paysan » face à son seigneur. Pour cela, La Fontaine ne se contente pas de s’appuyer sur l’actualité de l’époque, mais

dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante et plus théâtralisée la scène ; d’intégrer un style poétique dans son roman et rendre sa prose plus imagée ; introduire un discours au ton accusateur dans un article comme le fait Voltaire dans « Guerre »

La Fontaine, écrivain classique, la reprendra comme il l'a fait avec celles d'Esope, et en modifiera l'aspect formel afin de la rendre plus attrayante. Il la nommera "La Génisse, la Chèvre, et la Brebis, en société avec le Lion" Au travers de ses fables, il critique la société dans laquelle il vie, et pour chacune d'elle, il fait passer un message en incluant une morale en rapport avec les péripéties de ses protagonistes, qui sont des animaux personnifiés. Dans "La Génisse, la Chèvre, et la Brebis

la simplicité et le mot juste, ces oeuvres ont pour objectif de plaire et instruire, comme la fable. Le récit dynamique plaît et la moralité instruit. ​ Ecrit des fables, des contes légèrement érotiques, des discours… oeuvres principales: fables comme “Le loup et l’agneau”, “Le corbeau et le renard”, “La cigale et la fourmi”... Les fables ont deux fonctions: plaire et instruire avec des portées morales souvent universelles. LF, comme les Anciens, s’inspire des textes antiques. *présentation de 2 philosophies

Saintes et personnifications allégoriques offrent des représentations de femmes idéales et fortes qui peuplent les créations artistiques de l'époque. Réunissant une sélection d'œuvres d'art que sont enluminures, manuscrits, sculptures, textiles et tapisseries ou encore objets d'art, la présente exposition est organisée selon cinq thèmes : 1) Les femmes et le cloître; 2) Les femmes et la famille; 3) Les femmes et le commerce; 4) Les saintes femmes; et enfin 5) Femmes, personnifications et allégories

matin……………………………………………………………………………….21 Jean de la FONTAINE Jean de La Fontaine né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, mort le 13 avril 1695 à Paris, est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons. Il est reçu

SCYTHE» DE LA FONTAINE Explication linéaire La Fontaine a écrit sous Louis XIV et était le protégé de Fouquet. Ecrivain classique comme Racine, De La Bruyère, Boileau, (De La Fontaine), Molière, il s’inspire des anciens (Esope, Phèdre) pour écrire les Fables choisies mises en vers par M. de La Fontaine (Une fable : petit récit en vers ou en prose destiné à illustrer un précepte.) initialement destinées au Dauphin. Ici il prend comme modèle une anecdote d’Aulu-Gelle. Ce texte constitue la fable 20 du dernier

mouche. Vers 16 : -Marque la fin de la 2ème partie -« ses gens » => maître de la situation. -« hater la victoire » => rapport à l'univers militaire. Vers 17 : « commun » => traduit une habitude. Vers 18 : -« se plaint » : personnification et style indirect => humanisation. Vers 19 : - « Qu'aucun » => plainte de la mouche. - Style indirect libre => Humanisation. Vers 20 : -Le moine dit son bréviaire => Chacun a sa manière d'aider & ironie de la Fontaine

préconise les règles du classicisme des auteurs antiques. Cependant il ne s est pas contente d imiter les anciens puisqu il élargit ses sources d inspiration de sources orientales et également d histoire contemporaines. Des le premier recueil des Fables il affirme sa conception très classique du genre destiné a allier agréments et instruction. (plaire et instruire placere docere) Présentation et situation de l extrait : c est donc par « Les animaux,,,, » qu il ouvre son second recueil. Cette fable