La Personnification Dans Les Fables

dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante et plus théâtralisée la scène ; d’intégrer un style poétique dans son roman et rendre sa prose plus imagée ; introduire un discours au ton accusateur dans un article comme le fait Voltaire dans « Guerre »

et le Renard, Jean de La Fontaine. Introduction Jean de La Fontaine est un poète et moraliste du XVIIème siècle. Il a été tenu à l'écart de la cour du roi Louis XIV pour des raisons politiques, mais a connu le succès grâce à ses Fables et ses Contes. Ses Fables sont du genre de l'apologue, c'est-à-dire que c'est un récit plaisant et imaginaire, contenant une morale. La Fontaine renouvelle la forme de la fable grâce à son écriture poétique. Cette fable Le Lion, le Loup et le Renard est la troisième

                                                                                             ANTHOLOGIE DE FABLES DE LA FONTAINE :  critique du roi et de la cour par l'intermédiaire de différents «oiseaux »                                                       Préface           Je vais étudier une anthologie de fables qui se regroupent autour d'un même thème: la critique du roi et de la cour par l'intermédiaire de différents « oiseaux ».

survivants, est terrifié face à la mort. L'historique de cette île est résumé. L'exposition dont la fonction est de donner des informations au spectateur, prend la forme du dialogue. B. L'échec du maître Indifférence du valet, ironie, hostilité. Personnification de la bouteille : effet comique du décalage maître/esclave. Force Iphicrate à avouer en jouant l'indifférence. C. La révolte croissante d'Arlequin Il inverse le rapport de forces. Les connecteurs logiques d'opposition expriment la séparation

dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante et plus théâtralisée la scène ; d’intégrer un style poétique dans son roman et rendre sa prose plus imagée ; introduire un discours au ton accusateur dans un article comme le fait Voltaire dans « Guerre »

dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante et plus théâtralisée la scène ; d’intégrer un style poétique dans son roman et rendre sa prose plus imagée ; introduire un discours au ton accusateur dans un article comme le fait Voltaire dans « Guerre »

de façon ironique, dit que les noirs ne sont pas à plaindre car ils sont noirs. Il veut faire tomber, grâce aux contre phrase, les préjuger de la société sur les noirs. Enfin certain auteurs comme George Orwell, décrivent la société avec des personnifications pour faire mieux passer leurs idées. Dans La ferme des animaux de G. Orwell, il utilise des animaux pour pouvoir critiquer le gouvernement de Staline en prenant le chef des animaux (un cochon) comme Staline et les autres animaux comme le peuple

La Fontaine a construit sa fable de 55 vers comme une pièce de théâtre, ce qui lui donne un caractère dynamique. Elle est relativement longue, comme le sont souvent les fables du deuxième recueil. Dès le premier vers, la situation initiale est présentée : "La femme du Lion mourut". Elle est rapide et précise, on pourrait la qualifier de scène d'exposition. Cependant, ce premier vers paraît un peu redondant par rapport au titre qui précise déjà la situation : "Obsèques". Ce mot insiste sur la gravité

déplorable réalité dans laquelle « les hommes » se trouvent. Le poète crée ainsi un univers surréaliste et utopique. C’est dans cette optique que Cadou évoque un paradis végétal et un monde idéal dans La Maison d’Hélène : il y contribue par la personnification de la forêt par le vers « le cœur de la forêt qui roule sous la table », l’oxymore « la douceur des pierres » ou encore par la métaphore de « l’arbre qui vient brouter les vitres » qui permet de créer une harmonie merveilleuse entre la faune

dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante et plus théâtralisée la scène ; d’intégrer un style poétique dans son roman et rendre sa prose plus imagée ; introduire un discours au ton accusateur dans un article comme le fait Voltaire dans « Guerre »